"Deep impact" (1998)
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cheapisgood
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Téa LeoniRe: "Deep impact" (1998)
Vu hier soir, j'avoue moi aussi je pleurais comme une madeleine à la fin (scène sur la place, beautiful).
Dans l'ensemble pareil que tout le monde, j'ai trouvé ça très très sympa. En effet, le côté humain est très réussi (mais y'a un putain de truc hyper bancal avec le sauvetage d'Elijah Wood... Pourquoi les parents de Leelee Sobieski poireautent dans leur voiture - comme tous les autres d'ailleurs - alors qu'apparemment y'a une colline pas loin, sur laquelle ils auraient pu se réfugier depuis longtemps s'ils avaient pris les choses en main un peu plus tôt ??). Bref, c'est pas la seule incohérence du film et c'est le genre de trucs bateau qu'on voit dans les films catastrophes histoire de mettre un peu de suspense !
D'ailleurs ça me fait penser, c'est quoi l'âge légal pour se marier aux States ? Ils me semblent bien jeunes ces 2 tourtereaux !
Sinon le rythme est vraiment très étrange pour un film catastrophe... Ici point de scènes impressionnantes au début, ni au milieu, mais juste un raz-de-marée à la toute fin (toutefois très réussi).
Les ellipses ne sont pas placées de façon très habile. Au début étoile bizarre dans le ciel, après pouf un an plus tard, annonce de la catastrophe "imminente" (je ne suis pas sûre que le fait que la comète arrive un an après soit très judicieux...), après mission sur la comète qui, on se dit, va être le gros du film, et puis non, pouf on passe quelques mois plus tard, on essaye les missiles, ça marche pas, on passe quelques jours plus tard, on retrouve le vaisseau... Très étrange j'ai trouvé.
Cela dit, la scène sur la comète est vraiment fun (avec le soleil qui arrive, l'astronaute qui est projeté dans l'espace, condamné à dériver jusqu'à ce que mort s'en suive - ça me terrifie -, l'autre qui perd la vue...). Mais j'ai pas eu ma dose de séquences spatiales, du coup me suis maté Mission to mars après, là j'étais vraiment rassasiée
Et, au contraire de ceux qui trouvent que "le cataclysme annoncé se résume à un pétard mouillé", je trouve qu'ils vont quand même jusqu'au bout avec le raz-de-marée provoqué par la "petite" comète qui fait quand même de sacrés gros dégâts ! Toute la côte est des States est balayée, et de nombreuses personnes meurent en Europe (cf le discours du président dans la dernière scène). Même si les courageux astronautes (quand ils disent adieu à leur famille j'étais aussi bien émue) sauvent des tonnes de gens en faisant exploser la "grosse" comète (scène un peu trop courte aussi, suis restée sur ma faim), y'a quand même beaucoup de monde qui crève et c'est pas un truc qu'on voit dans tous les films catastrophe.
Ce qui me fait penser à 2012, pour lequel Emmerich a pompé les arches construites pour sauver quelques personnes triées sur le volet, avec des animaux et oeuvres d'art.
Enfin voilà, pas parfait mais loin d'être détestable !
Dans l'ensemble pareil que tout le monde, j'ai trouvé ça très très sympa. En effet, le côté humain est très réussi (mais y'a un putain de truc hyper bancal avec le sauvetage d'Elijah Wood... Pourquoi les parents de Leelee Sobieski poireautent dans leur voiture - comme tous les autres d'ailleurs - alors qu'apparemment y'a une colline pas loin, sur laquelle ils auraient pu se réfugier depuis longtemps s'ils avaient pris les choses en main un peu plus tôt ??). Bref, c'est pas la seule incohérence du film et c'est le genre de trucs bateau qu'on voit dans les films catastrophes histoire de mettre un peu de suspense !
D'ailleurs ça me fait penser, c'est quoi l'âge légal pour se marier aux States ? Ils me semblent bien jeunes ces 2 tourtereaux !
Sinon le rythme est vraiment très étrange pour un film catastrophe... Ici point de scènes impressionnantes au début, ni au milieu, mais juste un raz-de-marée à la toute fin (toutefois très réussi).
Les ellipses ne sont pas placées de façon très habile. Au début étoile bizarre dans le ciel, après pouf un an plus tard, annonce de la catastrophe "imminente" (je ne suis pas sûre que le fait que la comète arrive un an après soit très judicieux...), après mission sur la comète qui, on se dit, va être le gros du film, et puis non, pouf on passe quelques mois plus tard, on essaye les missiles, ça marche pas, on passe quelques jours plus tard, on retrouve le vaisseau... Très étrange j'ai trouvé.
Cela dit, la scène sur la comète est vraiment fun (avec le soleil qui arrive, l'astronaute qui est projeté dans l'espace, condamné à dériver jusqu'à ce que mort s'en suive - ça me terrifie -, l'autre qui perd la vue...). Mais j'ai pas eu ma dose de séquences spatiales, du coup me suis maté Mission to mars après, là j'étais vraiment rassasiée
Et, au contraire de ceux qui trouvent que "le cataclysme annoncé se résume à un pétard mouillé", je trouve qu'ils vont quand même jusqu'au bout avec le raz-de-marée provoqué par la "petite" comète qui fait quand même de sacrés gros dégâts ! Toute la côte est des States est balayée, et de nombreuses personnes meurent en Europe (cf le discours du président dans la dernière scène). Même si les courageux astronautes (quand ils disent adieu à leur famille j'étais aussi bien émue) sauvent des tonnes de gens en faisant exploser la "grosse" comète (scène un peu trop courte aussi, suis restée sur ma faim), y'a quand même beaucoup de monde qui crève et c'est pas un truc qu'on voit dans tous les films catastrophe.
Ce qui me fait penser à 2012, pour lequel Emmerich a pompé les arches construites pour sauver quelques personnes triées sur le volet, avec des animaux et oeuvres d'art.
Enfin voilà, pas parfait mais loin d'être détestable !
"C'est vrai j'aime les hommes gentils." "Je suis un gentil vaurien."
Re: "Deep impact" (1998)
Rendons à César, ce concept, au cinéma, c'est plutôt au CHOC DES MONDES qu'il a été emprunté. Mais en littérature, ça existait peut être déjà auparavant (je sais pas, je ne sais pas lire).Eden a écrit : Ce qui me fait penser à 2012, pour lequel Emmerich a pompé les arches construites pour sauver quelques personnes triées sur le volet, avec des animaux et oeuvres d'art.
"Fuck The World", Rambo
Re: "Deep impact" (1998)
Au temps pour moi (c'est le cas de le d... non non je ne tomberai pas aussi bas dans les jeux de mots !)arioch a écrit :Rendons à César, ce concept, au cinéma, c'est plutôt au CHOC DES MONDES qu'il a été emprunté. Mais en littérature, ça existait peut être déjà auparavant (je sais pas, je ne sais pas lire).Eden a écrit : Ce qui me fait penser à 2012, pour lequel Emmerich a pompé les arches construites pour sauver quelques personnes triées sur le volet, avec des animaux et oeuvres d'art.
"C'est vrai j'aime les hommes gentils." "Je suis un gentil vaurien."