je suis beaucoup moins convaincu. Cette (fausse) ouverture du monde intérieur des actrices, leurs cicatrices, leurs espérances, leurs fébrilité... ça donne un côté patchwork qui est parfois agréable, touchant et carrément repoussant par moments. j'ai trouvé quelquefois génant ce narcissime névrotique qui sonne toc. Le faux-dcumentaire sonne assez faux par moments : le pire étant avec Karin Viard (la scène du taxi st certes drôle mais dans le contexte du docu, c'est raté. La scène lesbienne avec Estelle Lefèbure apprait superficielle, idem pour Melanie Doutey. C'est curieusement Joey Starr qui s'en sort le mieux (un comble!), avec les interventions de Jeanne Balibar, Charlotte Rampling, Carole Richer un peu en surrégime, et Christine Boisson, légèrement en retrait... je sais pas, j'arrive pas à acrocher dans ce monde qu'on m'offre à l'écran.
Et cette dernière scène, assez horripilante, avec
, comme si Maïwenn tournait son film dans le film, livrait le produit et donne en pature les éventuelles critiques qu'on lui fera. C'est un peu désespérant, et c'est comme si on avait une femme faisant son autoportrait-autocritique et prenant les devants pour ne pas se faire taper dessus. C'est un procédé donneur de leçon qui m'a un peu agacé.
ca ne m'empêche pas de bien avoir ri à certaines séquences, ému par d'autres..; même si globalement, j'ai eu beaucoup de peine à ressentir quoique ce soit pour la majeure partie des intervenant set leur métier.
Vir sur le DVD M6
1.85:1 et 16/9e
5.1 assez joliment mixé, le chansons ne prenant pas le pas sur le reste - ce qui me faisait un peu peur à la base.
Oh really? Well then I'm sure you wouldn't mind giving us a detailed account of exactly how you concocted this miracle glue, would you ?