Une des dernières sorties de chez Mondo Macabro, avec un casting alléchant : Howard Vernon, Rosalba neri, Barbara Bouchet (dans un second rôle) Robert Sacchi en sous-Humprey Bogart.
J'ai trouvé le film assez brouillon et assez mal réalisé, néanmoins il se laisse regarder. Il y a quelques scènes assez gore avec par exemple la tête de Rosalba Neri coupée au sabre, et quelques scènes un peu chaudes : les ingrédients typiques des gialli de l'époque en somme.
C'est une coproduction italo-allemande avec donc un casting très variés : on ne trouve qu'une seule piste anglaise sur le DVD avec à un moment un passage en français pour une scène avec Barbara Bouchet.
Le film se passe à Paris et est filmé à l'intention surtout d'un public non-français avec des plans de la Tour Effel, de Pigale, ... d'ailleus tous les intérieur ont été tournés à Rome.
Les bonus sont (avis personnel) assez moyen avec un sujet chiant (comme toujours) sur le producteur Dick Randall.
La jacquette du DVD est sous-titrée "Dick Randal collection - Volume one" comme quoi il y en aura d'autres sûrement, et j'espère un peu meilleur.
Je connais ce site, je le visite depuis 4 ou 5 ans.
J'adore ce site ces normal vu ma phrase choisie
Je lui ai envoyé 5 euros il y'a 5 jours d'ailleur, à Justin Kerswell je veux dire.
Sous ce titre se cache Casa d'appumento tourné en 1972, second film de la plantureuse Rosalba avec la Bouchet.
Par contre, selon Rosalba lors d'une interview, affirme que le film en dehors de ses plans parisiens aurait été tourné pour sa plus grde partrie à Baden Baden. L'opulente créature garde un tres bon souvenir du film non seulement pour avoir tourné avec la Bouchet mais également de la ville elle même. Un tournage chapeauté de fous rires!
Un petit film sans prétention matiné de qques scéne gore au rabais a mi chemin entre le giallo et le policier pour une histoire de catins tuées- dont la Bouchet- par un mysterieux assassin qui emmenera le commissaire ds les secrets d'une maison close tenue par la pulmonée Anita Ekberg.
Merighi a tres peu tourné, il traversa le cinéma italien a la vitesse de l'éclair et ce Casa.. fut son dernier film. Il fut par contre assistant réal sur Le corsaire noir dt a parlé il y a peu ou sur Django the last killer/ L'ultimo killer du bon G. Vari avec Georges Eastman.
Je pourrais vous tuer mille fois jusqu'aux limites de l'éternité si l'éternité possédait des limites.
Pas franchement mémorable ce French sex murders. La réalisation est plutôt platounette, avec pour seule originalité quelques effets kitschissimes accompagnant les scènes de meurtres les plus spectaculaires. Le distribution est heureusement assez sympa et la musique de Bruno Nicolaï - pour l'essentiel du recyclage de thèmes déjà utilisés ailleurs - très agréable à l'oreille.
Dans le genre, on reste quand même assez loin de ce que nous ont fait Lenzi, Lado ou Dallamano (sans parler de Fulci ou Argento évidemment).
Jadis disponible en vhs, avec une jaquette et une accroche qui ne faisaient vraiment pas envie, la vf (mal) titrée Meurtre dans la 17è avenue a récemment refait surface sur la chaîne Polar, lors de diffusions nocturnes.
L'occasion de visionner ce produit pour le moins hybride. Une enquête policière à l’ancienne avec son flic en imper cigarette au bec, arpentant appartements bourgeois et lieux interlopes de la capitale, traversée de fulgurances giallesques lors de séquences de meurtres à la mécanique éprouvée. Quand ne surgit pas quelque incongruité fantastique comme ce professeur opérant des expériences sur la tête décapitée d’un truand. Ne serait-ce d’ailleurs pas celle-ci qui influe sur le cours de l’action ? Un sujet et un traitement le cul entre plusieurs chaises, donc.
En tout cas, l’intrigue criminelle en elle-même est pour le moins carrée. Chaque élément s’imbrique logiquement dans l’ensemble, de telle manière que la résolution du mystère tiendra bien la route lors du dénouement. De ce point de vue, ça se suit donc de plaisante manière.
A côté de tout plein de vedettes féminines de l'époque, on retrouve un Howard Vernon égal à lui-même et un Peter Martell qui surjoue l'hystérie.
La musique aux accords familiers de Nicolaï assurant définitivement le cachet italien d'une mise en forme parfois bien plan-plan.
Sinon, on sourit beaucoup en suivant le déroulement des opérations.
C'est fou comme le téléphone ne cesse de sonner, surtout aux moments les moins importuns. A plusieurs reprises, alors que des personnages ont une conversation cruciale, "dring dring", ça sonne, moyen bien artificiel de faire durer le suspense. Et quand une femme paniquée appelle l'inspecteur, celui-ci va tranquillement allumer sa clope à la fenêtre en se demandant ce qu'il pouvait bien y avoir d'urgent. Le lendemain, bien entendu, l'interlocutrice est retrouvée morte !
A signaler aussi les locaux du commissariat dans lesquelles on rentre et sort comme dans un moulin. Des flics aux suspects, tout le monde donne l'impression de faire ce qu'il veut là-dedans. Les temps ont bien changé depuis ...
Enfin, pour la bonne bouche, la grosse rigolade quand le savant appelle le juge pour lui demander s'il peut récupérer une tête pour ses études scientifiques. Hop, en un claquement de doigt, c'est fait, en dehors de toute déontologie. Et la tête de se retrouver sur une étagère, bonjour l'odeur !!!
