Deces hier le 3 fevrier de Ben Gazzara a l'age de 81 ans. Il etait actuellement en traitement pour un cancer du Pancreas.
Ayant commence a la television, il sera toujours reste un acteur partage entre le cinema et le theatre.
Bibi a honte d'avouer que sa filmographie lui est tres largement inconnu et qu'il ne connait que The Bridge at Remagen (1969) et a d'excellents souvenirs de The Killing of a Chinese Bookie (1976).
Un acteur attachant. J'ai aussi bp de lacunes dans sa filmo, et finalement, dans ses grands rôles, les Cassavetes notamment, je crois que je n'ai vu que "Meurtre d'un bookmaker chinois"... Par contre je l'ai toujours bp aimé dans les nombreux petits seconds rôles où j'ai pu le voir ces dernières décennies (Big Lebowski, Summer of Sam, Chez Gino... et surtout le père un peu crooner de Gallo dans "Buffalo 66"). R.I.P.
"J'ai essayé de me suicider en sautant du haut de mon égo. J'ai pas encore atteri... "
Je ne connais pas l'immense filmographie de cette acteur, mais dés qu'on site son nom je pense a John Cassavetes je crois que leurs destin est commun.
Me souvient de lui comme un bad guy dans la plupart des films ou je l'ait vu : Road House, Haute Trahison, le David Mamet la Prisonnière Espagnole, Buffalo 66...)
Je peut me rendre compte a quel point le système Hollywoodien est capable de clasifié les acteurs de talent dans des rôles stéréotypé et limité.
Il restera pour moi une image marquante dans le cinéma puisque j'ai tout a découvrir de cette acteur. Son rôle énigmatique d'empereur du porn Jackie Treehorn dans le film des Coen The Big Lebowski.
RIP
Toi t'est un flic..? Non j'uis un con. Snake Plisken Escape from NY
Ben Gazzara, pour moi c’était avant tout le genre de carrière à la Marty Balsam comme on en voit plus et devant laquelle je suis en admiration. On y trouve de tout : du cinéma ouvertement exigeant, du divertissement mainstream, de la bonne télé, quelques escapades européennes – plus particulièrement italiennes. Et, quelque soit l’environnement, jamais il n’avait l’air à côté de la plaque, le Ben !
Trois excellentes prestations, illustrant cette diversité, me reviennent de suite : l’inspecteur injustement accusé de corruption dans A Question of honor, téléfilm de Jud Taylor écrit par Bud Schulberg, le mystérieux amnésique du dernier film de Pasquale festa Campanile, Uno Scandalo perbene et le parrain criminel du pas trop futé mais très marrant Road House de Rowdy Herrington.