
Un couple, un arriviste et une jeune bourgeoise, victime d’un maître chanteur dans une enquête qui va les mener en plein cœur du monde violent de la pornographie, un monde oppressant, inconnu et sans échappatoire.
Le film n'était pas du tout prévu pour s'appeller 8MM2 à la base, mais "The Velvet Side of Hell", seulement Sony et ses méthodes marketing auront eu raison de l'effet de source provoqué par le film de Joel Schumacher (que personnellement j'aime beaucoup) sur cette séquelle qui n'en est pas une et qui se retrouve avec un titre pareil simplement parce qu'il y a une vague intrigue sur fond de cul. Léger.
On connaît la méthode. Ca ne change rien à ce qu'est le film de JS Cardone, un sex file boosté tourné à l'arrache à Budapest (sans bears dans les bains


Photo froide, mise en image pas si dégueulasse que ca, volonté de s'appliquer dans le vénéneux, émergence d'antagonisme politique... et volonté d'en rajouter dans le sexe sale qui fait tout au plus sourire. Le couple-victime d'une machination diabolique donne peu d'entrain à se passionner pour l'intrigue. Entre le pas très concerné Johnathon Schaech et la très moche Lori Heuring (vraiment très moche, première apparition on se dit "ho la pauvre") peu d'atout séduction dans cette série B plate comme une limande malgré la profusion d'airbags de l'est.