Pour ne pas tout faire d'un coup, commençons donc par sa période anglaise, qui s'étend du début des années 20 à la fin des années 30. J'ai pas mal de blancs sur les premières œuvres, mais bon, plus on avance, plus ça se remplit. En voiture Simone !
Number thirteen (1922)
Woman to woman (1923)
The white shadow (1923), L'ombre blanche
The passionate adventure (1924) Abnégation
The blackguard (1925) Le voyou
The prude's fall (1923)
The pleasure garden (1925) Le jardin du plaisir
The mountain eagle (1926)
The lodger (1926)
Downhill (1927)
Easy virtue (1927)
The ring (1927), Le masque de cuir
The farmer's wife (1928), Laquelle des trois ?
Champagne (1928), A l'américaine
The manxman (1929)
Rien vu jusque là, vous m'excuserez....

Blackmail (1929) Chantage : Vu il y a assez longtemps. Souvenir flou, une sorte de brouillon de plusieurs trucs qui reviendront plus tard, mais pas encore abouti. Une curiosité, mais tout sauf un incontournable. 3/6
Juno and the Paycock (1929)
Murder (1930), Meurtre
The skin game (1931)
Rich and strang (1932), A l'est de Shangai
Number seventeen (1932), Numéro dix-sept
Wlatzes from Vienna (1934), Le chant du Danube
Pas vu tous ceux là...
The man who knew too much (1934), L'homme qui en savait trop : Un film solide, là aussi un brouillon en quelque sorte, vu qu'il jugera bon de le "refaire" 20 ans après. Déjà la patte d'un metteur en scène, mais sans toute la maitrise qui viendra plus tard. 3/6
The thirty-nine steps (1935), Les trente-neuf marches : Un de ses deux chefs d’œuvre de la période anglaise. Un rythme sans faille, un dosage suspense / comédie quasi parfait. Toutes les thématiques de l'univers hitchcockien sont déjà là, et même si le Mc Guffin semble aujourd'hui un peu gros; on se laisse toujours prendre avec le même plaisir. Un vrai bonheur de spectateur, à voir, revoir, revoir... 5/6
The secret agent (1936), Quatre de l'espionnage : Pas vu.
Sabotage (1936), Agent secret : Vu, mais alors AUCUN souvenir. Je crois pas que ça m'avait emballé plus que ça. Mineur.
Young and innocent (1937), Jeune et innocent : Souvent cité dans ses réussites anglaises, le film m'avait un peu déçu. Il reste le formidable travelling final, quelques bonnes idées ici ou là, mais bon, sur le même thème, il fera très largement mieux... 3/6
The lady vanishes (1938), Une femme disparaît : L'autre chef d’œuvre, peut être mon Hitchcock préféré, toutes époques confondues. Une petite merveille, de drôlerie, de suspense, de mise en scène, d’efficacité. Le couple principal est formidable, les seconds rôles tout autant, le film est prenant d'un bout à l'autre, et distille pas mal de réflexions sur le contexte global historique de l'époque. Un très très grand Hitchcock. 6/6
Jamaica Inn (1939), La taverne de la Jamaïque : Peu de souvenirs, sinon celui d'un film assez quelconque, assez pataud... Laughton en fait beaucoup, mais il n'y a pas grand chose autour... A revoir peut être, mais j'en meurs pas d'envie... 2/6
