Camping 2 - Fabien Onteniente (2009)

[crepusculaire]

23 millions de budget ?
Mais il est passé ds quoi tout ce fric ?

A la louche, si tu cumules le salaire du producteur, celui du réalisateur, des scénaristes, des têtes d'affiche, + les droits d'auteur, on ne doit pas être loin des 10 millions d'euros déjà.

[AAWIL]

vu hier soir. je m'attendais à une belle bouse vu qu'en plus je ne supporte pas Franck Dubosc... malgré tout j'avais le 1er Camping sympathique. Finalement bien meilleur que "Les Bronzés 3" à tout les niveaux.

Là, c'est un poil moins reussi que le 1er mais cependant on passe un moment sans se prendre la tete (encore heureux d'ailleurs). Certaines situations et dialogues font leurs effets (voir Dubosc le cul sur une glaciere avec son slip bleu et demandant à Anconina si il veut un apericube... c'est con mais ça m'a fait rire). Et puis on s'attache a ce groupe de personnages. limite, du moins pour ceux qui ont appreciés de près ou de loin le 1er Camping, on a plaisir à les retrouver.

bon divertissement donc

mais c'est clair qu'à faire trop de promo, ça va vite gonfler les gens. ça va... j'avais pratiquement rien vu.

[Superwonderscope]

En fait, le film se maintient plutot bien : il ne perd que 27% de ses entrées à dimanche soir et a cumulé presque 2.2 millions de spectateurs malgré Iron Man 2...

[Machet]

Je viens de voir la chose sur tf1 (la seule raison d'être du film je présume). J'ai voulu tenir jusqu'au bout, malgré la torture, pour voir à quel point c'était vide. Ça ne m'a pas décroché un seul sourire. Ni fait ni à faire, le scénario est lamentable, creux, indigne d'un téléfilm (à tout prendre, le machin-téléfilm Camping Paradis est plus intéressant... pour ce que j'en ai vu). Sur la forme, c'est pire : le camping semble vide, ça manque de figurant, de vie, la mise en scène est plate et mécanique, à croire que le budget est passé tout entier dans le salaire des deux-trois acteurs stars. Et ça sort au cinéma ça ?

[DPG]

Ça fait même 4 millions d'entrées si tu veux tout savoir !

Oui, tu as le droit de pleurer