In their skin / Replicas - Jeremy Power Regimbal (2012)

[Superwonderscope]

Ce thriller domestique hyper-tendu avec Selma Blair, Joshua Close (qui a écrit le scénario) et James d'Arcy vient d'être acheté par IFC aux USA pour sa distribution.

On en reparle très vite sur le site : vu au marché du film de Cannes 2012 et sur un sujet assez classique, il s'avère être l'une des deux ou trois meilleures choses vues cette année. La chronique arrive bientôt.

[Superwonderscope]

Et la chronique sur le site, la voilà :

http://www.devildead.com/indexnews.php3?NewsID=7461

Le film sera prochainement distribué aux USA par IFC, qui a fait son acquisition via sa branche films de genre "IFC Midnight".

[Superwonderscope]

Ca s'appelle désormais In their skin, avec une nouvelle affiche

[Manolito]

Pour ma part, j'ai trouvé ça assez bof. La mise en scène, les acteurs, la photo sont vraiment de haut standing et "In their skin" fait vraiment "cinéma" sur un grand écran. Mais les rebondissements et les situations sentent le déjà vu mille fois, resucée de "Funny Games" avec moins de personnalité, pas d'invention. Les acteurs sauvent les meubles, mais en fin de compte, j'ai trouvé ce film assez creux et déplaisant, avec des personnages très stéréotypés.

[arioch]

Je suis un peu plus convaincu par la première partie. En fait, ce qui est intéressant dans le film, c'est le moment où tu restes sur le fil du rasoir. Tu sais que ça va exploser, tu guettes les prémices de ce qui va mettre le feu aux poudres. Ca, je trouve que c'était bien fait. Après, une fois que l'on tombe du côté du thriller domestique, j'ai trouvé ça moins réussi car très bateau avec des rebondissements qui n'ont rien de neuf. Je suis aussi gêné par l'épilogue qui, comme je l'ai dit, est le même que 2012 de Roland Emmerich. Si tu as des problèmes de couples, si tu fais pipi au lit, pas de problème, une catastrophe viendra resserrer les boulons. Et, là, bah, c'est ça. A la fin, les problèmes ont disparu, tout va mieux, la vie est chouette, on devrait se faire agresser plus souvent, tiens !

On a une interview du réalisateur, je lui ai demandé son point de vue sur la fin ainsi que d'autres points qui m'ont paru étrange. Mais dans mon souvenir, il botte pas mal en touche. Mais il faut retranscrire et traduire la chose, là, c'est juste du souvenir, peut être qu'il m'a fait une révélation que je n'ai pas retenu.

[comte vonkrolock]

Si tu as des problèmes de couples, si tu fais pipi au lit, pas de problème, une catastrophe viendra resserrer les boulons. Et, là, bah, c'est ça. A la fin, les problèmes ont disparu, tout va mieux, la vie est chouette, on devrait se faire agresser plus souvent, tiens !

Un peu comme dans la soit disant vraie vie genre TV réalité lorsqu'il se frite sur une île perdue et qu'il sont tous de joie d'avoir réussit à faire une pêche miraculeuse ou bien qu'il ramène une pièce de bois chez eux. Non toute ressemblance n'est pas fortuite s'est bien la triste réalité, les gens oublie souvent les soucies une fois qu'ils sont en effet dans une merde encore plus grosse que la précédente. Cela dis est ce que sa peut faire un bon film....