Francis semble avoir les Polonais dans son coeur en ce moment !
Donc si vous aimez les noms en "ski", "ska", "wicz" ou que vous êtes tout simplement curieux de savoir ce que contient ce disque zone 2 FR sorti chez Malavida, ben cliquouillez ici :
http://www.devildead.com/indexfilm.php3 ... D_ANIOLOW)
Mère Jeanne Des Anges (1961) Jerzy Kawalerowicz
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Re: Mère Jeanne Des Anges (1961) Jerzy Kawalerowicz
Un bien joli film, vu il y a longtemps en salle. Faudrait que je me replonge dedans en DVD.
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Re: Mère Jeanne Des Anges (1961) Jerzy Kawalerowicz
Pour les cinéphiles de Paris/RP (et pour celles et ceux qui veulent monter à la capitale), possibilité de revoir ce Mère Jeanne des Anges mais également tous les autres films de Jerzy Kawalerowicz à partir d'aujourd'hui 19/11/2008.
Une rétrospective de son œuvre au cinéma Accatone, donc avec Aussi L'otage de l'Europe, le magnifique "Pharaon"...
Une rétrospective de son œuvre au cinéma Accatone, donc avec Aussi L'otage de l'Europe, le magnifique "Pharaon"...
Oh really? Well then I'm sure you wouldn't mind giving us a detailed account of exactly how you concocted this miracle glue, would you ?
Mère Jeanne des anges - 1961 - Jerzy Kawalerowicz
Titre polonais : Matka Joanna od aniolów

Au moyen-âge, dans la campagne polonaise, un jeune prêtre est envoyé dans un couvent de nonnes où les soeurs s'avèrent possédées et ont fait du scandale avec un curé qui a été brûlé pour sorcellerie...
Bien évidemment, ce film est connu pour être l'"autre" version de l'affaire authentique des possédés de Loudun avec "Les diables" de Ken Russel, plus tardif. Toutefois, il ne reprend pas exactement la même histoire, puisque le personnage joué par Oliver Reed dans "Les Diables" est déjà mort et que les nonnes sont toutes encore vivantes. Le film porte le regard d'un jeune prêtre idéaliste et exalté (un peu comparable au personnage de "Le moine" de CS Lewis) qui se trouve plongé dans l'univers des nonnes possédées, riche en paradoxes humains.
Derrière le cirque des possessions et des exorcismes apparaît la réalité de femmes ayant le choix entre le renoncement et la réclusion hors du monde d'une part (les possédées) et les autres appelées à être trompée et bafouée par les hommes d'autre part (la nonne non possédée, en fait la seule à ambitionner encore de mener une vraie vie de femme). Comme le fait remarquer Francis dans sa critique sur le site, certains passages d'exorcisme annonce clairement "L'exorciste" de Friedkin. Le parti-pris visuel est austère, pour ainsi dire à l'opposée du foisonnement de Ken Russell, mais le film n'en a pas moins d'impact, grâce à un récit intelligent, une mise en scène et une interprétation excellentes. Un bon film à découvrir ou redécouvrir !
Vu sur le dvd malavida français chroniqué par Francis sur devildead :
http://www.devildead.com/indexfilm.php3?FilmID=1622


Au moyen-âge, dans la campagne polonaise, un jeune prêtre est envoyé dans un couvent de nonnes où les soeurs s'avèrent possédées et ont fait du scandale avec un curé qui a été brûlé pour sorcellerie...
Bien évidemment, ce film est connu pour être l'"autre" version de l'affaire authentique des possédés de Loudun avec "Les diables" de Ken Russel, plus tardif. Toutefois, il ne reprend pas exactement la même histoire, puisque le personnage joué par Oliver Reed dans "Les Diables" est déjà mort et que les nonnes sont toutes encore vivantes. Le film porte le regard d'un jeune prêtre idéaliste et exalté (un peu comparable au personnage de "Le moine" de CS Lewis) qui se trouve plongé dans l'univers des nonnes possédées, riche en paradoxes humains.
Derrière le cirque des possessions et des exorcismes apparaît la réalité de femmes ayant le choix entre le renoncement et la réclusion hors du monde d'une part (les possédées) et les autres appelées à être trompée et bafouée par les hommes d'autre part (la nonne non possédée, en fait la seule à ambitionner encore de mener une vraie vie de femme). Comme le fait remarquer Francis dans sa critique sur le site, certains passages d'exorcisme annonce clairement "L'exorciste" de Friedkin. Le parti-pris visuel est austère, pour ainsi dire à l'opposée du foisonnement de Ken Russell, mais le film n'en a pas moins d'impact, grâce à un récit intelligent, une mise en scène et une interprétation excellentes. Un bon film à découvrir ou redécouvrir !
Vu sur le dvd malavida français chroniqué par Francis sur devildead :
http://www.devildead.com/indexfilm.php3?FilmID=1622
