il repasse demain soir sur syfy france, avant de sortir en dvd/bluray chez Filmedia le 6 février
sous le titre Le Projet Philadelphia, l'expérience interdite. Il était déjà passé voici deux semaines mais je l'avais loupé.
ce n'est pas un remake du film de 1984, mais on retrouve quand même Michael Paré, sans doute dans un autre film.
The Philadelphia Experiment - Paul Ziller (2012)
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The Philadelphia Experiment - Paul Ziller (2012)
Sa place est dans un Blu-Ray !
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Re: The Philadelphia Experiment - Paul Ziller (2012)
avec Malcolm McDowell, toujours de sévice et Ryan Robbins (Apollo 18). les castings sont vraiment curieux 

Oh really? Well then I'm sure you wouldn't mind giving us a detailed account of exactly how you concocted this miracle glue, would you ?
Re: The Philadelphia Experiment - Paul Ziller (2012)
Mouais, je l'ai enregistré - Ziller oblige - et j'en attend beaucoup 

Re: The Philadelphia Experiment - Paul Ziller (2012)
Pas un remake du film éponyme de 1984, comme le souligne Jérome plus haut, mais plutôt une suite, ou plus précisément une récupération du point de départ de l’intrigue originelle.
Je voulais y croire un peu, à ce nouveau Paul Ziller. Je me disais qu’il y avait là un sujet de science-fiction sympa à la base et un casting un petit peu plus stimulant que ceux proposés par les derniers forfaits du cinéaste. Leur statut de forçats du cacheton n’a en effet jamais empêché Michael Paré et Malcolm McDowell de posséder une présence certaine à l’écran et de délivrer à l’occasion de solides prestations dans des produits de seconde main.
Et je dois dire que le film ne démarre pas trop mal. Certes les effets visuels viennent rapidement nous rappeler dans quelle gamme de produits l’ensemble évolue, mais l’intrigue, qui part dans trois directions différentes, s’avère au départ plus dense que prévue tout en proposant une idée nouvelle séduisante par rapport au film de Raffill :le bateau ne se ballade maintenant pas seulement dans le temps, mais également dans l’espace. Le personnage principal est par ailleurs traité avec un minimum de soin, ce qui nous vaut une jolie scène de rencontre avec sa petite fille. Bref, la première moitié du film est plutôt correcte … pour du Paul Ziller, en tout cas.
Malheureusement, ça se gâte sévèrement par la suite. On retombe dans une classique histoire de chasse à l’homme mâtinée de récit catastrophe à l’échelle planétaire, soit exactement la même came que tous les produits Sy-Fy tournés dernièrement par Ziller. Il y a de l’action mais pas de tension, pas d’enjeu, aucune imagination dans la confection. Aucune crédibilité et présence également du côté du personnage de la méchante de service, qui semble sortir tout droit d’un soap-opera californien. Le dernier quart d’heure, à la fois mou et moche, bref, en un mot minable, clôt l’ensemble sur une impression des plus négatives.
Et ce ne sont pas Malcolm McDowell et Michael Paré qui sauvent l’affaire. Le premier passe en coup de vent (à peine dix minutes sur les 85 du film), le second s’investit un peu plus – il balance même quelques beignes au plus fort de son implication – mais à perte tant son personnage de tueur est translucide.
Je voulais y croire un peu, à ce nouveau Paul Ziller. Je me disais qu’il y avait là un sujet de science-fiction sympa à la base et un casting un petit peu plus stimulant que ceux proposés par les derniers forfaits du cinéaste. Leur statut de forçats du cacheton n’a en effet jamais empêché Michael Paré et Malcolm McDowell de posséder une présence certaine à l’écran et de délivrer à l’occasion de solides prestations dans des produits de seconde main.
Et je dois dire que le film ne démarre pas trop mal. Certes les effets visuels viennent rapidement nous rappeler dans quelle gamme de produits l’ensemble évolue, mais l’intrigue, qui part dans trois directions différentes, s’avère au départ plus dense que prévue tout en proposant une idée nouvelle séduisante par rapport au film de Raffill :le bateau ne se ballade maintenant pas seulement dans le temps, mais également dans l’espace. Le personnage principal est par ailleurs traité avec un minimum de soin, ce qui nous vaut une jolie scène de rencontre avec sa petite fille. Bref, la première moitié du film est plutôt correcte … pour du Paul Ziller, en tout cas.
Malheureusement, ça se gâte sévèrement par la suite. On retombe dans une classique histoire de chasse à l’homme mâtinée de récit catastrophe à l’échelle planétaire, soit exactement la même came que tous les produits Sy-Fy tournés dernièrement par Ziller. Il y a de l’action mais pas de tension, pas d’enjeu, aucune imagination dans la confection. Aucune crédibilité et présence également du côté du personnage de la méchante de service, qui semble sortir tout droit d’un soap-opera californien. Le dernier quart d’heure, à la fois mou et moche, bref, en un mot minable, clôt l’ensemble sur une impression des plus négatives.
Et ce ne sont pas Malcolm McDowell et Michael Paré qui sauvent l’affaire. Le premier passe en coup de vent (à peine dix minutes sur les 85 du film), le second s’investit un peu plus – il balance même quelques beignes au plus fort de son implication – mais à perte tant son personnage de tueur est translucide.