Avec Winner, c'est un real assez "special"

qui nous quitte.
Un real qui fleure bon le souffre avec Death Wish, peut se la jouer putassier avec The Sentinel, vulgaire avec Death Wish 2, (involontairement) rigolo avec The Nightcomers et portnawak avec Death Wish 3.
C'est aussi le real qui aura achever de jeter Bronson (un tres bon acteur a la base) dans les bras de la Cannon

pour l'aider a payer ses factures et sa retraite a coups de justicierxploitation en tout genre.
Winner c'est des images comme les revenantes lesbiennes de The Sentinel

, Brando et sa fleche

dans The Nightcomers (Steve Martin aurait aime

), un Mitchum catatonique dans The Big Sleep

et Bronson, Bronson et toujours Bronson.
Bizarrement, c'est un real dont bibi adore se repasser ses films--surtout Death Wish 3 (vu au cine a sa sortie

, arrete de compter a la cinquantaine

). S'il fallait ramener le real a un titre de sa filmographie; Le Corrupteur. je pense qu'il aurait aime l'attention.
So long, Mr Winner. It was a fun romp.

En direct du Japon. Bonsoir. A vous, Cognac-Jay.