

Quatre biopics (Malher, Tchaikovsky, Rudolph Valentino, Henri Gaudier), de la zik, de l'histoire, une bonne dose d'anticlericalisme


Un cerveau d'un milliard de dollars (1967) : ...
Love (1969) : Pas trop de souvenirs, à part les scènes de nues franchement osées pour l'époque...à revoir.
The Music Lovers (1970) : ...
Les diables (1971) : La claque...
Une incroyable et véridique machination à base de (fausses) possessions, le tout baignant dans un climat d'hystérie absolument grandiose. Reed et Redgrave au top comme jamais. 6/6
The boy friend (1971) : ...
Savage Messiah (1972) : ...
Mahler (1974) : ...
Tommy (1975) : Vraiment bien, mais un peu trop longuet quand même. Un casting démentiel et quel final ! 4,5/6
Lisztomania (1975) : ...
Valentino (1977) : ...
Au delà du réel (1980) : J'ai un très bon souvenir des scènes de trips, ainsi que de la métamorphose en primate...mais pas du reste, qui semblait moins passionnant. Une nouvelle vision s'impose

Les jours et les nuits de China Blue

Une Belle de jour eighties, glauque et kitch avec un duo Turner/Perkins...sensationnel. 6/6
Gothic (1984) : Je l'apprecie un peu plus à chaque vision. Un spectacle assez timbré, particulièrement déconcertant, sulfureux et fascinant. Notez quand même qu'il y a eu encore deux films sur le sujet !!
4,5/6
Salome's Last Dance (1988) : ...
Le repaire du vers blanc (1988) : Bon souvenir. Un truc portnawesque avec des nonnes empalées, un vers géant, de la cornemuse et de l'entrejambe de scout croquée à pleine dents. J'aime

The Rainbow (1989) : ...
La putain (1991) : Russell répète un peu son China Blue. Visuellement assez plat...mais bien rythmé, rigolo, assez sordide. Theresa Russell vaut le coup d'oeil. 4,5/6