The Barrens - Darren Lynn Bousman (2012)

[Superwonderscope]

Un homme (Stephen Moyer - True Blood) emmène sa famille en camping en forêt et devient persuadé qu'il sont l'objet d'attaques d'une créature légendaire : le Jersey Devil.

Tourné au Canada avec aussi en tête de distribution Mia Kirshner (Exotica, Party Monster...) et Eric Knudsen (Scott Pilgrim, Scre4m)

Ecrit et réalisé par D.L Bousman, via la même boite qui a produit Mother's day. Anchor Bay s'occupera de la distribution cinéma et home video.

[comte vonkrolock]

Un homme (Stephen Moyer - True Blood) emmène sa famille en camping en forêt et devient persuadé qu'il sont l'objet d'attaques d'une créature légendaire : le Jersey Devil.

Il me semble que Mulder et Scully l'avait déjà affronter au court de leurs investigations dans la premiere saison d'X-files

[Superwonderscope]

En blu Ray le 9 octobre 2012 chez Starz/Anchor bay



ce qu'on sait pour le monent : il y aura un commentaire audio avec Darren Lynn Bousman (aussiscénariste pour le coup) et le DP Joseph White

[comte vonkrolock]

Voilà une très bonne nouvelle et news Devidead

http://www.devildead.com/indexnews.php3?NewsID=7845

[Superwonderscope]

En avant-première sur le site, la chronique du BD français qui sort cette semaine sous le titre français (mouarf) de THE FORREST :

http://www.devildead.com/indexnews.php3?NewsID=7924

[Superwonderscope]

Plutôt bien apprécié ce récit paranoïaque sur le père de famille qui dévisse méchamment de la réalité. Le récit entretient un suspens habile, honnête, à mi chemin entre schizophrénie, maladie galopante (est-il malade physiquement jusqu'à halluciner... ou pas?), fantastique ou réalité. mention spéciale à Stephen Moyer qui offre une interprétation très physique de son personnage : il se donne à l'écran et ça se sent & se voit! A l'inverse, Mia Kirschner (que j'aime bien d'habitude) donne une mère de famille assez peu concernée par le rôle.
Tournage à l’énergie, équipe technique légère, caméra mobile qui distille progression une belle sensation d 'étouffement dans cette forêt des "Barrens" (d'où le titre original du film). Le monstre devient accessoire et on comprend qu'il ne s'agit pas du sujet principal du film. La désintégration de la santé mentale du père et l'implosion de la cellule familiale sont calibrées de belle manière et Bousman fait preuve d'un point de vue qui ne dévie que peu de sa trajectoire. Les cénario joue assez bien entre explications réalistes et interprétations fantastique sur les événements et meurtres qui se déroulent.
Des personnages secondaires parfois inutiles (le petit copain, entre autres) viennent parasiter le script.
La chronqiue mentionne le Wendigo de Larry Fessenden. j'avais trouvé le film assez risible et sa créature minable. ici, je me suis plus trouvé immergé dans la folie naissante qui va crescendo. Pas parfait, mais un bel exercice de pression psychologique.

le blu ray français est efficace côté sonore, et le visuel assez précis sur la HD, donnant bien à sentir le côté rugueux de l'entreprise (ambiance grise, automnale, parfois sale) l'expérience du grain cinéma est un vrai plus.

[comte vonkrolock]

La chronqiue mentionne le Wendigo de Larry Fessenden. j'avais trouvé le film assez risible et sa créature minable. ici, je me suis plus trouvé immergé dans la folie naissante qui va crescendo. Pas parfait, mais un bel exercice de pression psychologique.

Peut-être que s'est simplement parceque s'est bien le seul film qui revienne aussi assez vite à l’esprit une fois visionné se très correcte The Barrens, re-titré chez nous faute de pouvoir réussir à le vendre sous son titre originale: Les Landes.

Larry Fessenden en a pratiquement fait son créneaux de se genre, comme sur le très bon Last Winter, de l'horreur-fantastique différente qui joue beaucoup plus sur l'aspect psychologie. Avec souvent cette ambiance automnale, une approche naturiste. Les protagonistes s'éloignent de la ville, il y a là un coté écolo. Bref du bon cinéma Fantastique loin des standards actuel de films de monstres en DTV qui pullules sans aucune approche, ni personnalité, à vouloir toujours nous en remettre une couche façon énième remake à la Alien.

Darren Lynn Bousman prouve bien qu'on peut encore faire un peu d'originalité dans ce système ou les grands studio sembla avoir la main mise sur tous avec se qui pourtant à la base partait justement comme un classique film de monstre en forêt.