Avant visionnage: la première chose qui ma motivé à voir ce film, c'est que le scénario est de John Carpenter. Il y a Tommy Lee Jones et Linda Hamilton, deux acteurs pas spécialement beaux mais qui ont du caractère. Ensuite ce film flirt avec la SF pour la base du scénario, car il est question d'un prototype de voiture au look futuriste pour l'époque. L'affiche reprend une des scènes marquantes du film, celle où la voiture traverse une vitre d'un building. Cette affiche a toujours aiguisé ma curiosité envers ce film. Le dvd en ma possession indique une image 4/3 et juste la VF, mais il semble que cela soit l'édition Opening (d’après le code barre) et non la version "pirate" décliné dans de multiples jaquettes Intégral.
Après visionnage: ce film ne manque pas de rythme, j'ai donc passé un bon moment. Tommy Lee Jones est excellent. Il incarne bien le héro solitaire comme John Carpenter sait si bien les créer. Là encore comme pour plusieurs film de Carpenter , le héro doit faire un boulot qu'il n'a pas voulu pour sauver sa peau. D'ailleurs il s'en prend plein la gueule pendant une scène d'anthologie où il se fait tabasser avec coups de pied dans les couilles inclus. J'avais trop mal pour lui, bon après il se retrouve dans le lit de Linda Hamilton pour se faire chouchouter, mais on voit bien qu'il souffre pendants toute la suite de l'histoire. Un bon film qui a quand même mal vieillie mais qui se regarde avec plaisir. Pour ce qui est du dvd c'est vraiment pas terrible, j'appel ça une VHS-Like, c'est un dvd avec une image délavé en 4/3 uniquement en VF et qui n'a aucun bonus. La définition n'est quand même pas trop mal. Ce film mériterait une meilleure édition chez nous.
Black Moon Rising / Sans issue - Harley Cokliss (1986)
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Superwonderscope
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Re: Black Moon Rising - Harley Cokliss (1986)
vu sur le Z1 de chez RCJ.
On sent la patte de Carpenter sur le personnage central, très Plissken dans sa démarche; a y repenser, le film fonctionnerait mieux en western car ça fait très western contemporain...
Tommy Lee Jones ne décroche pas la mâchoire (sauf un léééééééééééger sourire), Linda Hamilton a une choucroute terrible sur le crâne, mais s'acquitte assez bien de sa tâche de voleuse de bagnole ambiguë (en fait, j'aime bien cette actrice!). Vaughn fait son méchant, as usual, plutot bien là aussi... et Nick cassavetes avant sa rédemption, très drôle
la zique de Lalo Schifrin est, hormis un thème très 60's, parfaitement abominable
des zigouigouis Bontempi datés, du même accabit que l'horreur de Maurice Jarre pour Dreamscape. Ca fait mal aux oreilles. Quant j'ai réécouté celle de Bullitt dans la foulée, j'ai eu mal pour lui. Niveau créa = 0.
Pour le reste, un film médiocre, pas désagréable à regarder mais réalisé de manière assez anonyme. Les scènes de poursuites sont punchy et on attend le climax du dernier quart d'heure... des SFX qui tiennent encore la route mais bon... "tout ça pour ça".
...d'autant que l'affiche vend la mèche
1.85/1 - 16/9e
dolby 2.0 stereo
99 mn
aucun bonus - aucun.... ben, rien quoi. sur le même skeud que Reform school Girls et.. Night Patrol
(PS : satisfaction de cinéphile 80's : le magnifique générique New World Pictures a été conservé!)
On sent la patte de Carpenter sur le personnage central, très Plissken dans sa démarche; a y repenser, le film fonctionnerait mieux en western car ça fait très western contemporain...
Tommy Lee Jones ne décroche pas la mâchoire (sauf un léééééééééééger sourire), Linda Hamilton a une choucroute terrible sur le crâne, mais s'acquitte assez bien de sa tâche de voleuse de bagnole ambiguë (en fait, j'aime bien cette actrice!). Vaughn fait son méchant, as usual, plutot bien là aussi... et Nick cassavetes avant sa rédemption, très drôle
la zique de Lalo Schifrin est, hormis un thème très 60's, parfaitement abominable
des zigouigouis Bontempi datés, du même accabit que l'horreur de Maurice Jarre pour Dreamscape. Ca fait mal aux oreilles. Quant j'ai réécouté celle de Bullitt dans la foulée, j'ai eu mal pour lui. Niveau créa = 0.Pour le reste, un film médiocre, pas désagréable à regarder mais réalisé de manière assez anonyme. Les scènes de poursuites sont punchy et on attend le climax du dernier quart d'heure... des SFX qui tiennent encore la route mais bon... "tout ça pour ça".
...d'autant que l'affiche vend la mèche
1.85/1 - 16/9e
dolby 2.0 stereo
99 mn
aucun bonus - aucun.... ben, rien quoi. sur le même skeud que Reform school Girls et.. Night Patrol
(PS : satisfaction de cinéphile 80's : le magnifique générique New World Pictures a été conservé!)
Oh really? Well then I'm sure you wouldn't mind giving us a detailed account of exactly how you concocted this miracle glue, would you ?
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bluesoul
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Re: Black Moon Rising - Harley Cokliss (1986)
Re-vu a l'instant sur le bouquet BS ou le film tourne de temps a autre, mais sur BS Nippon Terebi (pas la NHK), donc des pubs. Mais le film a l'air complet.
(En fait, Tommy Lee Jones est tres populaire par ici, car represente une marque de cafe tres connue et je soupconne que ca joue en la faveur des diffusions du film! )
Bibi connait le film depuis les annees '80s via une VHS locative allemande.
A l'arrivee, le film reste sympa, meme si tres estampile "bis" ou "serie B". Il est aussi TRES estampile aannees '80s et pas toujours dans le bon sens.
Les trucs qui font un peu tiquer ne manquent pas mais reste supportables.
D'abord le couple Hamilton (30 ans au compteur)-Lee Jones (40 ans au compteur) est moyennement convainquant. Le fait que Vaughn (54 ans a l'epoque!) AUSSI a des vues sur Hamilton commence a faire beaucoup... M'enfin, annees '80s, epoque liberee et toussa .
Quoi qu'il en soit, meme si TLJ est en forme, on sent qu'un acteur avait 10 ans de moins au compteur aurait mieux fait l'affaire. A noter ainsi sa sequence torse nu ou il semble aussi discretement que possible...rentrer le ventre (croyez-moi, je sais de quoi je partle!)
La bagnole-concept a qui on fait tenir la (co-)vedette plus que de raison (et sur laquelle on a accessoirement fait reposer une partie du marketing) fait treeeeees Macguffin. C'est vrai qu'elle aurait juste pu etre une bagnole TRES chere (ou juste "tunee" Fast and Furious-style) aurait suffi, mais aurait aussi gomme l'aspect pseudo-SF TRES artificiel qu'entretient le film.
Tout aussi science-fictionnel parait etre cette base/etage fantome/partie d'immeuble escamotee ou Vaughn cache sa "base secrete". Completement improbable et tres bondienne dans son idee.
Encore plus improbable etant que les proprietaires de la bagnole volee ne font pas appel a la police plus que ca apres s'etre fait econduire.
La super-bagnole fait aussi TRES dans le vent vu ce qui passait a la teloche US a l'epoque: Knight Rider TV (1982) avec sa bagnole, Street Hawk TV (1985) et sa moto, Airwolf TV (1984) et Blue Thunder TV (1984) et leurs helicos, donne ainsi un cote televise pas tres tres bienvenu.
Cote '80s on a aussi la coiffure douteuse de Hamilton (deja presente dans Terminator) et son interieur 100% japonais/asiatique-bidon.
Aussi tres douteuse est la BO de Schifrin qui fait tres quelconque et tres teloche. A vrai dire, certains passages me font penser a du recyclage de Blue Thunder (1984), voire aussi d'une partition televisuelle(??). (impossible de me rappeller quoi, mais je suis sur de connaitre(!) )
Venant apres Terminator et son look nocturne et ses pourquites dantesques, le film--qui boxe pourtant dans la meme categorie "serie B"--fait TRES profil bas.
A vrai dire, sans Hamilton, Lee Jones et Vaughn devant la camera et Carpenter au scenario, on en ressort un peu avec l'impression que le film aurait pu etre oublie...
Mais bon, la realisation de Cokliss est carree et les poursuites (plus "classiques" que Terminator) sont bien rodees, les acteurs livrent des prestations solides et l'ensemble passe encore plutot bien et on passe un bon moment.
Black Moon Rising: 3.75 / 5 (un chouette ch'ti thriller d'action d'epoque, un peu l'impression de voir un prototype '80s de Fast and Furious qui allait s'en inspirer pour un de ses episodes
)
(En fait, Tommy Lee Jones est tres populaire par ici, car represente une marque de cafe tres connue et je soupconne que ca joue en la faveur des diffusions du film!
)Bibi connait le film depuis les annees '80s via une VHS locative allemande.
A l'arrivee, le film reste sympa, meme si tres estampile "bis" ou "serie B". Il est aussi TRES estampile aannees '80s et pas toujours dans le bon sens.
Les trucs qui font un peu tiquer ne manquent pas mais reste supportables.
D'abord le couple Hamilton (30 ans au compteur)-Lee Jones (40 ans au compteur) est moyennement convainquant. Le fait que Vaughn (54 ans a l'epoque!) AUSSI a des vues sur Hamilton commence a faire beaucoup... M'enfin, annees '80s, epoque liberee et toussa
.Quoi qu'il en soit, meme si TLJ est en forme, on sent qu'un acteur avait 10 ans de moins au compteur aurait mieux fait l'affaire. A noter ainsi sa sequence torse nu ou il semble aussi discretement que possible...rentrer le ventre (croyez-moi, je sais de quoi je partle!)
La bagnole-concept a qui on fait tenir la (co-)vedette plus que de raison (et sur laquelle on a accessoirement fait reposer une partie du marketing) fait treeeeees Macguffin. C'est vrai qu'elle aurait juste pu etre une bagnole TRES chere (ou juste "tunee" Fast and Furious-style) aurait suffi, mais aurait aussi gomme l'aspect pseudo-SF TRES artificiel qu'entretient le film.
Tout aussi science-fictionnel parait etre cette base/etage fantome/partie d'immeuble escamotee ou Vaughn cache sa "base secrete". Completement improbable et tres bondienne dans son idee.
Encore plus improbable etant que les proprietaires de la bagnole volee ne font pas appel a la police plus que ca apres s'etre fait econduire.
Spoiler : :
Cote '80s on a aussi la coiffure douteuse de Hamilton (deja presente dans Terminator) et son interieur 100% japonais/asiatique-bidon.
Aussi tres douteuse est la BO de Schifrin qui fait tres quelconque et tres teloche. A vrai dire, certains passages me font penser a du recyclage de Blue Thunder (1984), voire aussi d'une partition televisuelle(??). (impossible de me rappeller quoi, mais je suis sur de connaitre(!) )
Venant apres Terminator et son look nocturne et ses pourquites dantesques, le film--qui boxe pourtant dans la meme categorie "serie B"--fait TRES profil bas.
A vrai dire, sans Hamilton, Lee Jones et Vaughn devant la camera et Carpenter au scenario, on en ressort un peu avec l'impression que le film aurait pu etre oublie...
Mais bon, la realisation de Cokliss est carree et les poursuites (plus "classiques" que Terminator) sont bien rodees, les acteurs livrent des prestations solides et l'ensemble passe encore plutot bien et on passe un bon moment.
Black Moon Rising: 3.75 / 5 (un chouette ch'ti thriller d'action d'epoque, un peu l'impression de voir un prototype '80s de Fast and Furious qui allait s'en inspirer pour un de ses episodes
)En direct du Japon. Bonsoir. A vous, Cognac-Jay.
Re: Black Moon Rising - Harley Cokliss (1986)
difficile à dire si c'est l'ambiance froide noire nocturne métallique bleutée de ce film qui a marqué en asie le courant "yoru" et des oeuvres comme "Goku midnight eye" mais quand même.. (ou l'affinage à force d'idées de moult films nocturnes urbains américains dont "No man's land " ).
__
il va sortir en avril 2019, en bluray chez Arrow avec une longue liste de bonus
Brand new 2K restoration of the film from the original 35mm interpositive
High Definition Blu-ray (1080p) presentation
Uncompressed PCM 2.0 stereo audio and alternative 5.1 DTS-HD MA soundtrack
Optional English subtitles for the deaf and hard of hearing.
New audio commentary by Lee Gambin, author of Show Me: The Making of Christine
Black Moon Ascending, a new interview with director Harley Cokeliss
Thief in The Night: Producing Black Moon Rising, a new interview with producer Douglas Curtis
Sound of Speed: Composing Black Moon Rising, a new interview with composer Lalo Schifrin and film music historian Daniel Schweiger
Carpenter’s Craft, a new video essay on co-writer John Carpenter’s screenwriting career by author and critic Troy Howarth
Making Black Moon Rising, an archival documentary featuring behind the scenes footage and cast and crew interviews
Alternative Hong Kong version scenes, a presentation of selected scenes from the Hong Kong theatrical version with a different score and sound effects
Theatrical trailer and radio spots
Reversible sleeve featuring original and newly commissioned artwork by Haunt Love
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il va sortir en avril 2019, en bluray chez Arrow avec une longue liste de bonus
Brand new 2K restoration of the film from the original 35mm interpositive
High Definition Blu-ray (1080p) presentation
Uncompressed PCM 2.0 stereo audio and alternative 5.1 DTS-HD MA soundtrack
Optional English subtitles for the deaf and hard of hearing.
New audio commentary by Lee Gambin, author of Show Me: The Making of Christine
Black Moon Ascending, a new interview with director Harley Cokeliss
Thief in The Night: Producing Black Moon Rising, a new interview with producer Douglas Curtis
Sound of Speed: Composing Black Moon Rising, a new interview with composer Lalo Schifrin and film music historian Daniel Schweiger
Carpenter’s Craft, a new video essay on co-writer John Carpenter’s screenwriting career by author and critic Troy Howarth
Making Black Moon Rising, an archival documentary featuring behind the scenes footage and cast and crew interviews
Alternative Hong Kong version scenes, a presentation of selected scenes from the Hong Kong theatrical version with a different score and sound effects
Theatrical trailer and radio spots
Reversible sleeve featuring original and newly commissioned artwork by Haunt Love
Modifié en dernier par fiend41 le ven. févr. 01, 2019 7:31 pm, modifié 1 fois.
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bluesoul
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- Enregistré le : sam. sept. 27, 2008 4:09 pm
- Localisation : Tokyo dans les annees 70s, baby! Yeah!
Re: Black Moon Rising - Harley Cokliss (1986)
Je me suis dit un peu la meme chose, calendrier oblige, car la NHK a de son cote aussi diffuse Into the Night recemment.difficile à dire si c'est l'ambiance froide noire nocturne métallique bleutée de ce film qui a marqué en asie le courant "yoru" et des oeuvres comme "Goku midnight eye" mais quand même.. (ou l'affinage à force d'idées de moult films nocturnes urbains américains dont "No man's land " ).
Milieu des annees 80s, on avait Terminator (1984), Black Moon Rising (1986), After Hours (1985), Into the Night (1985) ou Adventures in Babysitting (1987), tous des films "nocturnes" avec une esthetique qui va avec et a laquelle bibi a du mal a resister.
Cote Japon, l'animation n'etait pas en reste, notamment grace a Yoshiaki Kawajiri: Youjuu Toshi [Demon Beast City, a.k.a. Wicked City ] (1987), Makai Toshi Shinjuku OVA [Demon City Shinjuku] (1988), Goku Midnight Eye OVA (1989), Cyber City Oedo 808 OVA (1990).
BMR est un film que j'aime bien. Il a vieilli, mais reste assez representatif d'un certain style '80s et esthetique. Bref, Bluesoul approved!
En direct du Japon. Bonsoir. A vous, Cognac-Jay.
Re: Black Moon Rising / Sans issue - Harley Cokliss (1986)
oups.. je venais justement de lire l'info du BR dans un forum ricain, mais pas bien vérifié et comme pas de net en semaine pas pu rectifier. lundi matin voulant le commander (amazonzon et qq rares endroits ne sont pas censurés au job), je ne trouve quasi pas de vendeurs.. prévu pour Avril 2019..
ahah oui quand on apprécie l'atmosphère des films nocturnes, on prend tout ce qu'on peut trouver ou recenser , j'ai même regardé le remake de Adventures in babysitting 2016 de.. Disney. "Mort à l'arrivée D.O.A" est un immanquable également.
clair enfin obscur ... "CyberCity Oedo 808" c'est une mini trilogie bien imprégnée de ce style comme si projetée 30 ans dans le futur.
je ne situerais donc pas ce "Black moon rising" comme un film si mineur pour les influences ailleurs. John Carpenter a écrit le scénario (et y'avait déjà cette atmosphère dans l'intro de "Escape from NY" pour la banque), mais ça aurait aussi bien pu être Michael Crichton tant c'est du techno thriller, .. on pourrait même le classer dans un univers pré cyberpunk, incluant "Runaway l'évadé du futur"
la liste ne doit pas être mince , qq'un a du faire des recherches je présume, de souvenir y'a eu aussi qq épisodes de MacGyver dans ce ton : forteresse digitale, piège nocturne high-tech.
ahah oui quand on apprécie l'atmosphère des films nocturnes, on prend tout ce qu'on peut trouver ou recenser , j'ai même regardé le remake de Adventures in babysitting 2016 de.. Disney. "Mort à l'arrivée D.O.A" est un immanquable également.
clair enfin obscur
... "CyberCity Oedo 808" c'est une mini trilogie bien imprégnée de ce style comme si projetée 30 ans dans le futur.je ne situerais donc pas ce "Black moon rising" comme un film si mineur pour les influences ailleurs. John Carpenter a écrit le scénario (et y'avait déjà cette atmosphère dans l'intro de "Escape from NY" pour la banque), mais ça aurait aussi bien pu être Michael Crichton tant c'est du techno thriller, .. on pourrait même le classer dans un univers pré cyberpunk, incluant "Runaway l'évadé du futur"
la liste ne doit pas être mince , qq'un a du faire des recherches je présume, de souvenir y'a eu aussi qq épisodes de MacGyver dans ce ton : forteresse digitale, piège nocturne high-tech.