Fils d’un prêtre respecté, Yu intègre un groupe de pervers professionnels afin de vivre dans le péché. Malgré une vie de débauche, le jeune homme ne désespère pas de trouver l’âme soeur. Sa rencontre avec Yoko, dont l’innocence bafouée n’a d’égal que sa haine pour la gent masculine, va propulser le jeune homme bien au-delà des limites du bien et du mal…
4 heures... 4 heures de liberté cinématographique que Sono Sion prend à bras le corps. Quitte à se répéter, à multiplier les faux raccords, à perdre le spectateur en route. Il y a du génie dans ce film des couilles aussi de la petite culotte à foison, quelques combats agrémenté de gore rigolo et beaucoup beaucoup d'amour. Le cinéma japonais ne cessera jamais de m'étonner.
... et puis il y a cette scène qui m'a scotché
