The Omen / La malédiction - Richard Donner (1976)
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The Omen / La malédiction - Richard Donner (1976)
Robert Thorn est ambassadeur des États-Unis à Londres. Plusieurs décès tragiques et étranges ont lieu dans son entourage. Keith Jennings, un photographe et le père Brennan finissent par convaincre Thorn que Damien, son fils de cinq ans, un orphelin aux origines obscures qu'il a adopté à sa naissance à l'insu de sa femme qui venait de faire une fausse couche, n'est autre que l'Antéchrist.
Revu pour la xème fois, le film de Richard Donner fait toujours mouche aujourd'hui. Le rythme est maîtrisé sans pour autant être précipité. Le couple Gregory Peck/Lee Remick fonctionne à merveille. Quelle belle idée de reprendre un Gregory Peck vieillissant et en perte de vitesse. Les actes mortels s’enchaînent avec un plaisir évident d'originalité. La scène du cimetière étrusque est éprouvante et d'une beauté formelle. Et puis il y a la fabuleuse musique de Jerry Goldsmith et ses cœurs maléfiques. Un classique tourné dans un but commercial suite au succès de L'exorciste. Les suites engendrée sont très honorables. Du moins jusqu'à la 3ème. Le remake de 2006 est d'une inutilité totale.
Ps : étonné de ne pas trouver de sujet déjà ouvert
Re: The Omen - Richard Donner (1976)
Un film auquel je n'ai pas du tout accroché, que j'ai trouvé bavard, très hollywoodien dans le sens sage du terme. Vraiment bof. Sans doute à revoir dans de meilleurs conditions prochainement...
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Re: The Omen - Richard Donner (1976)
A non quand même, y a la fameuse zic de Goldsmith ces avé santi voyons Manolito voyons. La malédiction malgré quelques micro longueurs reste une des références du cinéma satanique. L'arrivé de l'anti-christ et ces suites sont bien les fleurons de ce cinéma. Suspense, horreur, fantastique tout y est.Manolito a écrit :Un film auquel je n'ai pas du tout accroché, que j'ai trouvé bavard, très hollywoodien dans le sens sage du terme. Vraiment bof. Sans doute à revoir dans de meilleurs conditions prochainement...
Je préfère même pas savoir qu'il y a un remake, que je ne visionnerais jamais.
Dernière modification par comte vonkrolock le mer. janv. 01, 2014 10:20 am, modifié 1 fois.
Toi t'est un flic..? Non j'uis un con.
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Re: The Omen - Richard Donner (1976)
Le premier a beau être le meilleur, j'ai une petite préférence pour le second avec le Damien adolescent (idem pour la miousik), le troisième est un peu faiblard en comparaison mais le charisme de Sam Neil compense largement.
J'ai acheté la BO du premier en 1993 pendant un séjour chez ma grand-mère super bigotte (photo de Jean-Paul 2 au mur, statue de JC etc.). Je crois me rappeler avoir pris un "malin" plaisir de passer le CD sur sa chaîne... Ave Satani, nié hé... Quelques années plus tard j'ai voulu réitérer en lui proposant de regarder Entretien avec un Vampire, mais elle a protesté avec véhémence...
J'ai acheté la BO du premier en 1993 pendant un séjour chez ma grand-mère super bigotte (photo de Jean-Paul 2 au mur, statue de JC etc.). Je crois me rappeler avoir pris un "malin" plaisir de passer le CD sur sa chaîne... Ave Satani, nié hé... Quelques années plus tard j'ai voulu réitérer en lui proposant de regarder Entretien avec un Vampire, mais elle a protesté avec véhémence...
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Re: The Omen - Richard Donner (1976)
Allez chercher le goudron et les plumes !Manolito a écrit :Un film auquel je n'ai pas du tout accroché, que j'ai trouvé bavard, très hollywoodien dans le sens sage du terme. Vraiment bof. Sans doute à revoir dans de meilleurs conditions prochainement...
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Re: The Omen - Richard Donner (1976)
On retrouve bien là tous l'esprit Devil, manquerais plus qu'un brin de Superfly ou DragonBall pour completer
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Re: The Omen - Richard Donner (1976)
Revu pour la dixième fois cette fois ci sur l'excellent BR UK.
Alors le générique ainsi que les premières image se déroulant à Rome font un peu peur, manquant de contraste avec toujours cette définition un peu flou, puis par la suite sa s'améliore largement. Les couleurs automnale explose, ainsi que le détaille pour bien s'en rendre compte il suffit d'avoir quelques bâtiments ou gros plan.
Vraiment certains magazines pour ne pas les nommés sont toujours aussi dure dans leurs critiques technique avec des films accusant plus de 30 ans au compteur et ne tiennent pas compte non plus du matériel pellicule utilisé à l'époque. Encore un manque flagrant de professionnalisme
Si il y a bien du grain, une image trop douce ou quelques rayures, saletés... A comparer du DVD s'est bien Byzance, faut vraiment avoir l’œil aiguisé. Les points blancs, taches qui pouvait apparaitre sur le DVD on tous simplement disparu. Le rendu sur le contraste, qui fait que tout la séquence finale lorsque le personnage de Gregroy Peck vient chercher Damien dans sa maison redevient clairement lisible.
Un film qui garde tous son charme malgré un 5.1 DTS qui reste beaucoup trop confiné sur l'avant et qui ne fait que quelques incrustation dans les surrounds seulement lors des séquences musicale. Dommage Même si sa reste drôlement efficace lorsqu'un personnage va y passer
Au final un thriller a l'ambiance toujours aussi prenant qui se voit magnifier grâce à ce bien beau BR dont la technologie par rapport au DVD a fait de réel progrès lorsque l'ont compare ces deux disques SD/HD. Et qui permet une fois encore d'apprécier le premier succès de Richard Donner dans une HD à la hauteur.
Alors le générique ainsi que les premières image se déroulant à Rome font un peu peur, manquant de contraste avec toujours cette définition un peu flou, puis par la suite sa s'améliore largement. Les couleurs automnale explose, ainsi que le détaille pour bien s'en rendre compte il suffit d'avoir quelques bâtiments ou gros plan.
Vraiment certains magazines pour ne pas les nommés sont toujours aussi dure dans leurs critiques technique avec des films accusant plus de 30 ans au compteur et ne tiennent pas compte non plus du matériel pellicule utilisé à l'époque. Encore un manque flagrant de professionnalisme
Si il y a bien du grain, une image trop douce ou quelques rayures, saletés... A comparer du DVD s'est bien Byzance, faut vraiment avoir l’œil aiguisé. Les points blancs, taches qui pouvait apparaitre sur le DVD on tous simplement disparu. Le rendu sur le contraste, qui fait que tout la séquence finale lorsque le personnage de Gregroy Peck vient chercher Damien dans sa maison redevient clairement lisible.
Un film qui garde tous son charme malgré un 5.1 DTS qui reste beaucoup trop confiné sur l'avant et qui ne fait que quelques incrustation dans les surrounds seulement lors des séquences musicale. Dommage Même si sa reste drôlement efficace lorsqu'un personnage va y passer
Au final un thriller a l'ambiance toujours aussi prenant qui se voit magnifier grâce à ce bien beau BR dont la technologie par rapport au DVD a fait de réel progrès lorsque l'ont compare ces deux disques SD/HD. Et qui permet une fois encore d'apprécier le premier succès de Richard Donner dans une HD à la hauteur.
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Re: The Omen - Richard Donner (1976)
Vu en Juillet avec un bipack DVD comprenant sa suite, j'ai adoré ce Damien ! Il a un peu vieilli, mais ça reste vraiment correct encore ! La scène de la décapitation est le grand moment du film ! Les personnages sont excellents, le p'tit môme fait presque peur à lui tout seul !
Même ambiance que l'Exorciste (1974), vu que ça surf sur l'immense vague de l'Exorcismploitation !
Mais je préfère le 2 ! Comme avec l'Exorciste II : l'hérétique !
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Re: The Omen - Richard Donner (1976)
Revu sur le BD US, dans le pack 4 films avec le II, III et le remake. (pas le IV, hélas, même c'est une merdasse totale)
Visuel assez laid, quand même... ça manque de définition claire, les couelurs paraissent fatiguées. Certains plans sont carrément flous et je doute très fort que ce sort volontaire de la part de Richard Donner. Les scènes d'intérieur s'en sortent à peine mieux.
Le son 5.1 DTS HD MA profite à la musique, mais ça m'a paru très artificiel. La scène d'attaque des chiens dans le cimétière fait effet de bouillie sonore où rien n'en sort vainqueur.
Clairement, un traitement pas optimal et décevant.
Pour le film, j'ai pris énormément de plaisir à ces 111 mn. C'est une bondieuserie, certes, mais menée avec un sens évident dus suspense, de la montée en puissance du doute, de la peur. Le choix du couple Peck/Remickest curieux sur le papier, mais cela fonctionne assez bien. Peck me paraissant cependant beaucoup trop monolithique. Les seconds rôles sont juteux : Billie Whitelaw en tête, épatante et vicieuse à souhait!
Donner fait merveille dans l'élaboration des plans (quand Peck va voir Damien dans sa chambre après la découverte du chien gardant sa porte...on voit Mrs Baylock fermer la sienne sur la partie droite extrême de l'écran... une mécanique de précision qui se retrouve à plusieurs reprises. Le peu de scènes chocs sont disséminées avec soin, idem pour la construction de scènes de suspense, idéales et précises. L'utilisation de la musique de Goldsmith se fait de manière plus construite que je m'en souvenais. le thème principal se révèle sur petits morceaux, discrets, prenant de l'importance avec l'avancée du récit. Pour prendre toute sa mesure au final, idem pour la scène d'attaque des chiens, avec un morceau tonitruant, menaçant qui s'était construit auparavant.
La narration n'est pas exempte de soucis, avec de grossières ellipses (lA/R à Meggido en fin de métrage expédié en deux temps trois mouvements alors que le reste du film colle une certaine linéarité temporelle, ça m'a paru déséquilibrer le métrage)
Au final , une belle expérience de nouvelle vision, même s'il ne s'agit pas d'un "grand" film à mes yeux. Mais un "bon" film, ce qui est déjà beaucoup car après ans, il possède toujours un certain impact.
Visuel assez laid, quand même... ça manque de définition claire, les couelurs paraissent fatiguées. Certains plans sont carrément flous et je doute très fort que ce sort volontaire de la part de Richard Donner. Les scènes d'intérieur s'en sortent à peine mieux.
Le son 5.1 DTS HD MA profite à la musique, mais ça m'a paru très artificiel. La scène d'attaque des chiens dans le cimétière fait effet de bouillie sonore où rien n'en sort vainqueur.
Clairement, un traitement pas optimal et décevant.
Pour le film, j'ai pris énormément de plaisir à ces 111 mn. C'est une bondieuserie, certes, mais menée avec un sens évident dus suspense, de la montée en puissance du doute, de la peur. Le choix du couple Peck/Remickest curieux sur le papier, mais cela fonctionne assez bien. Peck me paraissant cependant beaucoup trop monolithique. Les seconds rôles sont juteux : Billie Whitelaw en tête, épatante et vicieuse à souhait!
Donner fait merveille dans l'élaboration des plans (quand Peck va voir Damien dans sa chambre après la découverte du chien gardant sa porte...on voit Mrs Baylock fermer la sienne sur la partie droite extrême de l'écran... une mécanique de précision qui se retrouve à plusieurs reprises. Le peu de scènes chocs sont disséminées avec soin, idem pour la construction de scènes de suspense, idéales et précises. L'utilisation de la musique de Goldsmith se fait de manière plus construite que je m'en souvenais. le thème principal se révèle sur petits morceaux, discrets, prenant de l'importance avec l'avancée du récit. Pour prendre toute sa mesure au final, idem pour la scène d'attaque des chiens, avec un morceau tonitruant, menaçant qui s'était construit auparavant.
La narration n'est pas exempte de soucis, avec de grossières ellipses (lA/R à Meggido en fin de métrage expédié en deux temps trois mouvements alors que le reste du film colle une certaine linéarité temporelle, ça m'a paru déséquilibrer le métrage)
Au final , une belle expérience de nouvelle vision, même s'il ne s'agit pas d'un "grand" film à mes yeux. Mais un "bon" film, ce qui est déjà beaucoup car après ans, il possède toujours un certain impact.
Oh really? Well then I'm sure you wouldn't mind giving us a detailed account of exactly how you concocted this miracle glue, would you ?
Re: The Omen - Richard Donner (1976)
Les 4 films du coffret ont une piste Fr (Doby Digital mono pour les 3 premiers et 5.1 pour le plus récent), mais aucun sous-titre et il faut un lecteur multi-zones.Superwonderscope a écrit :Revu sur le BD US, dans le pack 4 films avec le II, III et le remake. (pas le IV, hélas, même c'est une merdasse totale)
http://www.blu-ray.com/movies/The-Omen- ... u-ray/938/
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Re: The Omen - Richard Donner (1976)
Même impression, je l'ai revu cette semaine et malgré le blabla catho ça reste un film fait avec savoir-faire et minutie dans la construction, le rythme...les scènes-choc restent efficaces je trouve et parfois glaçantesSuperwonderscope a écrit :Pour le film, j'ai pris énormément de plaisir à ces 111 mn. C'est une bondieuserie, certes, mais menée avec un sens évident dus suspense, de la montée en puissance du doute, de la peur. Le choix du couple Peck/Remickest curieux sur le papier, mais cela fonctionne assez bien. Peck me paraissant cependant beaucoup trop monolithique. Les seconds rôles sont juteux : Billie Whitelaw en tête, épatante et vicieuse à souhait!
Donner fait merveille dans l'élaboration des plans (quand Peck va voir Damien dans sa chambre après la découverte du chien gardant sa porte...on voit Mrs Baylock fermer la sienne sur la partie droite extrême de l'écran... une mécanique de précision qui se retrouve à plusieurs reprises. Le peu de scènes chocs sont disséminées avec soin, idem pour la construction de scènes de suspense, idéales et précises. Au final , une belle expérience de nouvelle vision, même s'il ne s'agit pas d'un "grand" film à mes yeux. Mais un "bon" film, ce qui est déjà beaucoup car après ans, il possède toujours un certain impact.
Spoiler : :
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Re: The Omen - Richard Donner (1976)
Bein et les Goonies alors s'est de la guimauve de mouettedario carpenter a écrit :Superwonderscope a écrit :
Une bonne trilogie d'ailleurs (je n'ai pas vu le 4...) et ce que Donner a fait de mieux avec "Ladyhawke" et "Superman".
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Re: The Omen - Richard Donner (1976)
c'est du Choco (BN), plus exactement!
Re: The Omen / La malédiction - Richard Donner (1976)
Bien aimé également. Acteurs, musique, mise en scène... On surfe clairement sur le succès de l'Exorciste, l'approche se veut réaliste, avec quelques dérives "Hammeriennes" (la scène du cimetière au crépuscule). Gilbert Taylor signe la photo juste avant d'être conseillé par Donner lui même pour... La guerre des étoiles. Quelques trouvailles visuelles assez bluffantes comme la chute de la mère sur le sol de la maison (l'astuce est révélée par Donner dans le commentaire audio). Le Bluray est pas si mal pour un film de 76 tourné dans la grisaille anglaise.
Le truc fort dans ce film est évidemment l'ambiguïté : peut-on aller jusqu'à tuer un enfant, qui plus est son propre enfant ? Terrible choix, créant une tension permanente sur ce que le héros doit faire ou non.
Le truc fort dans ce film est évidemment l'ambiguïté : peut-on aller jusqu'à tuer un enfant, qui plus est son propre enfant ? Terrible choix, créant une tension permanente sur ce que le héros doit faire ou non.
Il y a un p'tit détail qui me chiffonne
Re: The Omen / La malédiction - Richard Donner (1976)
Belle trilogie que celle-là.
Les trois âges de Damien Thorne, enfance, adolescence, âge adulte et approche d'Armaggedon...
Une musique signée Jerry Goldsmith qui a longtemps tourné dans mon lecteur MP3 - les trois films ont d'excellentes partitions, mais j'adore le thème du 3, tout comme le film d'ailleurs. Le Damien du 2, j'ai envie de le torgnioler...
Revu dans la chouette édition collector 25 ans avec le digipack qui forme une croix une fois ouvert.
Et toujours le plaisir de retrouver David Warner, la révélation du cimetière, la scène de la vitre...
Bp évoquent L'Exorciste, mais n'oublions pas qu'il s'agit de l'adaptation d'un roman de David Seltzer qui récidivra d'ailleurs avec une autre adaptation d'un de ses romans au thème très proche avec Le 18ème ange (The Eighteenth Angel, William Bindley, 1997), très bon également.
Les trois âges de Damien Thorne, enfance, adolescence, âge adulte et approche d'Armaggedon...
Une musique signée Jerry Goldsmith qui a longtemps tourné dans mon lecteur MP3 - les trois films ont d'excellentes partitions, mais j'adore le thème du 3, tout comme le film d'ailleurs. Le Damien du 2, j'ai envie de le torgnioler...
Revu dans la chouette édition collector 25 ans avec le digipack qui forme une croix une fois ouvert.
Et toujours le plaisir de retrouver David Warner, la révélation du cimetière, la scène de la vitre...
Bp évoquent L'Exorciste, mais n'oublions pas qu'il s'agit de l'adaptation d'un roman de David Seltzer qui récidivra d'ailleurs avec une autre adaptation d'un de ses romans au thème très proche avec Le 18ème ange (The Eighteenth Angel, William Bindley, 1997), très bon également.