La marque de fabrique de Gens!des messages éléphantesques
The Divide (2011) Xavier Gens
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Re: The Divide (2011) Xavier Gens
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Re: The Divide (2011) Xavier Gens
au pire, je te file le blu ray, ça te coutera rien 
Oh really? Well then I'm sure you wouldn't mind giving us a detailed account of exactly how you concocted this miracle glue, would you ?
- Romain
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Re: The Divide (2011) Xavier Gens
Et moi qui te considérait comme un ami...au pire, je te file le blu ray, ça te coutera rien
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Re: The Divide (2011) Xavier Gens
Oh really? Well then I'm sure you wouldn't mind giving us a detailed account of exactly how you concocted this miracle glue, would you ?
Re: The Divide (2011) Xavier Gens
La poussière (radioactive ?) est retombée et j'ai donc découvert ce "The Divide" sur le bluray Bac Films (édition avec un seul bluray).
J'ai bien aimé "Frontière(s)" pour son style efficace, direct, qui va au bout de ses idées même si il ne fait pas dans la dentelle. Après cet exercice imposé de Survival français, Gens se fixe ici un objectif ambitieux, avec ce microcosme d'humanité enfermé hermétiquement aux lisières d'un monde ravagé par une bombe atomique. Un sujet pas hyper original, mais les qualités du cinéma de Gens sont présentes, en particulier sa volonté d'aller au bout de son trip, dans la déshumanisation de ses personnages (la seconde moitié). Les acteurs se donnent à fond dans ce théâtre de l'horreur vraiment sans rédemption.
Cela dit, je rejoins des critiques formulées : les visiteurs de l'extérieur, sous-exploités, ne servent en fait presque à rien,
Le personnage trop simple de Marilyn / Rosanna Arquette, je rejoins SWS quand il écrit que s'il n'y avait pas la petite fille, ça ne changerait pas grand chose au développement simpliste de ce personnage ; les clichés et idées bizarres dans les égarements des personnages (celui qui a force de se déshumaniser se "féminise", effectivement...), les longueurs aussi, il y a des moments où on trouve le temps long...
Et puis personne ne se pose la question de l'oxygène dans ce lieu hermétiquement clos, pas si grand pour le nombre d'occupants, où la ventilation est supposée avoir été coupée ?
Bref, beaucoup de réserves sur une écriture qui casse la crédibilité de la situation, mais je reconnais une ambition et un investissement certains du réalisateur et de ses acteurs, capables de créer des vrais moments de malaise et d'intensité, mais avec une écriture parfois brouillonne et une longueur exagérée quand même.
J'ai bien aimé "Frontière(s)" pour son style efficace, direct, qui va au bout de ses idées même si il ne fait pas dans la dentelle. Après cet exercice imposé de Survival français, Gens se fixe ici un objectif ambitieux, avec ce microcosme d'humanité enfermé hermétiquement aux lisières d'un monde ravagé par une bombe atomique. Un sujet pas hyper original, mais les qualités du cinéma de Gens sont présentes, en particulier sa volonté d'aller au bout de son trip, dans la déshumanisation de ses personnages (la seconde moitié). Les acteurs se donnent à fond dans ce théâtre de l'horreur vraiment sans rédemption.
Cela dit, je rejoins des critiques formulées : les visiteurs de l'extérieur, sous-exploités, ne servent en fait presque à rien,
Spoiler : :
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Bref, beaucoup de réserves sur une écriture qui casse la crédibilité de la situation, mais je reconnais une ambition et un investissement certains du réalisateur et de ses acteurs, capables de créer des vrais moments de malaise et d'intensité, mais avec une écriture parfois brouillonne et une longueur exagérée quand même.
Re: The Divide (2011) Xavier Gens
J'ai trouvé ce film très dur. Mais assez logique quand on pense au personnage joué par Bienh, solitaire, et ne pensant pas partager son abri avec des inconnus.
Évidemment, si on réfléchi aux aspects techniques de cet abri on se dit que il y a des choses qui clochent...ou manquent de réalisme dans le fonctionnement...comme le précisait Manolito.
Le film pose tout de même une question intéressante: Êtes-vous capable de survive dans un abri surpeuplé limite; des invités surprise dont vous n'avez rien à foutre? Et à partir de cette obligation, imposer une discipline collective basée sur des règles que tout le monde doit respecter et sans laisser les émotions vous envahir. Houlaaaa pas facile!
Cela me rappelle le film "Control" de Giuliano Montaldo, qui, à côté de Divide, est un joli conte pour enfants.
En tous cas, le film m'a donné envie de découvrir "Frontières" que je ne connaissais pas de ce réalisateur.
Évidemment, si on réfléchi aux aspects techniques de cet abri on se dit que il y a des choses qui clochent...ou manquent de réalisme dans le fonctionnement...comme le précisait Manolito.
Le film pose tout de même une question intéressante: Êtes-vous capable de survive dans un abri surpeuplé limite; des invités surprise dont vous n'avez rien à foutre? Et à partir de cette obligation, imposer une discipline collective basée sur des règles que tout le monde doit respecter et sans laisser les émotions vous envahir. Houlaaaa pas facile!
Cela me rappelle le film "Control" de Giuliano Montaldo, qui, à côté de Divide, est un joli conte pour enfants.
En tous cas, le film m'a donné envie de découvrir "Frontières" que je ne connaissais pas de ce réalisateur.
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comte vonkrolock
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Re: The Divide (2011) Xavier Gens
Manolito a écrit :Cela dit, je rejoins des critiques formulées : les visiteurs de l'extérieur, sous-exploités, ne servent en fait presque à rien,
Spoiler : :
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Toi t'est un flic..? Non j'uis un con.
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Re: The Divide (2011) Xavier Gens
Revu hier "The divide", le huit clos crado de Xavier Gens.
Un huit clos au final assez classique dont il est assez facile de prévoir pas mal de choses, dont les inévitables luttes de pouvoir qui finissent toujours par éclater et le pétages de plombs de certains personnages !
Le cadre du film donne à celui ci un petit coté S.F assez sympa mais laisse tout de même un peu perplexe quand il cherche a trop en dévoiler !
Mais qu'est ce que c'est que ce putain de complexe scientifique sensé être installé autours de la cave servant de décors principale ?
Un complexe scientifique visiblement construit donc autours d'un immense bulding moitié détruit et menaçant probablement de s'effondrer à toute instant !
Et qu'est ce que c'est que ces soldats d'élites fringués comme des cosmonaute mais qui pour se débarrasser des survirants se contente de sceller leur porte ?
Autant de trucs assez bancals dont Xavier Gens aurait pourtant pu assez facilement se passer d'un point de vue scénaristique !
Sinon, comme je le disais au début, la principale caractéristique de "The Divide" est d'être un huit clos particulièrement crade, allant beaucoup plus loin dans le malsain que la plupart des films de ce genre, avec un Xavier Gens prenant visiblement son pied a filmer la très rapide dégradation morale et physique de Rosanna Arquette, littérairement réduite à l'état de chienne !
Aucun personnage, même pas l’héroïne, ne suscite vraiment l'empathie. A part peut être Michael Biehm, qu'on arrive jamais réellement à cerner !
Si le film est parfois un peu chiant sa dernière partie se montre par contre particulièrement nerveuse, dans une explosion finale de folie destructrice !
Bref, un film assez classique sur son fond mais par contre furieusement déviant dans sa forme, ce qui en fait son principale intérêt
!
Un interet limité donc, mais tout de même bien présent !
Un huit clos au final assez classique dont il est assez facile de prévoir pas mal de choses, dont les inévitables luttes de pouvoir qui finissent toujours par éclater et le pétages de plombs de certains personnages !
Le cadre du film donne à celui ci un petit coté S.F assez sympa mais laisse tout de même un peu perplexe quand il cherche a trop en dévoiler !
Mais qu'est ce que c'est que ce putain de complexe scientifique sensé être installé autours de la cave servant de décors principale ?
Un complexe scientifique visiblement construit donc autours d'un immense bulding moitié détruit et menaçant probablement de s'effondrer à toute instant !
Et qu'est ce que c'est que ces soldats d'élites fringués comme des cosmonaute mais qui pour se débarrasser des survirants se contente de sceller leur porte ?
Autant de trucs assez bancals dont Xavier Gens aurait pourtant pu assez facilement se passer d'un point de vue scénaristique !
Sinon, comme je le disais au début, la principale caractéristique de "The Divide" est d'être un huit clos particulièrement crade, allant beaucoup plus loin dans le malsain que la plupart des films de ce genre, avec un Xavier Gens prenant visiblement son pied a filmer la très rapide dégradation morale et physique de Rosanna Arquette, littérairement réduite à l'état de chienne !
Aucun personnage, même pas l’héroïne, ne suscite vraiment l'empathie. A part peut être Michael Biehm, qu'on arrive jamais réellement à cerner !
Si le film est parfois un peu chiant sa dernière partie se montre par contre particulièrement nerveuse, dans une explosion finale de folie destructrice !
Bref, un film assez classique sur son fond mais par contre furieusement déviant dans sa forme, ce qui en fait son principale intérêt
!
Un interet limité donc, mais tout de même bien présent !


