Entre fiction et réalité, AMERICAN BLUFF nous plonge dans l’univers fascinant de l’un des plus extraordinaires scandales qui ait secoué l’Amérique dans les années 70.
Un escroc particulièrement brillant, Irving Rosenfeld, et sa belle complice, Sydney Prosser, se retrouvent obligés par un agent du FBI, Richie DiMaso, de nager dans les eaux troubles de la mafia et du pouvoir pour piéger un homme politique corrompu, Carmine Polito. Le piège est risqué, d’autant que l’imprévisible épouse d’Irving, Rosalyn, pourrait bien tous les conduire à leur perte…
Un film qui aurait pu être aussi réussit qu'un Scoreses des 80s, mais David O. Russel se vautre dans cette première heure plombante tellement molle ou il ne se passe rien. Que même lorsque certaines guest star finissent par apparaitre, ou que dans la toute dernière heure les rebondissements arrivent en cascade. Cela n'y change rien, et pourtant les acteurs sont bien a fond dans leurs rôles que ce soit Bale ou Cooper, Amy Adams ou Jennifer Laurence sont incroyable dans leurs personnage. David O. Russel aurait du un peu réfléchir dans la salle de montage lorsqu'il s'attaque a un film qui surfe du coté des Affranchis. 2H18 s'est long donc il vaut ménager son publique, se que ce American Bluff n'arrive jamais a faire

Au final un film pas mauvais, mais trèèèèèèsss long à démarrer.
J'ai du mal a croire que cela a été nominé 10 aux Oscars. A croire que chaque année s'est un peu plus pire.
Le Br Metropolitan n’appelle aucun commentaire en particulier, comme sur les précèdent de cette éditeur de la belle ouvrage.