4 premiers épisodes qui alterne d'un épisode sur deux de sex ou de combats sanglant et baignant dans des mares d'hémoglobine, on sans bien que la vengeance de la saison précédente est bien passé. L'amertume des esclaves avec à leurs tête Spartacus qui commence à se rendre compte du bourbier dans lequel il s'engouffre en s'emparent d'une ville fortifié Romaines, ces esclaves d'hier qui tombent dans les pires excès de leurs anciens maitres vis à vis de la population locale.
Même si s'est toujours tourné dans des studio exiguës, la série au fil des années à gagné en amplitude visuelle, et cette 3ème en est encore une fois une belle preuve. On avait vu dans ça dans la série Rome par exemple. Il ne se passe pas un épisodes sans une grosse bataille bien grasse, à coup de gueulante au ralentie qui voient les gladiateurs hurlés glaive au poing qu'il veulent du romains à terre (Crixus en tête

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Ici point d’exactitude Historique, Spartacus de Steven S. DeKnight, Sam Raimi, et Robert Tapert est est un festival de rencontre impossible, qui a tellement poussé loin dans le délire la véritable révolte. Que même lorsqu'une énorme tempête de neige s'abatte sur ceux-ci qu'il soit en string léopard ou bien caché à forniqué sous les restes d'une veille charrue il survive malgré les éléments en leurs défaveurs
Vraiment très drôle
Le vrai commencement de cette saison se fera à la fin du 4ème épisode (Décimation) avec la mise à mort de soldats Romains qui se sont comporté comme des couards au cour d'une bataille face à Spartacus. Cet épisode permettra de mettre en avant le fils de Crassus. Véritable levier de cette ultime saison, après la disparition de la plupart des principaux méchants des précédentes avec en tête l'acteur John Hannah et la fabuleuse Xena "Lucy Lawless". Il était difficile de trouver des concurrent à leurs hauteur. Mais surtout des personnages capable de faire face à cette armée de Gladiateurs.
Et là avec Marcus Crassus et le jeunes Jules César on à des adversaires de taille. Malgré le fait qu'il soit joué par d'illustre inconnu (pour la plupart Australiens). S'est bien l'arrivé sur le champ de bataille du fils de Crassus joué par Christian Antidormi, (quel nom quand même

) le petit plus qui va lancer toutes les meilleurs festivités.
Faut voir une scène que n'aurait certainement pas renié le Paul Verhoeven de Spetters lorsque Rutger Hauer est violer dans le métro, sauf que là s'est tous le contraire du Hollandais fous. Séquence fous rire garantie, en cause le fils de Crassus coupable de la pire des chose vise à vis de l'athlétique brute qu'est Caius Julius Caesar qui ne pourra monter à cheval plus tard
A coups sûr une série qui ne fait pas dans la dentelle, et tape souvent largement en dessous de la ceinture.
Heureusement que par moment on a des scènes moins pervers qui rattrape se véritable foutoir faussement historique, comme lorsque Agron se sépare de son tendre amour Nasir. Et là même si on est hétéro jusqu'au dernier jours de sa vie, faut bien l'avouer la scène est tellement touchante qu'elle marquera durablement

Comme quoi on peut faire de belle chose avec d'illustre inconnu

chapeau les Australiens il nous ont fait un Spartacus qu'on peut aurais osez faire ou voir
Les producteurs savaient bien que ce genre de série ne s’étalerait pas sur 14 saisons et ont su intelligemment arrête le spectacle avec ces 10 dernier épisodes en forme d'apothéose en réduisant sur quelques semaine (voir mois) la véritable campagne de Spartacus. Plus que deux épisodes à voir et s'est fini Spartacus va définitivement me manquer
