DIGITAL MAN
A l’instar d’Albert Pyun, Fred Olen Ray et autres fidèles et dévoués artisans de la série B et du film pour vidéoclub, Phillip J Roth sait faire des films sans pognons (et parfois même sans scénario !) . Et avant de devenir le pilier de la firme UFO, Monsieur nous a pondu quelques joyeusetés ma foie toute à fait regardables et amusantes à défaut d’être vraiment bonnes. Réalisé 1 ans après le sympathique APEX, ce DIGITAL MAN qui en reprend d’ailleurs les ingrédients (Robots , monde futuriste, déserts et images de synthèses) est une assez bonne surprise que j’ai déniché au GIFI du coin pour la modique somme d’un euro.
Un scénario qui casse pas 3 briques, quelques tête célèbres de la série B avec quelques belles séquence de bad acting en prime, des CGI première génération qui commencent à montrer leur âge mais malgré tout une sacré dose de fun, un pseudo ROBOCO-TERMINATOR , quelques plans réussis et même de l’humour…Que demande le peuple ?
On aurait du coup bien aimer pouvoir se taper le film dans de meilleurs conditions. C’est à dire avec une édition plus sympathique qu’avec cette aventi 4/3, 1.33 à l’image peu engageante. Ralant quand on sait que d’autres films réalisés ou produits par Roth (Falcon Down, le vaisseau de l’angoisse, Python ) on été distribué dans des éditions au format avec une bonne image pour à peu près le même prix. Mais bon…je cheapotte ! lol
) . fortement inspiré dans l'accoutrement des drake/vasquez marines d'aliens. 
(la fille redneck qui faisait des études par réception video satellite) et ses décors postnuke/indus sympa