Truc de fou, je vois ce film tt à l'heure en DVD ds un Virgin. Je me dis "Tiens, je connais pas trop, je demanderai sur le forum ce que ça vaut !". Et me voilà chez moi, je passe par l'accueil voir si le film a pas été chroniqué sur le site par hasard, et je vois qu'il vient tout juste d'etre mis en ligne ! (enfin hier quoi)
Comme quoi !
Bref, la critique de Cecile Migeon (serait-ce mercredi ?) ici :
Je n'ose trop rien dire car je dévoilerai sans doute des choses magnifiques à découvrir par soi..donc le film est vivement recommandé...surtout qu'il doit être à 9,99€ alors que des idiots dans mon genre l'ont payé un peu plus .
Sinon pour résumer : Winner = violence + cruauté et ce film ne déroge pas à la règle...donc à toi de voir dpg
Enregistré au cinéma de minuit il y a une dizaine d'années et conservé illico. Le style rugueux - bourrin ? - de Winner au service d'une histoire vénéneuse bien plus subtile que ce qu'on lui confie d'habitude, ben je trouve que ça fonctionne remarquablement bien. Le film distille une belle ambiance pas nette. Tout ça sent la dépravation. La musique de Jerry Fielding est de toute beauté, ma partoche préférée de ce géant de la composition.
Curieux projet que cette prequel des "Innocents" misant à fond sur le charme vénéneux de Brando pour mettre au point une histoire de perversité bien 70s... Le personnage de Brando, le "corrupteur" donc, est un espèce de déclassé, valet marginal se retrouvant seul homme dans une maison peuplée de femmes et d'enfants. Sa passion pour sa maîtresse, trouble et confuse, ne sera pas tant corruptrice pour les enfants, que mal interprétée et comprise par eux, traumatisés qu'ils sont par la mort de leurs parents. Ce qui mènera à un dénouement tragique... que j'ai trouvé un peu too much dans la perspective des "Innocents".
Spoiler : :
L'idée des enfants assassins ne colle pas vraiment avec l'histoire raconté dans "Les innocents", je trouve, mais bon...
Les acteurs enfants sont assez discutables à mon sens, mais les adultes sont excellents. Une curiosité intéressante du fantastique anglais en tous cas...
Vu sur le dvd US, utilisant vraisemblablement le même matériel que le dvd français (logo studiocanal en début de copie) sans VF et STF, mais avec en exclusivité une présentation du film et un commetaire audio de Michael Winner.
Une séquelle à la hauteur de son modèle, bien que différent. On clairement plus dans la même époque (la violence des 70s est bien frontale) et seul encore une fois la réunion de talent telle que Marlon Brandon, ou bien Michael Winner ainsi tous ceux cité dans la review Cécile Migeon: l'équipe technique de l'Homme de Loi. On permit a se film de se démarquer courageusement de son modèle et d'en être tout aussi complémentaire.
Manolito a écrit :Ce qui mènera à un dénouement tragique... que j'ai trouvé un peu too much dans la perspective des "Innocents".
Spoiler : :
L'idée des enfants assassins ne colle pas vraiment avec l'histoire raconté dans "Les innocents", je trouve, mais bon...
bien au contraire, ils n'ont rien perdu de leurs Innocences et continu de vivre leurs rêve/cauchemar éveiller par la suite dans le film avec Deborah Kerr.
De plus ce titre même s'il nomme bien le personnage de Marlon Brandon comme un mauvais garçon, n'annonce finalement que cela, au vu des faits qui se déroule tout le long tous ont se brin de perversion corruptrice, en dehors des enfants que chacun essaye tant bien que mal de soit disant préservé dans cette période victorienne ou le bien séant n'autorisait pas l'amour/désir entre différente classe social.
Un beau drame (malgré un sujet loin de l'être) teinté entre l'horreur et l'érotisme.
Toi t'est un flic..? Non j'uis un con. Snake Plisken Escape from NY