Enter the ninja de Menahem Golan (1981)

[Dragonball]

"Enter the ninja"

Cole, le premier occidental à avoir réussit à devenir un authentique ninja, arrive aux phillipines afin de porter secour à un ami aux prises avec des mafieux qui veulent lui racheter ses terres. Cole mettant branlées sur branlées aux divers hommes de main locaux que lui envoie la mafia, celle décide finalement de faire appelle à un autre ninja, un japonais connaisant très bien Cole et ayant modérément apprécié qu'un occidental réussise dans un art martial typiquement japonais. Un duel titaniesque (enfin, façon parlé !) va s'en suivre entre les 2 hommes

Réalisé par Menahem Golan himself, "enter the ninja" est une série B sympathique (à laquelle l'affreuse jaquette du DVD UK ne rend malheureusement pas honneur) portée par le charsime de Franco Nero, regard bleu acier et moustaches impécables.
Le film débute par un affrontement de ninjas dans la fôret japonaise monté tellment n'importe comment qu'on dirait que Franco Nero, tout de blanc vetu, est doué du pouvoir de téléportation (remarquez, c'est un ninja !). Une séquence certe réalisée avec les pieds mais hautement joussive. S'ensuit après celà envrion une heure assez mollassone, néamoins rythmée par quelques affrontements sympathiques (mais Franco Nero s'y bat en civil et c'est nettement moins drole !).
Le film ne reprend vraiment du punch qu'après l'arrivé du vilain ninja, un japonais vicieux (il ricanne comme un con quand ils commet ses forfaits !). Ah ce moment, Franco Nero reprend de nouveau son jolie costume blanc et s'en va regler définitivement leur compte aux méchants.

Un film sympathique donc, dans le plus pur esprit de la Canon, qui même s'il n'atteint pas la qualité des futurs productions avec Michael dudikoff et Steve James reste très divertissant.

[Abyssanctum]

Dans la catégorie ninjas symathiques je recommande les productions Joseph Lai / Godfrey Ho qui sont pour beaucoup de vrais bons nanars. Enter the ninja m'avait profondément gonflé en comparaison, les gweilos n'ont pas la ninja touch

[Superwonderscope]

Ca sort en Blu Ray courant mai 2015:

http://www.devildead.com/indexnews.php3?NewsID=9418

[comte vonkrolock]

Bien apprécier cette biserie par l'un des pères de la Cannon. Le métrage qui lancé la mode du film Ninja. Une histoire simple : un propriétaire pourrie magnifiquement campé par un cabotin Christopher George (El Dorado) veut s'emparer du ranch d'un amie de Franco Nero, pas de chance pour lui Nero est un Ninja.
Et comme la vieille formule veut que seul un ninja peut en tuer un autres, Christopher George n'a pas d'autre choix que de recruter un autres célèbre tueur. On fait donc appel au talentueux et sautillant Sho Kosugi qui peut pas se blairer Nero qui représente pour lui un fake de ninja.
Faut voir le très beau générique de début ou on a droit à un belle étalage de manipulation d'arme par la célébrité Japonaise.

C'est sûr que ça a du faire son effet à l'époque, puisque ce film à donner lieux à plusieurs suites, et a permis à l'acteur Michael Dudikoff d'incarner lui aussi dans une autres célèbre série un ninja pareil pour la série des GI JOE dont les deux ninjas: Storm Shadow et Snake Eyes ont du être pas mal inspiré par ce film.

Alors j'ai eu la chance de découvrir cette perle dans les meilleurs condition possible, le BR Allemand qui n'offre pourtant aucun st, à malgré tout une puissante VO 2.0 surround en plus d'une piste Allemande, et on peut dire que c'est plutôt dynamique et très entrainant de ce coté là. Malgré mon faible niveau d'anglais, je n'est eu aucun mal à suivre les tenants et aboutissant de cette petite histoire. D'autant plus que la majorité de celui-ci se passe en échange de coups de tatanes, donc forcements peut de dialogue et cela malgré une baise de régime en plein milieu comme le signal si bien DragonBall. Franco Nero avait été doublé, il avait été jugé que sa vrai voix ne faisait pas assez ricains pure souche de plus la plupart des protagonistes on des actent souvent ridicule se qui facilite encore un peu plus la compréhension.

Bref j'ai passer un bon moment, mais faut vraiment être très bon publique et regarder cela avec un sacré oeil nostalgique pour apprécier pleinement le spectacle.

Le BR Allemand semble être uncut puisque qu'on a droit a quel bref débordement sanglant.

Spoiler : :

seul la décapitation du personnage de Sho Kosugi est traité hors champs.

[MadXav]

Reçu ce jour le coffret édité par ESC, édition Blu-ray.
Coffret plutôt élégant, digipack 3 volets.

On apprécie la présence de bonus faits pour l'occasion. Le livret de Marc Toullec, sympathique mais qui aurait pu être pu complet, et des interventions de Nico Prat, qui passe très bien à l'écran, s'avère lui aussi sympa, mais très incomplet dans son propos. Un peu dommage. On salue également l'ajout des courts métrages NINJA ELIMINATOR qui perso, me font marrer, mais on regrette qu'ils soient répartis sur les disques (quelle idée à la con), nous empêchant ainsi de les regarder tous à la suite...
Après je suis vraiment surpris de voir qu'on se contente vraiment du minimum syndical en termes d'iconographies et d'illustrations. Les affiches classiques, quelques photos dans le livret et that's all, alors qu'il existe beaucoup de matériel pour ces films. C'est bien simple, j'en ai bien plus rien que sur les murs de la chambre de mon fils !

Concernant la qualité d'image, elle est plutôt correcte. Les couleurs sont belles et les noirs profonds. La définition est plutôt bonne. On notera quand même une grosse quantité de griffures, points blancs et noirs en tous genres. Perfectible, mais globalement bon, voir très bon.

Après le film. Que dire si ce n'est qu'il procure toujours autant de plaisir au fan de Ninjas que je suis. Faut être sacrément couillu pour se dire qu'on va être discret dans une tenue de Ninja parfaitement blanche et insalissable. Rien que pour ça, c'est le respect !
Je pense qu'on ne peut être que déçu du peu de présence des Ninjas à l'écran. Début et fin. Sinon, c'est Franco Nero et sa doublure qui meublent avec quelques mouvements vaguement inspirés d'un art martial abstrait. Le niveau de crétinerie des "Bad Guys" laisse également perplexe, tout comme les mouvements musicaux qui accompagnent leurs nombreuses désillusions. Mais d'où vient alors le plaisir d'un nouveau visionnage de ENTER THE NINJA ? Sho Kosugi bien évidemment. L'homme derrière le pijama. Compétent, félin, théatral, violent. Sho apporte avec lui le spectacle attendu, le vrai concept de Ninja à l'occidental, les armes et la gestuelle qui vont avec.
Un vrai plaisir que de retrouver ce premier opus de la Cannon, dans de bonnes conditions et avec VF / VOSTF.