CINEMA DE MINUIT/la maison du diable
ce soir a 00h20
The Haunting / La Maison du Diable de Robert Wise (1963)
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micknick2000
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Re: CINEMA DE MINUIT/la maison du diable
micknick2000 a écrit :ce soir a 00h20 et la semaine prochaine blow up!
jme le suis mater tres recemment et je ne sais pas trop quoi en penser... l'ambiance est vraiment top mais le perso feminin (Julie Harris) me gonfle grave...et je suis resté un peu sur ma fin...
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micknick2000
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Tres difficile a trouver a bas prix, je crois meme que l'edition la moin chere est ici (comm audio en plus 
), 11.49€
http://www.play.com/play247.asp?page=ti ... =1&Cur=258
J'ai trouvé que la realisation était assez moderne, niveau mouvement de caméra (zoom rapide et desaxé etc...)
EDIT: Amazon.co.uk, le propose a £7, soit 10,59€
), 11.49€http://www.play.com/play247.asp?page=ti ... =1&Cur=258
J'ai trouvé que la realisation était assez moderne, niveau mouvement de caméra (zoom rapide et desaxé etc...)
EDIT: Amazon.co.uk, le propose a £7, soit 10,59€
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right hand of doom
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Dragonball
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The Haunting / La Maison du Diable de Robert Wise (1963)
"The Haunting"
Un des maitres étalon en manière de fantastique.
Robert réalise, en 1963, avec "The Haunting", l'un des film fantastique les plus effrayant qui soit.
Misant avant tout sur ces personnages, sur une ambiance lourde et sur la structure labirynthique de l'immeuse deumeure ou se déroule l'action, Robert Wise installe très rapidement le malaise, la peur et une sentiment de ménace qui ne nous quittera pas du métrage.
Magnifiquement mis en image, "The Haunting", film avant tout sensoriel délaissant les horripeaux habituels du fantastique et ses exces graphiques, "The Haunting" est une experience que l'on garde longtemps en mémoire, autant marqué par les scènes de terreur pure que par la vision du long et éprouvant basculment d'une Elénor, déjà bien fragile à la base, dans la folie, ces 2 éléments étant évidement liés et faisant la grande force du film de robert Wise.
Un grand classique.
Source : HallucinezPour mener à bien ses expériences de parapsychologie, le professeur Markway réunit un groupe de personnes ayant vécu des expériences paranormales à Hill House, une vieille maison réputée hantée. Il s’entoure de deux jeunes femmes que tout oppose et du futur héritier du castel, un homme rationnel et moqueur. Rapidement, ils vont devenir les témoins de phénomènes étranges et inquiétants. Eleanor, qui semble la plus sensible aux lieux, refuse d’abandonner l’expérience comme le lui conseille Markway, et prétend que la maison la retient…
Un des maitres étalon en manière de fantastique.
Robert réalise, en 1963, avec "The Haunting", l'un des film fantastique les plus effrayant qui soit.
Misant avant tout sur ces personnages, sur une ambiance lourde et sur la structure labirynthique de l'immeuse deumeure ou se déroule l'action, Robert Wise installe très rapidement le malaise, la peur et une sentiment de ménace qui ne nous quittera pas du métrage.
Magnifiquement mis en image, "The Haunting", film avant tout sensoriel délaissant les horripeaux habituels du fantastique et ses exces graphiques, "The Haunting" est une experience que l'on garde longtemps en mémoire, autant marqué par les scènes de terreur pure que par la vision du long et éprouvant basculment d'une Elénor, déjà bien fragile à la base, dans la folie, ces 2 éléments étant évidement liés et faisant la grande force du film de robert Wise.
Un grand classique.
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milton arbogast
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Re: The Haunting de Robert wise (1963)
...et oui, l'indétronable, l'incontournable, l'indeboulonable.Dragonball a écrit :Un des maitres étalon en manière de fantastique
2 scenes favorite: (en y reflechissant bien, je me demande si ce n'est pas dans la seule et même scene d'ailleur, faudrait que je le rematte?)
le long plan sur le motif de la tapisserie murale où je n'ai jamais su dire si on y voyait réellement quelque chose ou bien si c'est juste le pouvoir de suggestion qui me fait y voir apparaitre une gueule de monstre?
Julie Harris (absolument parfaite) serrant la main d'Eleonor pour s'apercevoir finalement apres que celle ci n'est absolument pas a coté d'elle dans le lit mais a l'autre bout de la piece.
la encore, rien n'est montré, l'horreur est juste dans l'idée de la situation.
Du grand art.
Pour moi, il n'y a que LES INNOCENTS pour s'approcher de ce sommet de l'effroi dans le non-dit ...enfin, plutot dans le non-vu.
Dans l'un comme l'autre, le scope/noir et blanc d'une perfection absolue et d'une insurpassable elegance n'est pas pour peu dans la réussite de l'entreprise.
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Dirty Tommy
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?
Perso, je préfère le film de Clayton. Tu veux parler de l'utilisation du hors-champ (c'est le terme technique adéquat)Pour moi, il n'y a que LES INNOCENTS pour s'approcher de ce sommet de l'effroi dans le non-dit ...enfin, plutot dans le non-vu.
?"Et si vous ne m'aimez pas, je peux vous dire que je ne vous aime pas non plus."
Maurice Pialat
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Superwonderscope
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