Gary Webb, journaliste au San Jose Mercury News, tente de révéler l'implication de la CIA dans le trafic de drogue pour financer les contras au Nicaragua dans les années 1980. La cocaïne arrivant en Californie est transformé en crack et vendu dans les banlieues noires de Los Angeles en provoquant ce qui fut nommé une « épidémie de crack. »
Un sujet énorme qui semble, non pas bâcler ou mou du genou. Mais dernière cette linéarité, ou le fait qu'on pourrait le confondre avec certains films de Alan J. Pakula les Hommes du Président en tête. Celui-ci ce serai plutôt son contraire, a l'inverse du film de Pakula qui mettais en avant le pouvoir bienveillant des médias.
On se rend compte au bout du film à quel point la donne à changer, si aujourd'hui il on l'air de faire la pluie et le beau temps. Sa ne date pas d'hier.... Au service bien sûr des puissances économiques de ce monde. Faut voir ce journaliste d'un petit quotidien (le San José Mercury News) pensent avoir récupérer une infos essentiel et pouvoir décrocher la lune. Qui voudrais faire éclater la vérité à la face de l'Amérique, (encore une fois) une des pages les moins glorieuse de son combat face au communisme....

Gary Webb se verra remettre le prix Publitzer sous le lourd silence de sa profession et du journal qui le publie ayant au dernier moment prix partie contre lui, face à cette injustice Webb se donnera la mort quelques années plus tard, discrédité en grande partie par cette affaire. En se donnant la mort par 2 balles dans la tête....

Alors coïncidence j'ai vu un film de Tavernier ou le gars joué par Michel Galabru avait lui aussi deux balles dans la tête. Comme quoi sa peut arrivé

Bon bref s'était pour dire que même si ce film semble suivre son train train, et qu'il y a peut de rebondissement. Il reste malgré tout un très bon moment de péloche. On apprend pas mal de chose, de même j'aurais jamais entendu parler de l'histoire de cette homme sans le film de Michael Cuesta. Donc à voir à découvrir.
