L'ouverture du film nous fait assister à un meurtre en pleine rue la nuit par une étrange silhouette gantée et cagoulée, ses yeux roulants et etincelants ds l'obscurité, superbe image giallique qui malheureusement ne se reproduira plus.
On suit alors l'enquête du vieux commissaire Bulov marié à Lisa, une superbe jeune femme, ex-pute et trafficante qu'il soupçonne d'infidélité.
Innocente ou infidèle.. seule la réponse à cette question donne un interet au film tant la mise en scéne de dallamano est plate.
La dernière partie du film apporte un peu de sang neuf au tout avec l'arrivée d'un bellatre qui devient l'amant de Lisa, amant et bourreau car en fait il est chargé de tuer la jeune femme, étant à la solde de... son vieux mari, inspecteur ripoux!!!!!!!!!!!!!

Le vieil inspecteur n'avait pourtant pas prévu que son tueur à gages tombe amoureux. Le cercle vicieux est ouvert et ds ce jeu d'ombres et de lumières, personne n'en sortira vivant encore moins cette épouse qu'on pouvait soutenir ds cet adultère compréhensible, conséquence logique d'un mariage malheureux dénué d'amour.
Mais ds un ultime twist final, on découvrira le vrai visage de Lisa, infame sale, mais les manigances ne paient jamais même par delà la mort.
Trame classique et mille fois vue, Le tueur frappe la nuit ou plutot La morte non ha sesso, titre plus explicite que ce titre francais, est un petit film polarifico-giallique ss guère d'interet mais on y retrouve avec joie le veteran John Mills, la belle et sensuelle Luciana Paluzzi et le trés séduisant Robert Hoffman aux fausses allures ici d'Helmut berger, Robert qui sera 3 ans plus tard le terrible chef de gang violeur de Terreur sur la plage.