Top à Jean-Paul Belmondo

Modérateurs : Karen, savoy1, DeVilDead Team

Répondre
dario carpenter
Messages : 6311
Enregistré le : ven. avr. 30, 2004 9:10 pm
Localisation : Haute Normandie et parfois Ile de France!
Contact :

Top à Jean-Paul Belmondo

Message par dario carpenter »

bluesoul a écrit :Plus qu'une solution: un top a Belmondo! 8)) 8)
C'est parti! :)


Image

Acteur français né le 9 Avril 1933 à Neuilly Sur Seine. Issu d'une famille d'artistes (son père était un célèbre sculpteur et sa mère artiste peintre), il pense faire une carrière sportive puis s'oriente vers la comédie et entre au conservatoire national d'art dramatique en 1951. Il apparaît pour la première fois dans Sois belle et tais-toi (Marc Allegret) et Les Tricheurs (Marcel Carné) en 1958.

Son premier rôle important lui est confié par Claude Sautet dans Classe tous risques et la révélation naît surtout avec A bout de souffle de Jean-Luc Godard en 1959. Dés lors il se révèle un acteur aux multiples facettes et tient des rôles variés, dirigé par les plus grands réalisateurs. En 1961 il est Leon Morin, pretre pour Jean-Pierre Melville puis il joue dans Un singe en hiver de Henri Verneuil.

Par ailleurs il enchaîne les films à succès tels L' Homme de Rio de Philippe de Broca (1964), (1966), La Sirene du Mississippi de François Truffaut (1969) ou Borsalino de Jacques Deray (1970). Il incarne même des rôles inattendus comme dans Pierrot le Fou de Godard en 1965 ou à contre emplois tel Stavisky pour Alain Resnais en 1974. Il exécute toutes les cascades de ses films, notamment dans Peur sur la ville d'Henri Verneuil et multiplie au tournant des années 80 les triomphes au box-office, avec Georges Lautner pour Flic ou voyou ou Le Professionnel ou encore avec Gerard Oury pour L' As des As en 1982.

Claude Lelouch lui offre des rôles emblématiques (Itinéraire d'un enfant gâté en 1988 ou Les Misérables en 1995) mais il n'abandonne pas l'action ou ses anciens partenaires : on le retrouve auprès d'Alain Delon en 1998 dans Une chance sur deux de Patrice Leconte même si le succès est moins au rendez-vous qu'au théâtre où l'acteur rencontre un véritable triomphe. Ce qui ne l'empêche pas de répondre à l'appel de Bertrand Blier et de participer aux Acteurs en 2000. Jean-Paul Belmondo fait son grand retour au cinéma en 2009, aux côtés de Francis Huster qui réalise aussi le film, dans Un homme et son chien, drame dans lequel il interprète un homme qui se retrouve à la rue du jour au lendemain seul avec son chien.


Source: Allo Ciné

La filmographie à noter et commenter:


2009Un homme et son chien
2001 L'aîné des Ferchaux (TV Movie)
2000 Amazone
2000 Les acteurs
1999 Peut-être
1999 Frédérick ou le Boulevard du Crime (TV Movie)
1998 1 chance sur 2
1997 La puce à l'oreille (TV Movie)
1996 Désiré
1995 Les misérables
1993 Tailleur pour dames (TV Movie)
1992 L'inconnu dans la maison
1990 Cyrano de Bergerac (TV Movie)
1988 Itinéraire d'un enfant gâté
1987 Le solitaire
1985 Hold-Up
1984 Joyeuses Pâques
1984 Les morfalous
1983 Le marginal
1982 L'as des as
1981 Le professionnel
1980 Le guignolo
1979 Flic ou voyou
1977 L'animal
1976 Le corps de mon ennemi
1976 L'alpagueur
1975 L'incorrigible
1975 Peur sur la ville
1974 Stavisky...
1973 Le magnifique
1973 L'héritier
1972 La scoumoune
1972 Docteur Popaul
1971 Le casse
1971 Les mariés de l'an deux
1970 Borsalino
1969 Un homme qui me plaît
1969 La sirène du Mississipi
1969 Le cerveau
1968 Ho!
1967 Casino Royale
1967 Le voleur
1966 Paris brûle-t-il?
1966 Tendre voyou
1965 Les tribulations d'un Chinois en Chine
1965 Pierrot le fou
1965 Par un beau matin d'été
1964 Week-end à Zuydcoote
1964 La chasse à l'homme
1964 Échappement libre
1964 Cent mille dollars au soleil
1964 L'homme de Rio
1963 L'aîné des Ferchaux
1963 Peau de banane
1963 Dragées au poivre
1963 La mer à boire
1962 Le doulos
1962 Un singe en hiver
1962 Cartouche
1961 Riviera-Story
1961 Un nommé La Rocca
1961 Amours célèbres
1961 Léon Morin, prêtre
1961 Une femme est une femme
1961 Les mauvais chemins
1960 La ciociara
1960 La novice
1960 La française et l'amour
1960 Les distractions
1960 Moderato cantabile
1960 Classe tous risques
1960 À bout de souffle
1959 Les trois mousquetaires (TV Movie)
1959 À double tour
1959 Mademoiselle Ange
1958 Un drôle de dimanche
1958 Les tricheurs
1958 À pied, à cheval et en spoutnik!
1958 Sois belle et tais-toi
1958 Les copains du dimanche
1957 À pied, à cheval et en voiture
Modifié en dernier par dario carpenter le ven. févr. 12, 2016 10:10 pm, modifié 1 fois.
MadXav
DeVilDead Team
Messages : 12859
Enregistré le : lun. mai 03, 2004 8:18 am
Localisation : Sur la plage à latter des Ninjas rouges

Re: Top à Jean-Paul Belmondo

Message par MadXav »

Bon, puisque le thread vient de voir le jour suite à mon thread L'AS DES AS, je me lance.
Je tiens à dire que j'étais grand fan de Bébel quand j'étais jeune, dans les années 80.
Seulement mon avis ici n'est pas celui des années 80, mais celui d'un bonhomme de 40 piges qui a revu les films en 2015 et 2016. Et là, ça change tout ou presque.
La chute la plus dure est pour LE PROFESSIONNEL qui fut longtemps mon Bébel préféré. Revu 25 ans plus tard, c'est juste impossible. Con, vulgaire, raciste comme rarement un film l'a été, le film n'existe plus que pour sa B.O et son final, mais reprenons...

1999 Peut être : C'est chiant, et c'est pas bon. Rien à garder.

1998 1 chance sur 2 : Une petite merde sympathique et dynamique. On le voit une fois et on en reste là, même si ce n'est pas si pire.

1995 Les misérables : Enième version qui tente de réactualiser le roman mais émotionnellement, ça n'arrive pas à la cheville de celles avec Jean Gabin ou Lino Ventura. On passe.

1992 L'inconnu dans la maison : Un film juste correct. Assez dommage que Lautner ait fini sa carrière là dessus...

1988 Itinéraire d'un enfant gâté : Jamais aimé ce film pollué par Anconina dans un rôle qui lui colle pourtant à la perfection : Celui d'un couillon à la ramasse. Bébel n'est pas mauvais mais le film est tellement chiant...

1987 Le solitaire : Mauvais, crasseux, fauché, facho, mal joué. Le point final au polars pour Bébel...

1985 Hold-Up : Alors ça c'est pas très bon, mais honnêtement ça n'a pas bougé. A savoir que ça reste un film sympa pour les gosses, avec des gags parfois drôle, des personnages hauts en couleur, et une action soutenue.

1984 Joyeuses Pâques : Un film qui n'a aucun sens. On adapte un Vaudeville et on rajoute des cascades à la con pour rassurer les gens, et leur rappeler que c'est bien Bébel qui s'agite à l'écran...

1984 Les morfalous : Bébel remplace Clint Eastwood dans ce presque remake de DE L'OR POUR LES BRAVES plutôt sympa à mon goût. Surtout pour ses personnages barrés, ses acteurs talentueux et les excellents dialogues d'Audiard. Pas un grand film, mais j'aime bien.

1983 Le marginal : Pas assez de souvenirs et pas revu.

1982 L'as des as : Un bon film pour enfants, touchant et bien foutu.

1981 Le professionnel : Le film que j'ai adoré, et qui m'est aujourd'hui insupportable tant le rythme est décousu, et les situations idiotes. Mais ce sont surtout les propos, alternant entre le racisme primaire (négro, singe, bamboula etc.) et la misogynie (les femmes sont des putes ou des salopes) qui me rendent aujourd'hui hermétique au métrage...

1980 Le guignolo : Pas bon, aussi ridicule que titre le laissait présager.

1979 Flic ou voyou : Un film plutôt correct qui joue sur l'ambiguité de son personnage et des dialogues plutôt soignés. On n'évite pas quelques séquences un peu ridicule mais globalement, ça tient correctement la route.

Et j'y reviendrai plus tard pour ceux-là :

1977 L'animal :
1976 Le corps de mon ennemi
1975 Peur sur la ville
1973 Le magnifique
1973 L'héritier
1972 La scoumoune
1971 Le casse
1971 Les mariés de l'an deux
1970 Borsalino
1969 Le cerveau
1965 Les tribulations d'un Chinois en Chine
1965 Pierrot le fou
1964 Cent mille dollars au soleil
1964 L'homme de Rio
1962 Cartouche
Dessin et sketching liés au cinéma, au voyage, etc. :
Image
Manolito
Site Admin
Messages : 21654
Enregistré le : ven. avr. 30, 2004 2:17 am

Re: Top à Jean-Paul Belmondo

Message par Manolito »

Ceux que je me rappelle avoir vus :

1958 : Les Tricheurs de Marcel Carné : chronique sociale d'une certaine jeunesse des années 50, pas un très grand Carné, mais regardable. Aucun souvenir de Bébel dedans : 6/10

1959 : Charlotte et son jules de Jean-Luc Godard (court-métrage sorti en 1961) : vu, pas beaucoup aimé, mais aucun autre souvenir ! 5/10

1960 : À bout de souffle de Jean-Luc Godard : le début de la légende Godard et le début de la légende Bébel. Jamais vraiment accroché, un certain romantisme qui ne me parle pas. 5/10

1961 : Léon Morin, prêtre de Jean-Pierre Melville : superbe affrontement entre Belmondo et Emmanuel Riva dans un non moins superbe film de Melville. 9/10

1961 : Un nommé La Rocca de Jean Becker : un bon film noir français par un maître du genre. 7/10

1962 : Le Doulos de Jean-Pierre Melville : encore du grand Noir pour une période très faste pour Bébel. 7/10

1962 : Cartouche de Philippe de Broca : sympathique classique du cinéma de cape et d'épée bien de chez nous. 6/10

1962 : Un singe en hiver d'Henri Verneuil : le jeune Bébel affronte le monstre sacré gabin et s'en sort haut la main dans cette comédie grinçante et imbibée. 8/10

1963 : L'Aîné des Ferchaux de Jean-Pierre Melville : cette fois-ci, bébel affronte - littéralement - Charles Vanel, un nouveau pour un très bon Melville. 7/10

1964 : L'Homme de Rio de Philippe de Broca : sympathique aventure souriante et juvénile, pleine de charme. 6/10

1964 : Cent mille dollars au soleil d'Henri Verneuil : retour à Verneuil pour un film d'aventures exotiques un peu trop calibré, mais sympa. 6/10

1964 : Week-end à Zuydcoote d'Henri Verneuil : film de guerre sur la déroute de Dunkerque en 1940 ; imparfait, mais sujet intéressant. 6/10

1965 : Pierrot le fou de Jean-Luc Godard : Godard à son sommet, un de ses meilleurs films. 8/10

1965 : Les Tribulations d'un Chinois en Chine de Philippe de Broca : excellent souvenir d'enfance, mais pas revu depuis longtemps !8/10

1966 : Paris brûle-t-il ? de René Clément : là-aussi, on est dans le souvenir d'enfance, pour ce grand spectacle historique bourré de stars. 6/10

1967 : Casino Royale de Val Guest et John Huston : mini-apparition clin d'oeil dans cette parodie lourde. 3/10

1969 : Le Cerveau de Gérard Oury : Bébel passe à la grosse moulinette commerciale et fastueuse de Gérard Oury. Plaisant. 6/10

1969 : La Sirène du Mississippi de François Truffaut : pas le meilleur Truffaut, mais très regardable quand même ! 7/10

1970 : Borsalino de Jacques Deray : le choc des stars avec Delon, une film de gangsters rétro plaisant. 7/10

1971 : Les Mariés de l'an II de Jean-Paul Rappeneau : Bébel virevolte et s'amuse au temps de la révolution... 6/10

1973 : Le Magnifique de Philippe de Broca : superbe réussite de la comédie française. mais c'est aussi à partir de cette période que Bébel commence à s'enfermer trop dans son personnage tout composé. 8/10

1974 : Stavisky... d'Alain Resnais : bide commercial, mais très belle collaboration entre Bébel et Resnais. 8/10

1975 : Peur sur la ville d'Henri Verneuil : la période Bébel commence pour de bon, mais que de bons souvenirs dans ce giallo/thriller franchouillard sur fond de 15ème arrondissement ! 8/10

1975 : L'Incorrigible de Philippe de Broca : comédie toctocbadaboum passable. 5/10

1976 : L'Alpagueur de Philippe Labro : polar de série, sans grand relief, mais plaisant. 6/10

1976 : Le Corps de mon ennemi d'Henri Verneuil : Bébel se venge dans une ambiance de province un peu Chabrolienne. Ok. 6/10

1977 : L'Animal de Claude Zidi : grosse farce balourde. 5/10

1979 : Flic ou Voyou de Georges Lautner : polar sur mesure, peu mémorable, mais pas désagréable. 6/10

1980 : Le Guignolo de Georges Lautner : on repart en mode farceur nonchalant, pour un grand spectacle friqué amusant. 6/10

1981 : Le Professionnel de Georges Lautner : polar rance, plat, mou. En partie sauvé par la musique de Moriconne, mais ça ne suffit pas. 5/10

1982 : L'As des as de Gérard Oury : comédie familiale passable. 5/10

1983 : Le Marginal de Jacques Deray : mon péché mignon, polar absurde où Bébel se voit en inspecteur Harry des Grands Boulevards ! Super musique, super ambiance de Paris années 80. J'adhère ! 7/10

1984 : Les Morfalous d'Henri Verneuil : comédie sur fond de guerre en afrique du nord. Très décrié, avec une affiche montrant Bébel en mode Rambo. Moi, j'aime bien, le métier de Verneuil est toujours là ! 6/10

1984 : Joyeuses Pâques de Georges Lautner : exercice théâtrale un peu vain, mais pas désagréable. 6/10

1987 : Le Solitaire de Jacques Deray : la bérézina. Depuis 10 ans, Bébel, qui a tourné avec les meilleurs réalisateurs français des années 60, ne travaille plus que pour se faire servir la soupe par des mercenaires de plus en plus ringards, avec des rôles sur mesure, et laisse passer ses chances de se renouveler ou de prendre des risques. Plus dur sera la chute avec ce polar fauché et grotesque, véritable fin d'une époque. 3/10

1995 : Les Cent et Une Nuits de Simon Cinéma d'Agnès Varda : film multistars assez imbuvable à mon sens. 5/10

1998 : Une chance sur deux de Patrice Leconte : la nouvelle confrontation Bébel/Delon, pénible étalage de cabotinage et de j'men foutisme. 3/10

1999 : Peut-être de Cédric Klapisch : de la sf franchouillarde sans grand intérêt. 5/10

2000 : Amazone de Philippe de Broca : pas assez, trop tard. Un spectacle bon enfant, mais quand même bâclé. 6/10
dario carpenter
Messages : 6311
Enregistré le : ven. avr. 30, 2004 9:10 pm
Localisation : Haute Normandie et parfois Ile de France!
Contact :

Re: Top à Jean-Paul Belmondo

Message par dario carpenter »

1988 Itinéraire d'un enfant gâté XX J'en ai un bon souvenir, histoire touchante joliment interpétée par le duo Belmondo/Anconina...à revoir?

1987 Le solitaire 00 Je préfère le Mann :D Un Belmondo tout essouflé, pourtant Deray bizaremment défend le film dans son autobiographie :shock:

1985 Hold-Up Vu au cinéma à sa sortie 8) pas revu depuis 1985... :oops: Dans mon souvenir la partie dans la banque était pas mal négociée avec Bébel et Marielle cabotins et après, ça patinait sévère...X?

1983 Le marginal Un grand classique de la télé française! Bon comme certains autres Bébel 70's et 80's ça a pris un bon petit coup de vieux, c'est pas très bon ( toujours mieux que "le solitaire" cela dit :@ ), MAIS il reste l'ambiance parisienne populo, une ou deux scènes d'action pas si mal torchées, la crapule Henry Silva et la plantureuse Carlos :) ...un petit plaisir largement coupable qui lui vaut une X généreuse

1981 Le professionnel 0? Le duel Bébel/Hossein est un peu ridicule, Lautner n'étant pas Leone :D...pour tout dire je n'ai pas osé le revoir en entier lors de son dernier passage à la télé. Malgré toutes ces réserves la fin fait toujours un petit quelque chose :o , Bébel qui finit en pâtée pour chien, c'est pas si courant! :D

1980 Le guignolo Il y a Mirella d'Angelo :) mais j'ai zappé quasiment tout le reste :oops: ...0?

1977 L'animal Très peu de souvenirs...c'est celui avec Raquel Welch et/ou Geneviève Bujold?

1976 L'alpagueur Celui-là est pas si mauvais...j'aime bien la musique, le personnage joué par Crémer, le coté un peu sec et froid...X

1975 0/X Peur sur la ville J'aime bien la musique inquiétante de Morricone le coté bis rital même si ça manque quand même cruellement de meurtres à l'arme blanche pour un giallo :)
A la revoyure malgré quelques cascades et une utilisation sympas du décor urbain je trouve ça assez mou du genou, longuet et parfois ridicule...le tueur avec son oeil en plastoc me faisait peur quand j'étais petit, mais bon "Téléchat" aussi me faisait flipper dans les 80's. :D

1973 Le magnifique XX inventif, très sympa...dans mon souvenir.

1973 L'héritier Une des rares fins pessimistes pour un Bébel, ça marque forcément!
Honnête thriller politique...dans mon souvenir X

1972 Docteur Popaul J'aimerais bien le revoir celui-là...Mia Farrow et son look improbable. :D

1971 Le casse XX Bon souvenir de ce Verneuil...belle confrontation Bébel/Sharif, quelques scènes d'action et de casse bien troussées, une violence sèche parfois...à revoir?

1964 Week-end à Zuydcoote XX/XXX Vu par hasard, et j'ai un très bon souvenir de ce film de guerre un peu à part...j'aimerais beaucoup le revoir tiens, en tout cas le Belmondo qui m'a le plus surpris, ambitieux et réussi.
Répondre