The Walk - Robert Zemeckis (2015)

[Machet]

En 3D, ça promet.
Mine de rien, Zemeckis va encore donner une belle leçon d’effets spéciaux (invisibles) au tout Hollywood.

[Superwonderscope]

Ouais ben pour les effets invisibles, autan carrément voir d'abord le documentaire d'origine, MAN ON WIRE, positivement époustouflant.Sans effets d'aucune manière.
En espérant avec ce Walk-là, bien peu nécessaire à mon sens, de ne pas se voir infliger une leçon de vie hollywoodienne à la "Flight" d'horrible mémoire.

[Cosmodog]

Heu... Quelqu'un sait de quoi ça parle ?

[Machet]

Heu... Quelqu'un sait de quoi ça parle ?

Du 11 septembre. Non je plaisante.
C'est l'histoire d'un équilibriste qui a traversé les twin towers.

[Superwonderscope]

C'est l'adaptation Hollywoodienne du sujet de MAN ON WIRE (VF : Le Funambule), le documentaire sur le funambule français Philippe Petit qui accomplit cet exploit en 1974.

Voir ici:
http://www.devildead.com/forum/viewtopi ... an+on+wire

[comte vonkrolock]

Encore une fois après Flight, Zemeckis s'inspire d'une petite histoire vécu. Même si j'en est aucun souvenir de ce Philippe Petit il faut dire s'était il y a fort longtemps 1974 sa date pas d'hier. Aujourd'hui j'aurais du mal à croire que cette artiste du fil est réelement dansé, se soit agenouillé, ou couché sur cette ligne dressé a plus de 400m au dessus du sol pourtant s'est la réalité, le un vrai casse artistique du siècle comme il la nommé

Certes se n'est pas un film comme ça qui va révolutionné le monde du cinéma ni d'ailleurs celui des SFX. Même s'ils sont impressionnant il faut bien le reconnaitre. L'effet 3D ajouté au coté vertigineux de la chose ajoute un vrai plus à cette périlleuse entreprise lors de ces séquences. Je n'est pas senti les deux heures passé tellement cette aventure est bien emballé.

Au final j'ai été touché par la performance de ce funambule, pareil pour toute l'équipe qui l'entoure pleine de cette volonté de lui faire atteindre son rêve alors qu'il apparait que cela est un projet complétement dingue. Un film qui pourra être plus pris dans le sens d'un petit hommage a ces impressionnant œuvre d'architecturale qui ont disparu en 2011. Qui nous montre que sans certaines de ces célébrités (le remake du King Kong par exemple 1976) elles ne seraient que des éléments artificiels perdu au milieu de tant d'autres dans le décors.

Bref si le Zemeckis de Retour vers le Futur semble avoir pris un coup de vieux, normal vous me direz par des histoires plus terre à terre (quoi que ). Il à garde encore un certain talent pour nous les racontés de la plus jolie des manières.

Un film donc non dénué d’intérêt puisqu'il ma donnez envie de découvrir le fameux documentaire dont parle Superwonder.

[choy]

petit hommage a ces impressionnant œuvre d'architecturale qui ont disparu en 2011

5 ans déjà !

Le film se suit mais je peux pas dire avoir été emballé plus que ça. Je l'ai vu en VF et je pense qu'elle n'est pas étrangère à ce sentiment mitigé. Je l'ai trouvée insupportable et il faudrait donc que je revois le film en VO pour réellement me faire un avis. Pas fan du style de l'image mais c'est plus une question de goût personnel qu'un mauvais travail.
Malgré tout j'avais les mains extrêmement moites lors de la scène finale qui a bien fonctionné sur moi.

[Verhoeven]

C'est moi ou Laurent de la FNAC Gennevilliers est pas au point niveau cinéma ??

Ah oui le niveau d'ortographe n'est pas mieux !

http://img11.hostingpics.net/pics/999793Photo0076.jpg

[Machet]

Quel conteur ce Zemeckis !

The Walk m'a ramené au sommet du World Trade Center (j'ai eu la chance d'y aller en 1995). Quelle mise en scène ! Il nous en met plein la vue et s'amuse à balader sa caméra aussi librement que sur ses films d'animations, sans toutefois déroger à quelques règles qui nous permettent de se sentir impliqué auprès de Philippe Petit et de sa petite amie (la scène de la préparation du câble est exemplaire en terme de rigueur narrative - le point de vue ne bascule jamais sur l'équipe d'en face). Et puis c'est super bien écrit, avec pleins de petits détails qui reviennent prendre leur importance au moment voulu.

La reconstitution a un petit côté carton-pâte, surtout en France (parce qu'on ne peut pas nous la faire) avec ses rues trop propres, ses voitures neuves et ses vêtements bien repassés. Mais l'histoire prend vite le dessus, et - personnellement - j'excuse.

Silvestri compose une musique aux petits oignons. Ça fait du bien aux oreilles. Il me semble avoir reconnu une couleur à la Horner pendant la traversée. Je me demande si Silvestri ne lui a pas rendu un hommage discret. Ça pourrait correspondre en terme de dates (disparition d'Horner et enregistrement du score).

Ce film est une ode aux audacieux, aux visionnaires, aux projets dingues, aux dépassements des interdits, au travail d'équipe, à la réalisation d'un rêve aussi fou qu'éphémère. Et un bel hommage au World Trade Center avec des CGI sachant se faire oublier... comme souvent chez Zemeckis.

Il me tarde de le revoir en 3D cette fois. Déjà que le film m'a foutu le vertige en 2D.

Bien joué Robert !