Le film avec Scott Adkins a été acheté aux USA et en France:
http://www.devildead.com/indexnews.php3?NewsID=9515
Teaser : https://www.youtube.com/watch?v=GIQWR7qQzvQ
Close Range - Isaac Florentine (2015)
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Close Range - Isaac Florentine (2015)
Oh really? Well then I'm sure you wouldn't mind giving us a detailed account of exactly how you concocted this miracle glue, would you ?
Close range - Isaac Florentine - 2015
Isaac Florentine, Scott Atkins : une certaine idée du bonheur.
Re: Close range - Isaac Florentine - 2015
La nièce de Colt a été kidnappée. Malheureusement pour les kidnappeurs, Colt est un ancien soldat d'élite.
Il débarque au Mexique et leur enseigne l'american way of life dans un joli plan séquence. Malheureusement pour Colt, le kidnappeur est le neveu d'un chef de cartel. Le tonton va donc vouloir se venger du tonton et le poursuivre jusqu'au Tegzas dans sa maison de famille.
Florentine a voulu proposer un western moderne à la croisées des influences : Tarantino, Rodriguez, Leone. Florentine tente de personnaliser chaque protagoniste ( chaque homme de main est affublé d'un prénom et d'un arret sur image) mais cela ne dépasse pas le stade de la déclaration d'intention.
Au niveau de l'histoire,les ingrédients sont connus : un ex-soldat, un cartel mexicain, un flic ripoux , un beau-père veule, des dilemmes moraux et un mcguffin.Les rebondissements n'en sont pas.
Les acteurs jouent comme des patates , Atkins a rarement été aussi inexpressif. La musique est omniprésente. La deuxième équipe a du s'inspirer d'une série française pour réaliser les scènes calmes.
Coté baston, par contre, on est servi. Les affrontements sont diversifiés ( armes blanches, objets en tous genres, pieds, poings, grappling). Peu de réalisateurs actuels ( à part peut être quelques chinois type Donnie yen) sont aussi généreux. La technique des combattants n'est ni massacrée, ni suggérée par le montage . Ça cogne sec et dur. Atkins a droit à des adversaires, pas des puching-balls. Le rythme ne faiblit pas.
Venant de florentine c'était le minimum. On pouvait toutefois espérer un truc un peu mieux écrit.
Il débarque au Mexique et leur enseigne l'american way of life dans un joli plan séquence. Malheureusement pour Colt, le kidnappeur est le neveu d'un chef de cartel. Le tonton va donc vouloir se venger du tonton et le poursuivre jusqu'au Tegzas dans sa maison de famille.
Florentine a voulu proposer un western moderne à la croisées des influences : Tarantino, Rodriguez, Leone. Florentine tente de personnaliser chaque protagoniste ( chaque homme de main est affublé d'un prénom et d'un arret sur image) mais cela ne dépasse pas le stade de la déclaration d'intention.
Au niveau de l'histoire,les ingrédients sont connus : un ex-soldat, un cartel mexicain, un flic ripoux , un beau-père veule, des dilemmes moraux et un mcguffin.Les rebondissements n'en sont pas.
Les acteurs jouent comme des patates , Atkins a rarement été aussi inexpressif. La musique est omniprésente. La deuxième équipe a du s'inspirer d'une série française pour réaliser les scènes calmes.
Coté baston, par contre, on est servi. Les affrontements sont diversifiés ( armes blanches, objets en tous genres, pieds, poings, grappling). Peu de réalisateurs actuels ( à part peut être quelques chinois type Donnie yen) sont aussi généreux. La technique des combattants n'est ni massacrée, ni suggérée par le montage . Ça cogne sec et dur. Atkins a droit à des adversaires, pas des puching-balls. Le rythme ne faiblit pas.
Venant de florentine c'était le minimum. On pouvait toutefois espérer un truc un peu mieux écrit.
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Re: Close range - Isaac Florentine - 2015
Vrai que c'est très décevant après des Ninja 1 et 2 particulièrement bien torchés. Je rejoins le commentaire ci-dessus pour le côté référentiel (c'est clairement un western contemporain, musique et structure comprise), pis encore sur le modèle ninja/ronin en scène prégénérique. Le pire étant que les gars présentés en arret sur image avec leurs noms, même si c'est une bonne idée en soi, annonçait avec force l'ennui assez périssable qui allaient suivre. ils vont tous crever, n'ont aucune personnalité = chair à canon. on a plus qu'à attendre la fin du film.
Si les bastons sont assez costauds, c'est finalement assez routinier au bout du compte. Quelques cascades impressionnantes, affublées de ralentis, ponctuent une histoire timbre-poste et des dialogues de haaaaaaaaaaaaan-ha-haaaaaaaaaan- i'm get kill you bitch -rhaaaaaaaaaahan-hannnnnnnnnnnn - mort. Et ça fois au moins 10. Des scènes d'exposition sans aucun intérêt, avec enfilage de stéréotypes à la clé.
Le Blu ray norvégien est très propre au niveau copie visuelle. Vraiment nnickel. y compris pour la piste anglaise DTS HD MA 5.1, assez puissante - mais qui met bien en tête me thème principal sifflé qui revient pas moins de 15 fois pendant le film.
aucun bonus, hormis un film annonce.
Si les bastons sont assez costauds, c'est finalement assez routinier au bout du compte. Quelques cascades impressionnantes, affublées de ralentis, ponctuent une histoire timbre-poste et des dialogues de haaaaaaaaaaaaan-ha-haaaaaaaaaan- i'm get kill you bitch -rhaaaaaaaaaahan-hannnnnnnnnnnn - mort. Et ça fois au moins 10. Des scènes d'exposition sans aucun intérêt, avec enfilage de stéréotypes à la clé.
Le Blu ray norvégien est très propre au niveau copie visuelle. Vraiment nnickel. y compris pour la piste anglaise DTS HD MA 5.1, assez puissante - mais qui met bien en tête me thème principal sifflé qui revient pas moins de 15 fois pendant le film.
aucun bonus, hormis un film annonce.
Oh really? Well then I'm sure you wouldn't mind giving us a detailed account of exactly how you concocted this miracle glue, would you ?