Une question pour la mouche.
Les anglais sortent un titre etranger (cad: les dialogues originaux du metrage ne sont pas en anglais).
L'avantage de l'anglais est que la comprehension de la langue depasse de loin les iles britanniques et inclus aussi des acheteurs dans les pays nordiques et le nord de l'Europe. En France au et sud de l'Europe, l'interet diminue mechamment.
Question: qu'est-ce qui empeche un editeur "continental" de sortir une galette avec des st anglais? (Bien sur) Les couts? Mais aussi (peut-etre?) des limites imposees par les ayant-droits (vu qu'une sortie "nationale" couvrirait automatiquement le marche "continental", enfin, tous ceux qui comprenne l'anglais s'entend)?
Si c'est le noeud du probleme, jusqu'a quel degre un editeur independant a-t'il les moyens de negocier? (je pense malheureusement que la reponse est dans ma question...

)
Sinon, j'aurais suggere de sortir le titre avec un st anglais pour leur couper l'herbe sous les pieds aux rosbifs!
Avec l'anglais on couvre (je dirais par ordre decroissant de marche) les iles britanniques, les territoires nordiques et le nord de l'Europe, avec le francais (France, Suisse, Belgique, Luxembourg), avec l'allemand (Allemagne, Suisse (encore), Autriche, Belgique), avec l'espagnol (Espagne, mais aussi l'Amerique du Sud de l'Argentine au Mexique) et avec le portugais (Portugal, mais aussi Bresil).
C'est evident, ca coute pour les traductions/le boulot, mais le marche le vaut-il au final?
Il me semble que les grands editeurs (genre Warner) sortait leurs galettes a une epoque avec une douzaines de st, mais c'est plus une question de "logistiques" et distribution a mon sens).
En aparte, bibi n'est pas collabo

, mais prend ses galettes ou elles se trouvent et du moment qu'il y a des sous-titres en anglais ou francais ou allemand ou espagnol ou japonais. (Notez que j'ai aussi des titres en italiens, et la, ca rame!). Les zones? Rien a peter! Par contre, le prix motive ou demotive selon que. L'avantage d'etre un "citoyen du monde".

En direct du Japon. Bonsoir. A vous, Cognac-Jay.