Tremors 6 - Don Michael Paul (2017)
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Tremors 6 - Don Michael Paul (2017)
Le tournage a commencé en Afrique du Sud avec la même équipe que le très sympathique numéro 5.
Re: Tremors 6 - Don Michael Paul (2017)
Ils en font un 6 finalement au lieu de la nouvelle série télé ?
Pourquoi pas, je suis toujours partant pour voir Michael Gross exploser du Graboid.
Pourquoi pas, je suis toujours partant pour voir Michael Gross exploser du Graboid.
Re: Tremors 6 - Don Michael Paul (2017)
Apparemment il ya aussi la série télé avec Kevin Bacon mais sans Michael Gross.
Re: Tremors 6 - Don Michael Paul (2017)
Je sais, j'avais créer un topic sur elle dans la section série il me semble mais depuis qu'Amazon a récupérer le projet en catimini l'an dernier on a plus de nouvelles.
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Re: Tremors 6 - Don Michael Paul (2017)
Le film est attendu en DTV le 1er mai chez Universal aux US. Ca devrait sortir dans la foulée chez nous, comme ce fut le cas pour le précédent.
Ca s'appellera A COLD DAY IN HELL, titre plutôt étonnant pour un film tourné en Afrique du Sud... A priori, il suffit de tourner avec un filtre bleu et on perd à l'aise 50°C !
Ca s'appellera A COLD DAY IN HELL, titre plutôt étonnant pour un film tourné en Afrique du Sud... A priori, il suffit de tourner avec un filtre bleu et on perd à l'aise 50°C !
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Re: Tremors 6 - Don Michael Paul (2017)
Bon, avec un peu de retard et avant l'arrivée du 7ème opus en Blu-ray ces prochains jours, je mate ce 6ème opus.
Comme je disais en 2018, le film est tourné par la même équipe que le sympathique 5ème. En Afrique du sud.
Or l'intro du film se déroule dans l'arctique canadien. Ce qui, à l'écran, est tout de même assez étrange. Dès les premières images, on filme un désert, et avec un filtre bleu, on nous fait croire que c'est la banquise.
Donc y'a quand même une équipe, quelque part dans le monde, qui a cru que le sable avait un comportement et une texture semblables à ceux de la neige ! Genre personne n'a vu que la neige colle aux vêtements alors que le sable s'écoule...
Bref. Tâchons d'oublier ça. Le filtre bleu s'éclipse rapidement, on nous colle des montagnes numériques dans le fond, un ou deux sapins (dont certains son carrément en pots !
31mins38secs) pour faire genre, des cris enregistrés de vautours et on explique ce bordel visuel et l'incroyable sècheresse du sol (à l'évidence mouillé avant chaque prise de vue) par un problème de réchauffement climatique !
Le film invite les graboïds mais aussi les ass-blasters. Tout est numérique, mais pas si dégueulasse que ça. Plutôt cool même.
Comme c'est le cas à chaque épisode, le look des créatures a été un peu revu, et c'est pas si mal.
On note un casting constitué massivement de jolies filles, ce qui permet en tuer pas mal. C'est malheureusement très propre, très famillial, mais bon, c'est l'esprit de la saga qui veut ça. On a quand même une impressionnante séquence dans laquelle un Graboïd envoie bouler un pickup !
Les explosions ne sont pas numérique, et sont soignées. Le déplacement des Graboid est sans doute le resultat de micro-explosions sous-terraines succession qui font voler la terre. Honnêtement, ça ressemble à un festival pyrotechnique !
Au final c'est un peu long, un peu pipi-caca, 20 minutes de moins n'auraient pas été un luxe mais les bestioles sont vraiment chouettes et vives, et Michael Gross fait toujours le taf (là où les autres acteurs sont... hum.) et y'a une paire de ralentis sur sa gueule de taré bien sympa !
Bref, c'est en dessous du précédent mais ça se tient encore.
Comme je disais en 2018, le film est tourné par la même équipe que le sympathique 5ème. En Afrique du sud.
Or l'intro du film se déroule dans l'arctique canadien. Ce qui, à l'écran, est tout de même assez étrange. Dès les premières images, on filme un désert, et avec un filtre bleu, on nous fait croire que c'est la banquise.

Bref. Tâchons d'oublier ça. Le filtre bleu s'éclipse rapidement, on nous colle des montagnes numériques dans le fond, un ou deux sapins (dont certains son carrément en pots !

Le film invite les graboïds mais aussi les ass-blasters. Tout est numérique, mais pas si dégueulasse que ça. Plutôt cool même.
Comme c'est le cas à chaque épisode, le look des créatures a été un peu revu, et c'est pas si mal.
On note un casting constitué massivement de jolies filles, ce qui permet en tuer pas mal. C'est malheureusement très propre, très famillial, mais bon, c'est l'esprit de la saga qui veut ça. On a quand même une impressionnante séquence dans laquelle un Graboïd envoie bouler un pickup !
Les explosions ne sont pas numérique, et sont soignées. Le déplacement des Graboid est sans doute le resultat de micro-explosions sous-terraines succession qui font voler la terre. Honnêtement, ça ressemble à un festival pyrotechnique !
Au final c'est un peu long, un peu pipi-caca, 20 minutes de moins n'auraient pas été un luxe mais les bestioles sont vraiment chouettes et vives, et Michael Gross fait toujours le taf (là où les autres acteurs sont... hum.) et y'a une paire de ralentis sur sa gueule de taré bien sympa !
Bref, c'est en dessous du précédent mais ça se tient encore.