Fast & Furious 7 (2014) James Wan

[comte vonkrolock]

Donc je pense tout simplement que ce que tu appelles des Has-Been, c'est juste la collection d'acteur la plus lucrative du moment !

A la la laallala tu comprend rien ou tu le fais exprès pour que je post a donf sur cette saga, wrooum wroum hein
Les has-been c'est les futur acteurs du 7ème film (Kurt, Michael Jai White...), le volet à venir, donc a moins que tu sois devin et que tu prédis un succès historique à l'avance. Personne peut dire que le film sera a l'avance un méga super hit du box office

Au moins on est sûr que ces films ont un fervent défenseur de leurs coté

[MadXav]

Ah ben tu vois, tu ne me comprends pas non plus !
Non seulement je ne suis pas défenseur de la série, mais en plus je n'en aime qu'un seul sur les 6 !

Donc non, je ne défends pas la série, je me contente d'être factuel.
Et sans être devin, je ne pense pas trop m'avancer en disant que :
1. Le film coutera entre 150 et 200 M$
2. Il en rapportera au moins 500.

Après le succès des deux précédents, je vois mal comment il pourrait en être autrement.
Celui-ci sera aura en outre cette Aura de "Dernier film avec Paul Walker" qui le rendra immanquable pour toutes les gamines aux hormones fleurissantes (j'en ai eu deux qui pleuraient lundi dans le RER, et 7 autres qui s'échangeaient des photos de lui hier).

Je ne pense pas qu'on ait besoin d'être divin pour voir ce genre de chose.

[MadXav]

On continue de donner de l'ampleur au film avec au casting Ronda Rousey, la championne de MMA (que j'ai trouvé minable dans EXPENDABLES 3) et... Kurt Russel !!!

[Cosmodog]

Alors, ce nouveau "Fast and furious" ? En 2 mots: mieux que le 6, moins bien que le 5.

N'attendez pas de révolution, un nouveau réalisateur à la barre ne change pas le concept. D'ailleurs, James Wan se fond dans le style FF à tel point que ce serait encore Justin Lin aux commandes qu'on y verrait que du feu, à quelques artifices près (ex: la caméra qui chute avec les persos lorsqu'il tombent à la renverse). Seule la scène de préparation pré-ultime affrontement rappelle fortement sa soeur jumelle de "Death Sentence", posture canon scié-dents serrées-musique rock à l'appui. Pour le reste, hyper découpage, effets de vitesse habituels.

Pour ce qui est de l'intrigue, vous pouvez laisser votre cerveau au frais sur la terrasse (ou un rebord de fenêtre si vous n'avez pas de terrasse), les incohérences, facilités et déplacements temporels ellipsés (à croire que Kurt Russel à piqué le téléporteur de l'Enterprise !) sont légion. Mais on s'en fout finalement, car la franchise se déguste désormais comme un bon vieux Kung-fu de Hong-Kong: peu importe le prétexte à baston générale du moment que les enchainements martiaux sont magistraux ! C'est donc sur ce terrain là que FF 7 joue la surrenchère. Avec juste des gros moteurs à la place des coups de pieds aériens. Quoi que pas tout à fait puisqu'on y croise Tony Jaa, qui coup-de-genourise avec entrain.

Vous n'éviterez pas les moments "mamours-pleurnicheries-on s'aime-les enfants c'est beau" rituels, Vin Diesel dispense son quota de 4 "c'est important la famille" (j'ai compté), un placement de produit "Corona" à peine visible (si vous allez aux toilettes au moment clé), et bien sûr les plans à ras le bitume qui remontent sur les cuisses et le string des minettes qui font fantasmer tous les fans de tunning qui ne les croisent jamais en vrai le soir sur les parking des Géant Casino.

L'intérêt est ailleurs, dans les scènes d'actions maousses, qui s'enchainent à bon train. C'est là que FF 7 surpasse l'opus précédent, dans le rythme général, soutenu, qui fait qu'on suit tout le périple sans s'ennuyer. Le prétexte ? aider Kurt Russel à récupérer un super programme de hacker infaillible, "l'oeil de Dieu", qui retrouve n'importe qui dans le monde entier en 5 minutes, en échange de quoi Torretto et ses potes pourront l'utiliser pour chopper en moins de deux le vilain Jason Statham qui fait rien qu'à vouloir tous les tuer. Argument totalement stupide, car vous verrez, Jason Statham passe tout le temps du film à les poursuivre !!!

Et ça se ballade donc de pays en pays, avec à chaque fois une bonne raison de tout faire péter en ratatinant un max de voitures à plus de 150 000 € pièces ! Sur ce terrain là, FF 7 assure plus que le maximum, dans un souci total d'irréalisme. C'est bien simple, en terme de cascades et de chocs encaissés, les persos deviennent quasi indestructibles. Torretto ramasse tellement sans séquelles que s'il avait pris l'A 320 de la Lufthansa la semaine dernière, on l'aurait retrouvé en haut de la montagne avec au pire une entorse du genou. Reste qu'en terme d'action second degré (parce qu'à ce niveau ce n'est plus que ça), le film compile tout un tas d'idées sympa, la meilleure étant pour moi celle prenant pour cadre l'Arabie Saoudite, qui flirte avec la comédie. Avec le fantastique aussi, car l'image donnée du pays des rois du pétrole surprend pas mal: à voir le nombre de bombasses en string ficelle qui se balladent sur le sable fin de la plage d'Abu Dhabi, on se dit que dans la réalité y'aurait une lapidation générale à en faire une plage de galets !

Au final, un gros divertissement pop corn qui assure le boulot, pour peu qu'on ne soit pas trop regardant sur l'exigence scénaristique.

Reste la toute fin, en forme d'adieu et d'hommage à Paul Walker, dans le film comme dans la réalité, avec double sens des propos de Torreto - Vin Diesel. Très réussie et émouvante, qui clot le film sur une note intimiste.

[Romain]

Torretto ramasse tellement sans séquelles que s'il avait pris l'A 320 de la Lufthansa la semaine dernière, on l'aurait retrouvé en haut de la montagne avec au pire une entorse du genou.

Enorme!!!

[comte vonkrolock]

et bien sûr les plans à ras le bitume qui remontent sur les cuisses et le string des minettes qui font fantasmer tous les fans de tunning qui ne les croisent jamais en vrai le soir sur les parking des Géant Casino.

le film compile tout un tas d'idées sympa, la meilleure étant pour moi celle prenant pour cadre l'Arabie Saoudite, qui flirte avec la comédie. Avec le fantastique aussi, car l'image donnée du pays des rois du pétrole surprend pas mal: à voir le nombre de bombasses en string ficelle qui se balladent sur le sable fin de la plage d'Abu Dhabi, on se dit que dans la réalité y'aurait une lapidation générale à en faire une plage de galets !

S'est vrai qui a des perles dans le texte du Cosmodog Excellent merci à toi

[hitcher]

Oui, t'es en forme Cosmodog

[Cosmodog]

Ben, faut croire que "Fast and Furious 7" est un film qui met de bonne humeur !

[fiend41]

subjugué aussi... par la fille arabe dont leur pote veut "fêter" l'anniversaire. quel décolleté

sinon hormis qq "Fire, FIIIIIIIIRe" répétitifs. ça se laisse couler trankilou. dépaysements, courses (mais il en manque un peu quand même...) un contrat de plus

[Lord Taki]

Pour ceux qui n'auraient pas compris le thème est : la famille.
Le mot est balancé toutes les 5 minutes ce qui lui fait perdre toute charge émotionnelle.

J'ai subi ce joyeux bordel trop long, la renaissance du 5e opus est déjà loin.

Que reste-t-il ?

La dernière scène, Paul Walker, sorti probablement des chutes des précédents opus, dans une Supra virginale prenant le chemin vers la lumière l'éloignant inexorablement de Vin D.

[Dragonball]

Vu aujourd'hui et bien aimé, même si le film ne s'avère pas aussi "définitif" que ses 2 prédécesseurs !
C'était cependant assez prévisible vu l'ampleur que ces 2 films avaient déployés en matière d'action et de testostérone !
Le problème vient aussi du scénario de ce septième opus, scénario ici quasi inexistant, juste prétexte à aligner les scènes d’actions toute plus improbables les unes que les autres et à aligner le casting le plus burné possible, ce qui entraine une profusion de personnage pas toujours très maitrisé ! (Tony Jaa est, comme on pouvait le craindre, assez sous exploité malgré quelques pirouettes sympa !)
La crédibilité de la saga déjà bien entamée par le nawak total des épisodes précédents, en prends ici un coup supplémentaire, nos joyeux délinquants fan de tuning devant ici de quasi super héros. Enfin, ex délinquants, ceux ci marchant de plus en plus dans la main avec le gouvernement !
Enfin bon, tout ça reste tout de même hautement jouissif et le traitement de la tragique disparition de regretté Paul Walker assez bien gérer, voir même assez émouvante lors du final.

[Machet]

Mettez Star Wars, les films de super héros et le jeu video GTA ensemble dans un shaker, secouez bien, saupoudrez d'un scénario un peu idiot et vous obtenez Fast and Furious 7. Ça en fout plein la vue et les oreilles pendant 2h, narré avec un premier degré qui ne manque pas d'aplomb. On rit forcément par moment tellement c'est énorme, et on en redemande. Du pop corn movie à l'action surréaliste jusqu'à saturation, hyper bien fait. Mais le 5 reste mon préféré, car tout en étant complètement fou, l'action reste encore relativement plausible. Avec le 6 et le 7, on est plus proche d'un film Marvel.

Le bluray est impeccable : image parfaite et gros son, avec un jeu de contraste sonore grisant, le caisson de basse et les enceintes arrières sont stimulés en permanence. Un régal.

L'hommage à Paul Walker est joli et clôture le film sur une note d'émotion solennelle.

[Manolito]

Voici une série dont je supporte mal les opus pairs (j'avais trouvé le 6 franchement gonflant, avec sa piste de décollage sans fin), mais dont je supporte les numéros impairs. Et le 7 est effectivement potable. James Wan se coule dans un système dans lequel, comme pour les James Bond ou les Marvel pur jus, on se doute que le réalisateur nominatif n'a qu'un poids bien léger sur le résultat final, pur produit d'un système de studio. Ici Universal, pour lequel les "Fast and Furious" est une poule aux oeufs d'or à l'endurance étonnante !

"Fast and furious 7" se compose comme une succession de grosses scènes d'action avec un peu de dialogues vaguement explicatif et/ou sentimental pour les relier. Des scènes d'action dont on retient surtout 3 d'entre elles : une poursuite assez classique pour la série sur une route du Caucase (contre des terroristes sérieusement suréquipées), qui se termine par une de ses cascades improbables qui sont devenues la signature de la série

Spoiler : :

(Dom se jette en voiture dans un immense précipice et malgré de multiples tonneaux, s'en sort avec quelques égratignures)

La palme de l'excès, mais aussi de l'humour, va à la séquence à Abu Dabhi, impliquant notamment Michelle Rodriguez dans un catfight dont on se demande comment les deux protagonistes font pour y survivre...

Enfin, il y a le final complètement disproportionné dans les rues de Los Angeles (des terroristes les survolent tranquillou à bord d'un hélicoptère bardé de mitrailleuses et de missiles sans être inquiétées par l'armée US ?...). Le joker de la partie, c'est Statham en méchant anglais teigneux. L'enjeu du film est de trouver un gadget informatique (très inspiré du système de surveillance universel de "The Dark Knight") permettant de localiser ce bandit grand-breton. En même temps, comme il se manifeste en sortant de nulle part dès que la bande de Toretto arrive quelque part, on se demande si ce gadget est bien nécessaire...

Bref, du grand spectacle creux, mais pas trop mal fait dans son genre. C'est vrai qu'on rigole parfois, mais c'est du cinéma à savourer servi frais, vite vu, vite oublié, en attendant le prochain... qui arrive très bientôt !

[bluesoul]

Apres avoir tater de la serie avec le zode 1 & 2 grace a la NHK nationale, je tente l'episode 7 grace a Nippon Terebi hier soir.

Bilan: j'ai lache apres, quoi, 75 minutes (Abou Dhabi, quoi)

Desole, j'ai poas pu...

C'est c.n, regressif, putassier, mais CA, bibi savait avant de regarder.

Ce qui lui etait moins evident etait notamment a quel point la serie avait ete re-orientee depuis les 2 premiers zodes.

Ainsi, nos "cailleras" de South Central L.A. ont ete bombarde sauveurs du monde libre. Le meme cote "cailleras" soigneusement escamote et remplace par une "famille" treeeeees Bisounours au final. On se prend a les imaginer a dormir le soir dans le meme lit a sucoter une tetine tellement ils sont mignons.

Vin Diesel qui semblent avoir enfle de partout, muscu oblige. Je suppose quand meme qu'il a du pousser le vice jusqu'a entrainer ses muscles faciaux tellement il parait bouffi du visage

Les peripeties qui tiennent parfois--euh, non plutot "souvent"--des soaps des annees 80s, genre Dallas, Santa Barbara ou...Chateauvallon (voire Michelle Rodriguez qui devient "nesique" ). Ajoutons des persos/acteurs qui entrent / sortent du recits apres quelques "signature moves" (Dwayne Johnson, sa fille, Tony Jaa) ou pratiquent la porte-tournante (Statham) pendant tout le film.

Et surtout, qu'on est passe en 13 ans, d'un simple actioner destine a remplir les salles pendant la periode creuse de l'ete a des blockbusters hyper-calibres et finance a coups de paquebot de biftons.

C'est tres simple, la saga FF tient plus de la serie des Bond ou Mission Impossible (Cruise-version, bien sur) a coups d'explosions, peripeties, voyages a travers le monde, complots mondiaux avec neanmoins plusieurs differences importantes.

D'abord les persos qui se limitent a des "vignettes" collees sur une intrigue bateau batie autour d'un jeu de scenes "maousses" de plus en plus delirantes.

Et surtout, les fameuses "scenes maousses" qui donne a cet opus (je rappelle que je n'ai pas encore vu les zodes 3,4,5,6 ) un cote zapping/best-off de scenes finales/climax/apotheoses d'actioners...et CA, ca lasse a force. Surtout que FF parvient literalement a battre MI ou JB dans ses delires et concepts. (i.e. Abou Dhabi: 1 building, 2 buildings, 3 buildings, 4 buildings--ah, m.rde, il n'y a pas de 4eme buildings , la chute volontaire de Diesel dans la montagne ) Hallucinant...de c.nnerie. Mais, "hallucinant" quand meme.

Attention, je ne dis PAS que c'est mauvais ou mal fichu, je dis juste que ce n'est pas ma conception du cinema--ou des actioners et qu'il y a une limite, des limites...limites que FF depasse allegrement et pour le plus grand plaisir du publique qui en redemande.

De mon cote, avant de jeter l'eponge, je n'ai pas pu m'empecher de pouffer a chaque scene "maousse", ce qui n'etait sans doute pas le but recherche...

Dans l'ensemble, FF me rappelle la serie des Saw (vu le zode 1,3 et 2 dans cette ordre). Saw commence comme un thriller craspect facon Se7en avec une astuce final (comme Se7en en fait) et plusieurs episodes plus tard a ete "re-aligne" en torture porn. FF aussi a ete realigne et continue d'etre realigne en permanence, ce qui est d'ailleurs la raison que la serie perdure.

FF est un univers ou TOUT, absolument TOUT est possible.

A ce titre, bibi ne serait pas etonne qu'on finisse par retconner la nuque de Diesel pour lui tatouer un "XXX" dessus ou de faire croiser a la "famille Torretto" Diesel dans un double-role jouant les Xander Cage en guise de frere separe a la naissance ou une c.nnerie du genre.

Au final, FF est genereux (jusqu'a l'ecoeurement), flashy (jusqu'a l'aveuglement), putassier (jusqu'a la [!!CENSURE!!]) et le resultat final est EXACTEMENT ce qui avait ete prevu.

En fait donc, un "bon" film...dans son genre s'entend. Genre qui n'est pas le mien, mais je m'essayerais quand meme a quelques autres episodes, juste pour voir ou la serie a "franchi le pas", moment ou bibi decrochera.

Fast and Furious 7: ?? / 5 (pas vu en entier et pas envie, donc peux pas juger )

[bluesoul]

Ajout: depuis hier, je surfe un peu sur les threads des autres opus de la saga FF pour voir ce que j'ai loupe (pas grand'chose en fait ).

Dans le thread de FF6, je tombe sur l'extrait (courtesy du Xav fou) de Gone in 60 Seconds 2 . Bon, ca manque de bombasses, mais c'est quand meme joue avec les pieds, et surtout: QUELLE GENEROSITE! VOILA le film que je voulais voir hier soir en regardant FF7! Et le SLICER, quelle invention. Je veux le meme a Noel!