Non pas que j'ai pris une grosse baffe, mais tout de même pour son treizième long métrage cinéma Alex de la Iglesia qu'ont ne présente plus nous livre un film magnifique. Là ou j'y suis allez à reculons lors de passé à la caisse pour payer ce BR (et oui sa n'a pas connu de sortie en salle). Je me suis dis que malgré tout la sympathie que j'ai pour le bonhomme il était peut-être un peut en perte de vitesse, un film sur deux est moyen ces derniers temps (Un jour de Chance, Mi Grand Noche -même pas sorti en France-). De plus aujourd'hui la plupart des films cinéma (en dehors toujours des grands spectacle et encore...) me laisse indifférent ou du moins se que je voudrais voir sort à la va vite ou directement en vidéos.
Avec ce Pris au Piège, ont a droit non seulement à un tour de force comme souvent chez ce réalisateur, en plus du fait d'être en terrain connu il y a du génie chez se bonhomme. J'ai trouvé ça très réussi au niveau de la rythmique, de l'échange entre les personnages leurs transformations. Imaginez le film de Xavier Gens The Divide mais dans une version comédie social. Un huis clos avec un espace réduit loin de limiter les ambitions de Alex de la Iglesia dont ont devrait autant et largement loué les louanges qu'un réalisateur majeur comme Pedro Almodovar. Il montre encore un fois qu'il est a travers ce film, l'héritier des Hitchcock et définitivement le défenseur d'un cinéma fantastique qu'ont connait depuis l’époque John Carpenter. Il crée une ambiance unique

Alors oui je m'emballe, mais quel film ! Sa commence dans un bar à la manière d'un Phone Game ou les occupants se font éliminer s'il le quitte, et cela fini façon thriller digne du maitre du suspence. Comme on dis si ont est pris dedans on ne décroche pas

Et pour une fois l'éditeur qui le distribue en DVD/BR a eu la bonne idée d’inclure à la fois un très bon et long making-of (36mn), ainsi qu'une interview qui montre à quel point le cinéma peut être non seulement un métier passionnant, et pas que ou chaque acteur réussit à transmettre un peut de cette passion à son voisin. Se qui me ferait d'autant plus dire qu'il aurait définitivement pu avoir une place en salle, tellement il a été penser dans ce sens.
Heureusement il reste la HD ouf...! Merci à Condor et à l'Atelier d'Image qui ont décider malgré la timidité du marché de nous le sortir dans ce format

