La saison des daubes (dit affectueusement de ma part...
) a été lancée par "Avengers Infinty" il y a peu ; arrive juste derrière lui "Rampage" par le réalisateur et la superstar de "San Andreas" (et du second "Voyage au centre de la Terre", toujours avec The Rock))...
Dans "Rampage", il interprète un primatologue, ancien des Forces Spéciales, qui s'occupe d'une réserve de gorilles en Californie. Blessé par la vie, Davis Okoye (c'est son nom) est très proche des animaux qui lui sont confiés, en particulier de George, un gorille albinos avec lequel il échange dans la langue des signes. Les débris d'une station spatiale tombent dans la réserve et contamine le gorille qui devient plus agressif et grossit démesurément, de plus en plus vite. En Floride, un crocodile est touché par de tels débris, tout comme un loup dans l'Iowa. Les trois animaux mutants convergent vers Chicago...
Partant d'un jeu vidéo au concept très minimaliste, "Rampage" a pour lui quelques atouts qui font qu'on a du mal à le détester : The Rock est toujours bien cool, personne ne se prend au sérieux, il règne sur ce gros spectacle une absence totale de prétention. "Rampage" est généreux en images de gros monstres et en combats colossaux, avec des effets spéciaux d'un niveau correct. Et pourtant, quelque chose ne va pas... On s'ennuie assez vite, les dialogues composés presque essentiellement de punchlines affligeantes lasse vite le spectateur. Certains personnages secondaires comme les 2 méchants ou l'agent joué par Jeffrey Dean Morgan sont vite gonflants... On n'a pas envie de détester car l'esprit de cette comédie d'action est sympathique. Mais c'est quand même très moyen... Dommage...
, mais il y a Dwayne Johnson et c'est la Warner qui creuse le sillon Kaiju/pseudo-Kaiju/meta-Kaiju, donc ca vaut au moins une loc' 
(et ca devrait pulveriser Pixels (2015) 
)
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, (sauts, bastons, objectif de détruire toute la ville, descentes en rappel d'immeubles en fracassant les murs et bouffant les humains). et bonjour certains dialogues et préjugés : en 2 phrases et une autre fois, the rock se fait traiter d'antisocial, histoire de définir le caractère qu'il préfère les animaux, mais à ce train de dialogues ineptes, je croise des 100aines d'associaux chaque semaine j'ai l'impression..
)