Constance Petersen (Ingrid Bergman) est médecin dans un hôpital psychiatrique dont le directeur (Leo G. Caroll) vient d’être mis à la retraite. Toute l’équipe attend l’arrivée de son successeur : le docteur Edwardes (Gregory Peck). Ce dernier arrive enfin, dés le premier regard Constance tombe amoureuse de lui. Mais rapidement elle réalise que cet homme a usurpé l’identité d’Edwardes…
Alfred Hitchcock est une véritable légende du cinéma à Suspense pour beaucoup, il a eu plusieurs période Britannique et Américaine, travaillé entre autres pour de nombreux grand studio. Et puis le bonhomme à quand même démarre dans le muet et tourner jusqu’à sa mort, plusieurs décennie se sont enchainé jusqu'au début des des années 80 (Complot de Famille). Si tous ces films ne sont pas des chefs-d'oeuvres, ont peut facilement les classéles plus mineur dans la catégories des solides spectacle policier de leurs époque. Et cette Maison du Dr. Edwardes à très certainement ces amoureux, dont je fait parti sans conteste, le rythme même s'il y est étiré s'est sûr, ne manque pas de piquant pour l'époque.
Comment faire différemment lorsqu’on analyse un patient, lorsque l'ont traite d'une maladie comme l'amnésie. Gregroy Peck y montre tous son talent de jeune premier, il à l'époque quelques films tourné pour de gros studio lui aussi (RKO, Fox) et déploie un talent certain à l'écran. On y voit un Hitchcock se servi de tout sa technique pour faire monté crescendo son suspense. La séquence sur les pentes enneigé du lac Gabriel en est l'un de ces magnifiques passages. Tous comme cette séquences de rêves dessinés par Salvador Dali. Ingrid Bergman tous comme sur Notorious (pas encore revu sur la copie du coffret Carlotta) elle semble complétement à l'aise dans son rôle de jeune analyste. Et si en effet l'intrigue se révèle plutôt simple au final, le grand Hitch montre à quel point sa technique et sa mise en scène pouvait être efficace près de 77 ans plus tard
La copie issu du coffret Carlotta est pas mal bruité, on y voit beaucoup de trait traversé l'écran surtout sur le générique. Mais même si se disque HD n'a rien a voir avec restauration effectué sur Rebecca dans ce même coffret, et qu'il n'atteint donc pas le niveau des copies Warner (Soupçons). En l'état Spellbound reste en BR largement supérieur au rendu DVD, les contraste y sont saisissant

tous comme la définition bien plus poussé

d'ailleurs le DVD sorti chez Aventi se défendais plutôt pas mal en à son époque, mais ne fait plus du tous le poids face à ce disque HD.
Coté bonus:
- on a une partie du documentaire de Laurent Bouzereau, en 4 part une par disque,
- une partie de l'entretien de Truffaut face à Hitchcock, qui avait permis à Truffaut d'écrire sont livre éditer en 1967,
- Ainsi qu'une BA stfr d'époque
le test de l'équivalent US chez MGM sur bluray.com:
http://www.blu-ray.com/movies/Spellboun ... 79/#Review
