Police Fédérale Los Angeles (1985) William Friedkin

[Superfly]

ça m’énerve toujours autant de devoir payer 50€ pour avoir tous les bonus d'une édition. 50€ quoi !!

[Heinrich]

ça vaut pas le coffret Tarkovski à 150 euros.


Je vais attendre qu'il soit en promo.. comme Phantom of the paradise!

[Superfly]

Oui mais là tu as tout je pense. Comme sur les éditions simples avec un truc en plus pour le coffret. j'ai pas vérifié. Mais là c'est tu paies 50 ou tu paies 20 mais t'a rien. C'est dur.

[comte vonkrolock]

Oui mais là tu as tout je pense. Comme sur les éditions simples avec un truc en plus pour le coffret. j'ai pas vérifié. Mais là c'est tu paies 50 ou tu paies 20 mais t'a rien. C'est dur.

L'édition à 20 Euros est vraiment très bien aussi, il y a des scènes coupées, une fin alternative, BA, etc... en plus du doc de 30mn S'est toute de même pas mal par rapport au Collector... et puis elle prend moins de place j'ai déjà eux du mal avec le Coffret Hitchcock Années Selznik (99€ dans mon cas moins car je gagnais 20€ pour cette achat et que j'avais pas mal de chèque cadeaux).

Il y a 3 disque sur ce Collector donc si je comprend bien, ils ont fait un BR différent de l'édition à 20 €, puisque tous les bonus sont bien présent, mais il y en a bien plus encore. Par contre ils sont pour la plupart en SD je suppose, du moins le documentaire que j'ai pu voir est un portage de la SD à la HD, il est d'époque repris sur la première édition Collector DVD, après peut-être que les autres sont issu de chez Shout ont des sources vraiment HD. Sur un seul disque HD, le film de 2H plus 230 minutes au moins de supplément....
Remarquer le Shout s'était pareil, alors pourquoi y inclure aussi deux DVD qui n'ont finalement même pas les même bonus, la clairement sa tenais peut-trop de place pour pouvoir tous caser...

En l'état je trouve le bonus de l'édition simple réellement ultra complet on fait bien le tour du sujet, s'est passionnant. Après s'est sûr s'ils ont est à fond coté bonus supplémentaire, l'édition Collector semble bien être l'édition de référence.

Pour Shout Factory sa semble marché fort, la plupart des éditeurs (Français) se tourne très souvent vers eux, même si sur la version simple les bonus n'en sont pas issue (et pourtant très bon).

[Heinrich]

c'est pas mal mais tu n'as pas la totale donc ça craint! c'est bien vicieux comme procédé mais bon.. Le Tarkovski aussi, apparement le sacrifice en version restaurée est excusif au boxset.

Dans un autre registre (pour les fétichistes) les slipcover uniquement dispo en petite quantité pour les 1ers acheteurs, le pire du pire je trouve, quand un éditeur commence à jouer la dessus j'ai qu'une envie c'est de boycotter. Heureusement le chat nous épargne ça! ça se fait bcp à l'étranger aussi.

Sinon pas assez de transfuge du catalogue Shout en France je trouve, ils ont combien, 300 titres en stock ? ça pille bien plus chez Arrow par ex.

[MadXav]

c'est pas mal mais tu n'as pas la totale donc ça craint! c'est bien vicieux comme procédé mais bon.. Le Tarkovski aussi, apparement le sacrifice en version restaurée est excusif au boxset.

7 films et deux bouquin quand même dans le coffret Tarkovski. 150 euros c'est cher, mais il semble qu'il y ait quand même du contenu assez sérieux...

[DPG]

Pareil que d'autres, 50€ c'est trop cher !

Surtout que qd je vois la liste des bonus, y en a qd même une pelletée dont je me fous et que je ne materais jamais :

"Le Renouveau de la femme à Los Angeles" : comment Debra Feuer a obtenu son rôle après que William Friedkin l'a repérée au théâtre (HD sur le Blu-ray - 15')
"Docteur d'un jour" : retour sur la première expérience d'acteur de Dwier Brown dans un long-métrage majeur (HD sur le Blu-ray - 9')
"Totalement en phase" : entretien avec Jack Hues et Nick Feldman du groupe Wang Chung (HD sur le Blu-ray - 13')
"À contresens" : Buddy Joe Hooker explique son travail de responsable des cascades (HD sur le Blu-ray - 36')


Les bonus c'est cool, mais bon, bientôt on aura une vidéo de 15mn du régisseur qui nous expliquera qu'un jour il est allé acheté des fruits bio parce que l'actrice a fait un caprice à 9h du mat !

[comte vonkrolock]

Les bonus c'est cool, mais bon, bientôt on aura une vidéo de 15mn du régisseur qui nous expliquera qu'un jour il est allé acheté des fruits bio parce que l'actrice a fait un caprice à 9h du mat !

Faut pas abuser non plus, ou alors on aura vraiment un publique de merde pour ça

[dario carpenter]

Disparition de l'actrice Darlanne Fluegel à 64 ans :

https://www.hollywoodreporter.com/news/ ... 64-1071449

[comte vonkrolock]

Disparition de l'actrice Darlanne Fluegel à 64 ans :

https://www.hollywoodreporter.com/news/ ... 64-1071449

William Petersen doit être bien triste... Il l'avait recommandé pour ce film de Friedkin. Il était souvent complice au théâtre, en tant qu'acteur amateur bien avant ce projet d'après se qu'ont peut en voir sur le making-of.

[Teurk le Sicaire]

Un film avec un héros aux couilles si grosses qu'il ne cesse de se prendre les pieds dedans ! To Live and Die in LA est plutôt déroutant, que ce soit dans sa narration très lâche (pour ne pas dire bordélique) ou dans son ton qu'on peut initialement percevoir comme sérieux (après tout, c'est une production américaine des 80's) avant de finir par s'interroger sur un parti pris moqueur de Friedkin : en effet, les superflics tant célébrés par les dialogues et la caméra s'avèrent rapidement être des branquignoles qui foirent systématique tout ce qu'ils entreprennent, se comportent comme de vrais salopards avec le reste du casting (particulièrement les indics féminins) et n'ont pas besoin de beaucoup pour complètement vriller dans l'illégalité totale... et pourtant contre-productive ! Il faut voir Richard Chance exhiber son paquet dès qu'il le peut... et se le faire savater avec autant de régularité !

En comparaison, le faussaire Rick Masters (un magnifique blaze pour un William Dafoe au magnétisme troublant) semble un individu bien plus respectable et sophistiqué, nonobstant ses contraintes professionnelles de criminel. C'est d'ailleurs sympa de retrouver comme enjeu policier le trafic de fausse-monnaie, un sujet qui a disparu des préoccupations modernes. Retenons en petit bonbon acidulé la présence au générique du classieux Steve James, bien connu pour avoir été le marchepied rayonnant de Michael Dudikoff dans les American Ninja.

Visuellement et auditivement, Friedkin nous fait un shoot intraveineux d'années 80 (quel plaisir que de visiter les topless shows ouvrant à 11h) et délivre une séquence de course-poursuite d'anthologie qui prouve l'increvabilité des suspensions des voitures américaines. On en ressort toutefois épuisé par autant de machisme aussi conquérant que louseur, et qui semblerait presque être une maladie que le héros transmet in fine à son coéquipier.