Avec Shia LaBeouf, Michelle Monaghan, Rosario Dawson, Michael Chiklis, Anthony Mackie, Billy Bob Thornton
Synopsis Un jeune homme découvre que son frère jumeau est mort de façon mystérieuse. En rentrant à la maison, il comprend qu'on les prend, lui et sa mère, pour des terroristes. Tous deux sont alors obligés d'intégrer une cellule spéciale qui est en train de mettre sur pied un assassinat politique...
BA en VO
Vu et c'est ... très très con !
Shia LaBeouf oscille entre l'air ahuris et l'abattement tout le long. Michelle Monaghan est très laide tout le long. D.J. Caruso se contente d'enchainer les scènes d'action sans y croire une seconde. Les scènes d'action sont filmées avec les pieds. Mais pourquoi HAL9000 est devenu une femme ? Tony Scott et Will Smith avait fait beaucoup mieux avec Ennemi d'état. La musique donne mal au crâne. Le scénario est ridicule et bien réac' comme on les aime de l'autre coté de l'atlantique. Malgré tout ces défauts, on ne s'ennuie pas vraiment. Entre deux dialogues on espère que la nouvelle scène d'action arrive très vite.
On dirait une mélange entre 2001 l'odyssée de l'espace, 24h chrono et Le fugitif... c'est un peu du n'importe quoi !
Pareil. Le fait que l'approche soit d'un sérieux papal n'arrange sans doute les choses. Les séquences d'action sont nombreuses, souvent spectaculaires mais pas plus marquantes que ça au final, et le petit couplet "honneur - famille - patrie" assez indigeste, même si le film, qui dénonce plus ou moins les dérives sécuritaires post-9/11 de l'administration Bush, défend au fond une cause plutôt libérale.
Autrement j'aurais pluôt classé ça dans la section fantastique du forum, le film tenant davantage de l'oeuvre de science-fiction / anticipation (avec notamment une action se déroulant en 2009) que du thriller Jason Bournien (ce que je croyais au départ).
manuma a écrit :
Autrement j'aurais pluôt classé ça dans la section fantastique du forum, le film tenant davantage de l'oeuvre de science-fiction / anticipation (avec notamment une action se déroulant en 2009) que du thriller Jason Bournien (ce que je croyais au départ).
Moi je t'ai pas pardonné d'avoir insisté pour laisser Les rendez-vous de Satan en cinéma non fantastique
Joyeux Noël quand même !
Ceci est un P.38, le flingue le moins puissant du monde. Si je te touche avec, c'est même pas dit que je te fasse un troisième téton.
Je viens de voir ce truc.... eh bin dis donc ! comme disait feu ma grand-mère... au début on est intrigué, on se demande comment, quoi, on espère vaguement un scénario partant de là où se concluait Matrix ou Terminator, genre le jour où les machines se sont faché tout rouge, mais non, c'est interminable et surtout dès qu'on a la révélation, vachement euh comment dire... époustouflante, on s'emmerde en attendant le prochain tour de cochon du bidule. Pendant que la belle Rosario et le gars qu'est payé pour expliquer aux spectateurs le trucs vachement compliqué pour tuer le machin fini par coller un pain dans l'oeil du cyclope et hop extinction des feux... ou pas... en fait j'ai pas compris comment ils ont arrêté le truc, peut-être que quand elle a vu tout le monde sortir de la salle du Congrès (et de cinéma aussi à mon avis) elle a déprimé et est partit regarder des mecs boire dans un rade de Barbes, je sais pas. En tout cas hein... et bin dis donc !
Se faire traiter de con par des imbéciles est un plaisir de gourmet.
"Les anglais sont timides, charmants et monotones. Un peu comme du veau de choix dans une assiette à fleurs."
Alexandre Vialatte
Effectivement on se demande bien pourquoi Dawson et le black ne pêtent pas tout de suite l'oeil de la machine au lieu d'essayer 36 trucs avant, étant donner l'urgence de la situation et l'efficacité de cette méthode.
Autre déficience du scènario qui prête légèrement à sourire : lorsque la machine tente, sans trop de conviction, de dézinguer La Boeuf vers la fin. Jusqu'alors plutôt du genre ultra carrée dans sa façon d'agir, la machine fait subitement preuve d'une étrange et très opportune nonchalance en lançant au personnage de Monaghan quelque chose comme "C'est pas grave, on s'occupera de lui plus tard" ...
je vous trouve méchant sur ce coup car j'ai beaucoup aimé. Alors oui c'est bourré d'invraisemblances mais bon le scénario tient en haleine et devient plus passionnant encore vers la fin, les scènes d'action sont vraiment bonnes. La course poursuite est top avec des carambolages comme bibi il aime. C'est à dire des voitures vraiment défoncées. Donc un bon petit film pour pas se prendre la tête avec pas mal d'action et de suspense. Par contre c'est vrai que la fin est un peu décevante. Les mecs méritaient tous des mourir !
J'aime bien les thrillers parano mais là j'y croyais pas trop... ben quelle daubasse ! Et comme prévu le truc a déjà 15 ans de retard à TOUS les niveaux : histoire, scénar, persos, scènes d'action... hallucinant de voir tant d'incohérences dans le script comme dit plus haut (aussi par exemple la machine qui bloque pas les ascenseurs aux mecs qui s'apprêtent à la "déconnecter") et le ridicule achevé de certains passages (la machine qui décrypte le café, le sacrifice de Thornton, la mise à mort de la machine, l'épilogue avec morale Carambar en voix off... ). Ah et pis les bips-bips, zaps, woooooof sur les images d'ordinateur ça aussi on fait plus hein.
Sinon marrant mais le début m'a évoqué The Game et une scène m'a rappelé une de Seven.
Ca donne envie de se refaire le chef d'oeuvre en la matière Ennemi d'état.
Un film de cinéma, fait pour le grand écran (bon, pas pour le tout petit écran provincial où je l'ai vu.!). Plutôt intrigué pendant la moitié du film, je me demandais bien comment le scénario allait proposer une sortie convenable.
Et vlan, pour la seconde moitié, on retombe en terrain pratiqué : c'est reparti pour le Xieme thriller paranoïaque à la sauce
Spoiler : :
attentat contre le président US.
.
Le début est archi casse gueule, mais fonctionne à plein régime en terme d'action et de suspense. C'est bien sûr complètement improbable, mais c'est du cinéma, donc, on essaye de profiter du ride. Là où ça ne va plus du tout à mon goût, c'est l'avion dans le tunnel. D'une part, les SFX ne sont pas crédibles et ensuite, trop c'est trop! Je rejoins manuma sur le couplet "patrie, famille, machin" que le film enfile tout en tentant une timide critique sur le tout sécuritaire.
J'ai aussi un problème de lisibilité des scènes d'actions : un montage hyper rapide qui empeche pratiquement de profiter du festival de tôles froissées.
Côté scénario, j'ai plutôt pensé à Colossus dans le genre paranoïa électronique, avec la référence assez évidente à l'Homme qui en savait trop (pour le concert et la note de musique cruciale). Ennemi d'Etat, mouais, mais ce film de Tony Scott est tellement anecdotique et peu référentiel que je doute d'une quelconque influence sur ce Eagle Eye de grande consommation.
La fin est parfaitement ridicule et enfonce le clou de l'ambiguité d'un film de major sur un tel sujet. Sujet qui se délité au profit d'un produit hyper-calibré et Shia LaBeouf (qui lm'a fiat penser à Michael Youn pendant tut le long, bonjour le facteur crédibilité )qui logiquement
Spoiler : :
aurait du mourir avec les trois balles dans le buffet qu'il prend.
Je me suis dit : ah ben finalement, Hollywood a des couilles sur le coup... ben non. Syndrome les Dents de la Mer 4, quoi
Par contre, j'aime énormément la musique qui pulse de Brian Tyler , dont je deviens de plus en fan. La partition est riche, avec un orchestre qui défouraille et le CD défonce les hauts parleurs de ma bagnole. J'aime
donc au final, pas vraiment dennui à la vision, une première partie adroite, un patchwork d'idées repiquées à droite à gauche et recyclées pour 2008 et au finish un film parfaitement dispensable.
SWS dit : O
PS ; je suis en effet d'accord pour dire qu'il a plus sa place sans la partie cinéma fantastique...
Oh really? Well then I'm sure you wouldn't mind giving us a detailed account of exactly how you concocted this miracle glue, would you ?
en y repensant ce que j'aime c'est le risque que le bidule prend en envoyant ces deux amateurs braquer des mecs simplement pour un truc qui leur permettra de pas tomber dans le coma, et puis peut-on m'expliquer comment on fait pour faire livrer toooooout le matos que l'autre retrouve chez lui, et ça juste chez lui... genre "bonjour madame nous sommes de la compagnie Terroriste an Co, les deux tonnes de nitrate d'ammonium où doit-on les livrer ?" Là dessus des pro de l'anti terrorisme ne se pose pas non plus des masses de questions, un mec entasse dans dix mètres carré un sniper lourd, des explosifs, des flingues, faux papiers, etc et tout ça est normal tous les terroristes font ça. Le même machin oblige toutes sortes de sources à mettre en route son processus meurtrier mais il lui faut deux gus (l'un on comprend mais l'autre ?) pour le conclure... et le foirer totalement parce qu'un type va se déguiser en poulet (bonjour la sécurité à ce propos) alors qu'elle peut détourner un explosif de compétition... crédible. Même la suspension d'incrédulité se fracasse.
Se faire traiter de con par des imbéciles est un plaisir de gourmet.
"Les anglais sont timides, charmants et monotones. Un peu comme du veau de choix dans une assiette à fleurs."
Alexandre Vialatte
Revu en HD, toujours aussi palpitant de bout en bout. Me suis pas emmerdé une fois. Le genre de petit film nickel pour passer une bonne soirée sans se prendre la tête ...
Fantastiquement emmerdant voilà pour résumer ce petit film a très gros budget de D.J. Caruso, si Paranoïak pouvait faire illusion sur celui-ci rien, nada, que dalle comme le signale si bien Manuman les scènes d'actions sont lambda (déjà vu ailleurs et surtout en mieux) même si bien emballer le syndrome de la caméra tremblante prend souvent le dessus.
L'histoire abracadabrante, un ressassé d'Ennemi d'État en moins bien un comble.
Un spectacle qui pille allègrement le dernier Die Hard (4.0) qui était pas une référence, mais qui ici passe pour un exemple de rythme et d'actions.
Toi t'est un flic..? Non j'uis un con. Snake Plisken Escape from NY
Tente l'aventure via TV Tokyo (mon fournisseur habituel de trucs que j'ose meme pas louer ou que j'ai aime, mais pas (re)vu depuis des lustres .)
Ca commence bien avec un cote "ethique" sur la guerre (contre le terrorisme) moderne via des drones, pour devenir un brin mysterieux (et dramatique) via les relations familiales de Leboeuf, pour quand meme virer au grand n'importe-quoi des que Leboeuf commence a voir sa vie derailler et se faire estampiller
Spoiler : :
terrorist No1 avec du matos livre a la maison (via Amazon? ) et remplissant son appart du sol au plafond avec des armes dernier cri, de l'engrais chimique et des manuels militaires top secrets (trouve sur Ebay? ).
Le pitch fait bateau, mais le pitch de suivre des ordres et d'encaisser une fouletee d'emm... qui se dechainent les unes apres les autres, me rappelle Simple Mortel (1991) matine quand meme de
Spoiler : :
Colossus: The Forbin Project (1970)
, mais en mode "Hollywood" avec moultes cascades, crash, fusillades et j'en passe et des meilleurs.
Bon, c'est pas "smart" pour deux sous, mais c'est plutot bien torche meme si plombe par quand meme une palanquee d'invraissemblances. Bref, l'epoque des thrillers paranos facon Three Days of the Condor (1975), All the President's Men (1976) ou The Parallax View (1974) est bien revolue et les thrillers post-modernes tiennent plus de la saga Fast and Furious que d'autre chose .
M'enfin bon, si on arrete de prendre ses desirs pour des realites et prend le film pour ce qu'il est, une sorte de "ride" ou il ne faut pas se poser trop de questions (pour ne pas dire mettre son cerveau sur "off" ) et juste suivre ce qu'il se passe a l'ecran; 'ben au final; ca marche.
Oui, c'est souvent c.n, pas credible pour deux sous, mais Billy Bon Thornton sauve les meubles et Leboeuf est supportable (il nous epargne son signature-move habituel: "Optimuuuuuuuuus!!!", ce que bibi apprecie ENORMEMENT ).
Bizarrement, le film, si on oublie le cote boum-badaboum maousse ("cinema", quoi), on a surtout l'impression de se trouver en face d'un telefilm qui a ete "gonfle" pour le grand ecran. Une sorte de melange improbable entre Mission Impossible TV (1966) et un telefilm qui glisse graduellement (et TRES maladroitement) vers le fantastique (p.tain la facon avec laquelle l'iranien est expedie ) donnant un cote, malheureusement parfois limite "nanardesque" a l'entreprise--sans compter les "dommages collateraux" (p.ree le massacre dans le tunnel ou l'exact contraire avec
Spoiler : :
Leboeuf qui survit (avec un bras dans le platre ) a plusieurs balles tirees a bout portant , faut quand meme pas dec.nner...
), mais vu que le film bouge avance a Mach 3, on n'a pas (trop) le temps de se poser des questions.
Si le cote "camera/SNS/internet/smartphone/eletronique partout, vie privee nulle part" n'est (deja) plus neuf a l'epoque, l'idee d'une armee de "collaborateurs" malgre-eux, tous pieces d'un plus grand puzzle n'est pas mal du tout, meme si exploitee de facon seulement limitrophe (le recit se centrant sur Leboeuf/Monaghan).
Resultat de l'ensemble; un ch'tit film d'action tendance "blockbuster" plus "efficace" que "finaud". On a vu pire dans le genre.
Eagle Eye: 3.75 / 5 (ideal pour les samedi-soirs, avis aux amateurs)
mission impossible first reckoning ? keskeçécon ! pourtant y'a des moyens dans les cascades voitures, mais bizarre sur la largeur du drone avant et dans le tunnel
-pourquoi l'IA n'a pas d'autres humanbombs ?
-y'a 2 malettes qui sont déroutées de l'armurerie, et on ne sait rien de la seconde.. et malgré plein de détails suivis pour plein de scènes.. là on ignore comment ces malettes ont pu quitter le lieu
-à la marge, l'antihéros on nous sort son cursus de génie scientifique, et y'a zero initiative à ce niveau...
). Ah et pis les bips-bips, zaps, woooooof sur les images d'ordinateur ça aussi on fait plus hein.
.)
. 
) et juste suivre ce qu'il se passe a l'ecran; 'ben au final; ca marche.