Une jeune et richissime femme est atrocement assasinée par un tueur masqué et tout revetu de noir dans sa villa en bordure de mer.La femme de menage est egalement assasinée.Le mari de la victime,jack,est aussitot vu comme le suspect numero un.Il demande a teddie barnes,celebre avocate de droit penal,de prendre sonaffaire en charge.En effet,il est la cible des medias et du district attoney krasny qui voient en lui le coupable parfait:jack est l'heritier de la fortune de sa femme.
Teddie finit par accepter et demande a jack de lui dire toute la verité et de ne rien lui cacher.Jack clame son innocence et pretend qu'on veut lui faire endosser le crime pour des raisons crapuleuses ou des raisons qu'il ignore....Teddie tombe bientot amoureuse de cet homme au charme ravageur.Mais le proces va bientot s'ouvrir et teddie doit rester professionnelle.De plus,beaucoup de preuves sont accablantes pour jack,comme ce poignard retrouvé dans son casier et qui a servi pour le meurtre de son epouse.Que teddie doit elle croire?
Sorti en 1985,ce thriller est un pur chef-d'oeuvre du genre.Rarement un film a suspense n'a jamais été aussi bien ecrit et imaginé.Le scenario est solide et les rebondissements multiples et le tout tient vraiment la route.On est piegés tout comme glenn close(formidable actrice dans ce role comme a son habitude),en avocate determinée et sensible voire vulnerable.Jeff bridges est tout aussi excellent dans le role de la victime.Les scenes de proces sont tres reussies est les images sont sublimes.
Je ne peux que m'exalter de ce film que je considere de loin comme un des modeles du genre policier-suspense-thriller made in u.s et qui donnera plus tard des nanars comme body ou sliver
un mustttttttttt!!
et le slogan de l'affiche resume bien le dilemne du film"quand un meurtre est a ce point atroce que croire vos sentiments ou vos preuves"?
Jagged Edge (VF :A double tranchant) - Richard Marquand (1985)
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Re: A Double Tranchant(1985)-Richard Marquand
C'est clair que 30 ans après sa sortie, on sent le truc venir...
Mais quel plaisir!
Thriller/film de procès (un de mes sous-genres préférés) , à Double Tranchant est joliment rythmée (pas regardé le compteur une seule fois) et prouve que Richard episode VI Marquand a sa part de responsabilité dans le succès du Retour du Jedi.
Vu sur le DVD zone 2... J'aurais adoré découvrir ça en salles.
Mais quel plaisir!

Thriller/film de procès (un de mes sous-genres préférés) , à Double Tranchant est joliment rythmée (pas regardé le compteur une seule fois) et prouve que Richard episode VI Marquand a sa part de responsabilité dans le succès du Retour du Jedi.
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Re: A Double Tranchant(1985)-Richard Marquand
C'était un réalisateur bien sympathique à défaut d'être vraiment marquant ce Richard!
J'aime bien son "Psychose Phase 3" et "l'arme à l'oeil", bon souvenir également de ce "à double tranchant" aux relents giallo et quelques belles scènes de son "Retour du Jedi" qui enfoncent les "Star wars" qui suivront...j'aimerais bien voir son "French lover" avec Thierry Lhermitte et Karen Allen!
J'aime bien son "Psychose Phase 3" et "l'arme à l'oeil", bon souvenir également de ce "à double tranchant" aux relents giallo et quelques belles scènes de son "Retour du Jedi" qui enfoncent les "Star wars" qui suivront...j'aimerais bien voir son "French lover" avec Thierry Lhermitte et Karen Allen!
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Re: Jagged Edge (VF :A double tranchant) - Richard Marquand (1985)
Revu dans une très belle copie HD, très précise, je suis assez étonné pour une BD assez agé au bout du compte...
Je n'avais aucun souvenir du film (ce qui n'est jamais un bon signe en ce qui me concerne, preuve du cote passe-partout du film à mes yeux).
C'est du pré-Basic Instinct, clairement. un peu de titillemen érotique 'je te montre un sein, je t'attache, je te lacère et joujou entre les deux personnages principaux. Le reste est assez conventionnel, jusqu'à la révélation finale, entre Giallo et Scooby-Doo. Dommage que les dernières 12 minutes du film veulent impérativement faire leur effet-Carrie. comme si le final avait été raccroché"é au wagon après le fondu au noir du post-procès.
La romance entre Close et Bridges n'est pas crédible un seul instant. comment croire qu'un tyoe affecté par la mort brutale de sa femme puisse tomber immédiatement dans les bras de son avocate (qui craque aussitôt). Non, pas possible de croire à une bascule scénaristique aussi grossière.
C'est plut^ot le cheminement de l'enquête, (bravo Robert Loggia, formidable!) qui est intéressant, faisant balancer adroitement le pendule du coupable/ pas coupable jusqu'au suspense final. Il y a deux ou trois scènes bien tendues. c'est élégamment filmé. En même temps, cela représente ce qu'Hollywood faisait de mieux en qualité de suspense dans les années 80 - et qui se trouvera quelque peu copié outre mesure par la suite genre Final Analysis, ou même Malice.
Marquand soigne son cadre, dès le début, accompagné d'une musique étrangement calme et posée de John Barry, même pour les scènes de suspense. Classieux, ceci posé.
Je ne me suis pas vraiment ennuyé à cette vision d'un cinéma bourré de permanente discostar et de vestes à épaulettes
. je plaisante, mais c'est du cinéma honnête, à la mécanique de suspense adroite, même si évidente - on prend plus de plaisir à suivre le chemin qu'emprunte Marquand plutôt qu'au but de la randonnée.
Je n'avais aucun souvenir du film (ce qui n'est jamais un bon signe en ce qui me concerne, preuve du cote passe-partout du film à mes yeux).
C'est du pré-Basic Instinct, clairement. un peu de titillemen érotique 'je te montre un sein, je t'attache, je te lacère et joujou entre les deux personnages principaux. Le reste est assez conventionnel, jusqu'à la révélation finale, entre Giallo et Scooby-Doo. Dommage que les dernières 12 minutes du film veulent impérativement faire leur effet-Carrie. comme si le final avait été raccroché"é au wagon après le fondu au noir du post-procès.
La romance entre Close et Bridges n'est pas crédible un seul instant. comment croire qu'un tyoe affecté par la mort brutale de sa femme puisse tomber immédiatement dans les bras de son avocate (qui craque aussitôt). Non, pas possible de croire à une bascule scénaristique aussi grossière.
C'est plut^ot le cheminement de l'enquête, (bravo Robert Loggia, formidable!) qui est intéressant, faisant balancer adroitement le pendule du coupable/ pas coupable jusqu'au suspense final. Il y a deux ou trois scènes bien tendues. c'est élégamment filmé. En même temps, cela représente ce qu'Hollywood faisait de mieux en qualité de suspense dans les années 80 - et qui se trouvera quelque peu copié outre mesure par la suite genre Final Analysis, ou même Malice.
Marquand soigne son cadre, dès le début, accompagné d'une musique étrangement calme et posée de John Barry, même pour les scènes de suspense. Classieux, ceci posé.
Je ne me suis pas vraiment ennuyé à cette vision d'un cinéma bourré de permanente discostar et de vestes à épaulettes

Oh really? Well then I'm sure you wouldn't mind giving us a detailed account of exactly how you concocted this miracle glue, would you ?