Doomsday - 2007 - Neil Marshall
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Re: Doomsday - 2007 - Neil Marshall
Je rejoinds l'avis de Anthropophagous et Verhoeven. Le début est prometteur, Rhona Mitra charismatique et n'a pas peur de s'en prendre plein la gueule ou de se faire torturer. Toute le 1er tiers est réussi mais la partie moyen âge puis la conclusion à la mad max 2 m'ont énormément déçu pour les même raisons que cite anthopohagous.
Décevant après la réussite de the descent et beaucoup moins tendu que 28 semaines plus tard.
Décevant après la réussite de the descent et beaucoup moins tendu que 28 semaines plus tard.
Avis aux nouveaux forumers, il est parfaitement normal voir de santé publique d'envoyer chier manolito au moins une fois.
Re: Doomsday - 2007 - Neil Marshall
Ce qui voudrait dire que Universal s'oriente bien vers les disques Bluray Region Free...



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Re: Doomsday - 2007 - Neil Marshall
Enfin j'ai vu !! Trois chariots et deux brouettes après tous, dans des conditions idéales (le BR éditer dernièrement). Que dire ??? Si se n'est que j'ai pris un pied monstrueux !!! Bon c'est clair le Neil Marshall a rien inventé, ce sous-New York 1997 mixé avec un Mad Max 2 (dsl pour les référence rital, mais les Guerriers de l'Apocalypse ou bien les 2019 Après la Chute de N-Y, j'ai plus aucun souvenir
) est d'une fureur jouissif, pour une petit série B de 30 millions on jurerais que l'enveloppe était 3 fois plus épaisse.
Un spectacle divertissant complètement barré, et un humour Enorme (surtout sur la fin). Neil Marshall cite grossièrement ces références peut-être, mais avant tout se fait plaisir et surtout en donne pour son argent au spectateur, de la pure folie. Bon dsl j'y retourne
Pas un faut pas pour Marshall, juste une petit récré


Un spectacle divertissant complètement barré, et un humour Enorme (surtout sur la fin). Neil Marshall cite grossièrement ces références peut-être, mais avant tout se fait plaisir et surtout en donne pour son argent au spectateur, de la pure folie. Bon dsl j'y retourne

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Snake Plisken Escape from NY

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Re: Doomsday - 2007 - Neil Marshall
Je n'ai pas trouvé ça si mal que ça ; bon, ça ne reste qu'un fanfilm sans problème de budget, mais à part la partie au moyen-âge qui n'a rien à faire là, c'est moins indigeste que les compilations de références faites par d'autres.
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Re: Doomsday - 2007 - Neil Marshall
Pour faire face a une epidemie fatale commence en Ecosse, la Grande-Bretagne a isolee celle-ci derriere un gigantesque mur et laisse les malades a leur sort. Une vingtaine d’annee plus tard, la maladie ressurgit en Angleterre, alors que des survivants sont decouverts en Ecosse. Une mission-suicide est donc envoye derriere le mur pour recuperer un eventuel anti-dote.
New York 1997, LA 2013, Zombie, Mad Max 2, Virus, 28 Days, il n’y a aucun doute, Neil Marshall aime le cinema de genre et connait ses classiques. Il n’hesite donc pas a copiee les codes de ces derniers pour les incruster dans ses propres recits.
Contrairement a d’autres, il ne cache pas ses influences et les proclame a voix haute en appellant deux de ses personages des noms des realisateurs qui fourniront la matiere premiere au film.
Comme dans ses precedents realisations, Marshall ne cherche pas a realiser du “grand” cinema, mais du “bon cinema de genre”. Ambition, que son talent en constante evolution pourrait bien lui permettre d’achever. La veritable question, est de savoir, s’il saura resister aux sirenes hollywoodienne et se concentrer sur ses tres bon demarquages 100% britanniques.
Avec sa troisieme realisation, Marshall affine son sens du detail et met a profit son budget pour raconter son histoire haute en couleur. Comme a son habitude, les clins d’oeils fusent, et le spectateur, (si) complice ne peut qu’apprecier.
Divise en deux parties, l’une concentree sur le chaos urbains et l’autre sur le monde en reconstruction medievale, l’action “fun” se situera dans le premier, tandis que la retenue l’emportera dans le deuxieme. Meme Malcolm McDowell joue en retenue, une rarete!
Le film, sans etre parfait, est assez “bad-ass” pour satisfaire amplement et le soundtrack (judicieux mélange de brit-pop des annees 80) acheve de susciter l’attachement a ce qui est sans doute une petit pause destressante dans la carriere de Marshall.
A voir, pour le “fun” remis dans le mot “funtastique”.
Doomsday: 4.25 / 5
New York 1997, LA 2013, Zombie, Mad Max 2, Virus, 28 Days, il n’y a aucun doute, Neil Marshall aime le cinema de genre et connait ses classiques. Il n’hesite donc pas a copiee les codes de ces derniers pour les incruster dans ses propres recits.
Contrairement a d’autres, il ne cache pas ses influences et les proclame a voix haute en appellant deux de ses personages des noms des realisateurs qui fourniront la matiere premiere au film.
Comme dans ses precedents realisations, Marshall ne cherche pas a realiser du “grand” cinema, mais du “bon cinema de genre”. Ambition, que son talent en constante evolution pourrait bien lui permettre d’achever. La veritable question, est de savoir, s’il saura resister aux sirenes hollywoodienne et se concentrer sur ses tres bon demarquages 100% britanniques.
Avec sa troisieme realisation, Marshall affine son sens du detail et met a profit son budget pour raconter son histoire haute en couleur. Comme a son habitude, les clins d’oeils fusent, et le spectateur, (si) complice ne peut qu’apprecier.
Divise en deux parties, l’une concentree sur le chaos urbains et l’autre sur le monde en reconstruction medievale, l’action “fun” se situera dans le premier, tandis que la retenue l’emportera dans le deuxieme. Meme Malcolm McDowell joue en retenue, une rarete!
Le film, sans etre parfait, est assez “bad-ass” pour satisfaire amplement et le soundtrack (judicieux mélange de brit-pop des annees 80) acheve de susciter l’attachement a ce qui est sans doute une petit pause destressante dans la carriere de Marshall.
A voir, pour le “fun” remis dans le mot “funtastique”.
Doomsday: 4.25 / 5
En direct du Japon. Bonsoir. A vous, Cognac-Jay.
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Re: Doomsday - 2007 - Neil Marshall
Très inattendu : j'ai trouvé ce film insupportable de connerie.
Oui Rhona est mignonne, oui j'aime Carpenter et Miller (pas besoin de donner leur nom à des seconds rôles), oui j'aime les genres brassés dans le film....
Mais il y a un gros mais : j'aime suivre une histoire et là c'est pas possible tellement c'est débile.
Un exemple me semble suffisant.
Les héros sont bloqués par un troupeau de vache (rigolo le clin d'oeil). Quelques minutes après, les héros sont au milieu d'une ville où des cannibales qui, affamés et faute de mieux, se partagent comme un repas 1 seul homme pour 100 cannibeaux. Et les vaches alors ? ils peuvent pas les bouffer ? trop fainénants les cannibeaux ? pfff
Cet exemple est représentatif. Je pense que Marshall s'est dit que les amateurs de post-apo comme nous achèteraient son film (pas de concurrence) et donc il ne s'est pas fait chier à le peaufiner, et encore moins à l'écrire. En tout cas, c'est ce que j'ai ressenti : du bâclage à 100%. Du Castellari en toute petite forme.
Oui Rhona est mignonne, oui j'aime Carpenter et Miller (pas besoin de donner leur nom à des seconds rôles), oui j'aime les genres brassés dans le film....
Mais il y a un gros mais : j'aime suivre une histoire et là c'est pas possible tellement c'est débile.
Un exemple me semble suffisant.
Les héros sont bloqués par un troupeau de vache (rigolo le clin d'oeil). Quelques minutes après, les héros sont au milieu d'une ville où des cannibales qui, affamés et faute de mieux, se partagent comme un repas 1 seul homme pour 100 cannibeaux. Et les vaches alors ? ils peuvent pas les bouffer ? trop fainénants les cannibeaux ? pfff
Cet exemple est représentatif. Je pense que Marshall s'est dit que les amateurs de post-apo comme nous achèteraient son film (pas de concurrence) et donc il ne s'est pas fait chier à le peaufiner, et encore moins à l'écrire. En tout cas, c'est ce que j'ai ressenti : du bâclage à 100%. Du Castellari en toute petite forme.
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Re: Doomsday - 2007 - Neil Marshall
Tu charie Haxandreyer tous le monde cet que la viande de vache est contaminé : encéphalopathie spongiforme bovinehaxandreyer a écrit :Un exemple me semble suffisant.
Les héros sont bloqués par un troupeau de vache (rigolo le clin d'oeil). Quelques minutes après, les héros sont au milieu d'une ville où des cannibales qui, affamés et faute de mieux, se partagent comme un repas 1 seul homme pour 100 cannibeaux. Et les vaches alors ? ils peuvent pas les bouffer ? trop fainénants les cannibeaux ? pfff



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Re: Doomsday - 2007 - Neil Marshall
Mmmmmmmm ! Je crois que ça faisait longtemps que je ne m’étais pas régalé comme ça au ciné ! "Doomsday" est le nouveau film du génial Neil Marshall qui nous a déjà pondu "Dog Soldier et "the Descent". Car contre toute rumeurs et autres avis étriqués, le nouveau film de Neil Marshall est une merveille. C’est pour moi l’un des plus beau hommage au cinéma des années 80. Trash, désopilant, gore, outrancier, grossier, pour moi il manque des superlatifs. Déjà Marshall nous offre un véritable medley de tout ce qui se faisait dans le genre à cette époque et recycle avec un brio incroyable, la trilogie ‘’Escape from NY et LA ‘’, ‘’Mad max’’, les bis ritals comme ‘’2019 après la chute de NY’’, ‘’Guerriers du Bronx 1 & 2’’ et même les sous ‘’Conan’’ qui pullulaient à foison dans nos vidéo clubs. Il y a véritablement de grands moments d’action, entremêlés d’un humour noir et de bonnes explosions corporelles. Il faut le dire ‘’Doomsday’’ reprend tout de même largement la trame de ‘’Escape from NY’’ mais ce n’est rien car au final on est devant l’une des plus belles zederie auquel on ai pu assister, sauf que cette zederie vaut 20 millions de Dollars. Une zèderie bien scénarisée, bien réalisée et bien jouée, car même si les acteurs en particulier les méchants cabotinent tous à mort et qui au passage sont géniaux. En tout cas une chose est certaine on voit les scènes se succéder avec les yeux comme des soucoupes tant elles sont à la foi prévisibles quand on a de la référence et hallucinament (mot inventé) bien faite. On est sur notre siège à se dire non ça ne va pas être ça et pis si, mais en même temps c’est trop cool. Neil Marshall se permet même de parodier les grosses machines actuelles comme ‘’Fast N Furious’’ (qu’il ne semble pas aimer du tout et il a raison) ou ‘’le Seigneur des anneaux’’ naturellement des éclats de rire s’en suivent à la vue de ces clins d’oeils frisant un ridicule plus qu’assumé de la part d’un réalisateur qui à l’instar d’un Tarantino est lui aussi un véritable bouffeur de film et un grand geek devant l’éternel. En tout cas Marshall nous offre un film riche et plein de tout ce que j’aime, des punks, des cannibales, des machines motorisés, des chevaliers (si si !), du gore et de la musique des années 80. Car côté bande son aussi c’est térrible. Car Tyler Bates signe une BO très Carpenteriènne mais aussi aux accent Fulciesque. Sans parler des tubes eighties qui foisonnent lors des scènes montrant les punks remuants et éructant binouse à la main sur des morceaux de ‘’Siouxie and the Banshees’’ ou ‘’Frankie goes to Hollywood’’. Côté casting c’est pour moi un sans fautes, car non seulement Marshall offre un vrai bon rôle d’héroïne à l’une de mes actrices favorites Rona Mitra qui est ici excellente en petite sœur de Snake Plissken qui a l’œil sur tout. Bob Hoskins en mentor bourru, Malcolm Mc Dowell en gros vilain médiavalisé, et une surprise en la personne de Craig Conway génial en chef punkoide complètement barré. Puis retour bréf de Sean Pertwee aussi gros habitué à l’univers de Marshall. En tout cas les amateurs de bis, et de bon gros post nuke films des années 80 seront aux anges, surtout si ils savent un minimum apprécier le second degrés car ce film n’est absolument pas sérieux et surtout pas à prendre au premier degrés. Car il est malheureusement fort incompris par les fans du réalisateur et par un grand nombre des spectateurs qui ne suivent pas du tout Marshall dans son délire assumé et pour moi génialissime. D’ailleurs ce film est d’un coup entrée dans mes films culte aux côtés de ‘’Dog Soldiers’’et reste avec ‘’Planet Terror’’ l’une des plus belles surprises de l’année. En tout cas moi j’ai grave trippé ! Cultissime d'office...
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Re: Doomsday - 2007 - Neil Marshall
Découvert hier en Blu-Ray. A force de des avis négatifs allant de "c'est pas terrible" à "c'est une purge", je dois dire que j'attendais rien. Surprise donc puisque je me retrouve face à gros film aux allures de série B sympa, nourri d'influences diverses et variées allant de NY97 à Mad Max 2 en passant par Absolum 2022. Bref, je suis dans mon monde et même si ça pisse pas super loin et que ça ressemble par instants à du patchwork, j'ai assez apprécié. Le passage "médiéval" est à mon sens le plus faible mais qu'importe, il contient tout de même de bonnes choses. Le film est par ailleurs gorgé d'effets gores ludiques (le BR est uncut), les maquillages à mon sens sympas car très Bis, Mitra s'en sort très bien, la fin est très dans l'esprit Carpenter... Bref, j'ai bien aimé. On n'a pas là un grand film, c'est clair. Mais vu que j'attendais pas un grand film, je suis pas déçu, bien au contraire.
Le BluRay est très beau même s'il se montre à mon sens surtout utile sur les plans larges. A ces moments là, la définition accrue donne tout ce qu'elle a et c'est parfait. Sur le plan sonore, c'est particulièrement bien spatialisé et comme il l'avait fait sur The Descent, Marshall s'amuse et place son spectateur au coeur de l'action. Bon disque.
Le BluRay est très beau même s'il se montre à mon sens surtout utile sur les plans larges. A ces moments là, la définition accrue donne tout ce qu'elle a et c'est parfait. Sur le plan sonore, c'est particulièrement bien spatialisé et comme il l'avait fait sur The Descent, Marshall s'amuse et place son spectateur au coeur de l'action. Bon disque.
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Re: Doomsday - 2007 - Neil Marshall
Ouai... ont va dire ça comme çaMadXav a écrit :la fin est très dans l'esprit Carpenter...


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Re: Doomsday - 2007 - Neil Marshall
J'ai pas spécialement parlé de "Escape from" (Plus qu'à celle Escape From, cette fin fait penser à celle de NY97) et j'ai pas dit qu'elle était aussi bien. Reste qu'elle est parfaitement dans l'esprit de ce à quoi nous a habitué Carpenter. L'héroïne décide de s'allier aux "méchants" pour renverser les "bons", elle favorise l'anarchie à une démocratie fantoche, elle use des média pour réduire à néant la quête de pouvoir du "président". Pour moi, on est en plein dedans...comte vonkrolock a écrit :Ouai... ont va dire ça comme çaMadXav a écrit :la fin est très dans l'esprit Carpenter...même si c'est a 100 lieux des deux "Escape from..." ou clairement là c'est l'apocalypse
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Re: Doomsday - 2007 - Neil Marshall

Ouai Madxav si tu veutMadXav a écrit :J'ai pas spécialement parlé de "Escape from" (Plus qu'à celle Escape From, cette fin fait penser à celle de NY97) et j'ai pas dit qu'elle était aussi bien. Reste qu'elle est parfaitement dans l'esprit de ce à quoi nous a habitué Carpenter. L'héroïne décide de s'allier aux "méchants" pour renverser les "bons", elle favorise l'anarchie à une démocratie fantoche, elle use des média pour réduire à néant la quête de pouvoir du "président". Pour moi, on est en plein dedans...comte vonkrolock a écrit :Ouai... ont va dire ça comme çaMadXav a écrit :la fin est très dans l'esprit Carpenter...même si c'est a 100 lieux des deux "Escape from..." ou clairement là c'est l'apocalypse


Mais j'avoue qui a de l'idée dans le film a Neil Marshall, même si pour moi les personnages sont différents des personnages de Carpenter, sa s'en rapproche, sa en a presque le goût, ok mais c'est du Canada Dry quand même

Mais bon je vais pas non pourri se tread la dessus pour un film que moi aussi j'ai énormément apprécier, et juste dire que tu a RAISON c'est du p.... de bon spectacle qui éclat bien l'écran tous ces corps qui explose dans des carcasse de bagnoles, ou qui se font tout simplement rouler dessus



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Re: Doomsday - 2007 - Neil Marshall
Pas revu depuis un bail et j'avais envi de savoir si le BR de chez M6 fonctionnais encore. Il fait parti de la liste des BR fabriqué par l'usine QOL, j'ai du avoir une des première mouture qui a du être fabriquer avec une résine encore pas contaminé.
Pour en revenir au film de Neil Marshall, je trouve que cette variation du NY 1997 et de tout un pan du cinéma postapo des années 80 fonctionne encore très bien aujourd'hui. S'est toujours autant jouissif de voir un body count aussi élever. Certes ce film à ces défauts avec cette façon de mettre en scène qu'a Neil Marshall en abusent dans ces scènes d'actions (du moins au début) de champ contre champ, d'un considérable nombre de plan qui s'enchaine que parfois sa en donne un peut mal au crane
En contrepartie sa charcute quand même pas mal
Voir à se titre l'attaque des deux blindés un véritable hommage au Aliens de Cameron lorsque les sauvages de ce bout d’Écosse derrière se mur, tombent sur l'équipe de Rhona Mitra.
Au final le film me parait même meilleurs qu'il n'y a quelques années, j'adhérais pas trop à cette deuxième partie médiéval et au final s'est plutôt logique une société qui fini par régressé, du coup elle se rattache à faire revivre d'ancienne tradition. Quelques places fortes qui serait remis au goût du jour. D'ailleurs ce métrage de Neil Marshall est peut celui qui va lancer en Grande Bretagne la mode d'un genre qui avait presque totalement disparu de leurs productions cinématographique. Et qui fera un beau retour, Le Sang des Templiers, Black Death, ont peut même considérer que Games of Thrones lui doit un peut aussi. Une seconde partie auquel j’adhère bien plus au vu de se dernier visionnage.
Ce doomsday à un autre défaut mais qui est aussi une de ces qualités, il tangue souvent du coté de la comédie bien grasse. Alors que son son début est bien noir, apocalyptique avec cette histoire de virus, par la suite ont y retrouve beaucoup de se Marshall arrivait a amener peut-être de manière plus subtile dans ces films précédent. Il y a beaucoup beaucoup des précédents acteurs en second rôle avec qui il a tourné particulièrement de son Dog Soldier ou l'un d'eux est le poilant Sol une sorte de punk totalement allumé hérité directement de ceux de NY 1997.
Interpréter par Craig Conway et qui dans la dernier partie nous fait un grand numéro à la fois drôle à la fois un clin d'oeil au Mad Max 2 de Miller et échapper d'un Looney Toons
une boucherie qui ajoute une bonne dose de légèreté au spectacle.
Du coup j'ai plus apprécier encore cette fois ci le coté Carpenterien qu'avait bien pointé MadXav, avec cette fin qui montre que le personnage de Sinclair a changé de camp et compte cette fois ci se rangé définitivement du coté des sauvages. J'en était rester juste au référence de certains personnages qui portait le nom de Big John
Ont pourrait presque en faire une nouvelle suite ou Rhona serait donc une très bonne méchante, faut juste trouvé un nouveau Snake à la hauteur pour lui tenir tête.

Pour en revenir au film de Neil Marshall, je trouve que cette variation du NY 1997 et de tout un pan du cinéma postapo des années 80 fonctionne encore très bien aujourd'hui. S'est toujours autant jouissif de voir un body count aussi élever. Certes ce film à ces défauts avec cette façon de mettre en scène qu'a Neil Marshall en abusent dans ces scènes d'actions (du moins au début) de champ contre champ, d'un considérable nombre de plan qui s'enchaine que parfois sa en donne un peut mal au crane


Au final le film me parait même meilleurs qu'il n'y a quelques années, j'adhérais pas trop à cette deuxième partie médiéval et au final s'est plutôt logique une société qui fini par régressé, du coup elle se rattache à faire revivre d'ancienne tradition. Quelques places fortes qui serait remis au goût du jour. D'ailleurs ce métrage de Neil Marshall est peut celui qui va lancer en Grande Bretagne la mode d'un genre qui avait presque totalement disparu de leurs productions cinématographique. Et qui fera un beau retour, Le Sang des Templiers, Black Death, ont peut même considérer que Games of Thrones lui doit un peut aussi. Une seconde partie auquel j’adhère bien plus au vu de se dernier visionnage.
Ce doomsday à un autre défaut mais qui est aussi une de ces qualités, il tangue souvent du coté de la comédie bien grasse. Alors que son son début est bien noir, apocalyptique avec cette histoire de virus, par la suite ont y retrouve beaucoup de se Marshall arrivait a amener peut-être de manière plus subtile dans ces films précédent. Il y a beaucoup beaucoup des précédents acteurs en second rôle avec qui il a tourné particulièrement de son Dog Soldier ou l'un d'eux est le poilant Sol une sorte de punk totalement allumé hérité directement de ceux de NY 1997.
Interpréter par Craig Conway et qui dans la dernier partie nous fait un grand numéro à la fois drôle à la fois un clin d'oeil au Mad Max 2 de Miller et échapper d'un Looney Toons

Du coup j'ai plus apprécier encore cette fois ci le coté Carpenterien qu'avait bien pointé MadXav, avec cette fin qui montre que le personnage de Sinclair a changé de camp et compte cette fois ci se rangé définitivement du coté des sauvages. J'en était rester juste au référence de certains personnages qui portait le nom de Big John

Ont pourrait presque en faire une nouvelle suite ou Rhona serait donc une très bonne méchante, faut juste trouvé un nouveau Snake à la hauteur pour lui tenir tête.

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