Je dois avouer que, a part, The Man who fell to Earth et Don't look Now, je ne connais pas vraiment la carriere de Roeg, et dois ajouter qu'il peut me laisser passablement perplexe (TMwftE

), mais me laisse aussi souvent une impression de malaise diffuse (pas desagreable--enfin, on se comprend, on est sur Devildead, hein).
Un cineaste/auteur sur lequel je devrais me (re-)pencher.
We'll meet again, Mr. Roeg.

En direct du Japon. Bonsoir. A vous, Cognac-Jay.