Top/Flop 2018: bilan cinéma et direct to video

[dario carpenter]

Quels sont vos enthousiasmes, déceptions et colères cinématographiques de l'année 2018?

[comte vonkrolock]

Adoré la forme de l'eau dernièrement, mais j'ai peut de souvenir en salle car j'ai vu peut de film pratiquement aucun en dehors de quelques actionners

La série Lastman tiens ! Mortel et je crois bien que s'est de cette année... ou pas et puis s'est pas dédier au salle obscure dommage car s'est très très bon

The Devil's Candy malheureusement découvert aussi en BR.

Ouf, j'en tiens un s'est sûr cette fois j'ai apprécier The Predator, mais il ne peut définitivement pas concourir dans un TOP pour 2018, le summum finalement s'est sans conteste le HIT de cette année, j'ai nommé Ryan Reynolds avec son Deadpool 2



que se soit dans sa version cinéma que j'ai vu en salle ou bien plus longue en DVD/BR une belle tuerie avec un Josh Brolin au top s'était son année 2018 avec Sicarrio 2 et Avengers Infinity

J'ai surtout vu que du fond de catalogue d'avant 2000, beaucoup, beaucoup de choses, concernant les séléctions les plus récentes s'était encore une fois encore plus pénibles que les années précédents il suffit rien que de ce voir ce coffret

pour mesurer le niveau de bêtise ou d'indifférence d'un cinéma qui se regarde le nombril depuis pas mal d'année. Le Mademoiselle même si dispensable peut-être sauver

Le regret du film de Guillermo que j'ai eu le tord de loupé, et découvert au final en BR

[dario carpenter]

Enthousiasmes, du bon film au divertissement juste sympatoche... :


"Les bonnes manières"
"Les chatouilles"
"Jersey affair"
"Lady bird"
"Sur la plage de Chesil"
"A fuller life"
"Moi Tonya"
"Frères ennemis"
"Roulez jeunesse"
"Fleuve noir"
"Sparring"
"Au poste"
"La forme de l'eau"
"L'homme qui tua Don Quichotte"
"Cold war"
"un amour impossible"
"Désobéissance"

"the strangers 2018"
"the rider"
"otages à Entebbe"
"sans un bruit"
"hérédité"
"à la dérive"
"l'ombre d'Emily"
"l'espion qui m'a larguée"
"in the fade"

Déceptions plus ou moins douloureuses :

"3 billboards"
"Paranoïa"
"En liberté!"
"Kursk"
"L'ile aux chiens"
"Sicario 2018"

Les cancres! :

"les garçons sauvages"
"ant-man 2018"
"mission impossible 2018"
"insidious 2018"
"action ou vérité"
"le jeu"
"la nonne"
"death wish 2018"
"star wars 2018 en solo"
"Un couteau dans le coeur"
"peppermint"
"red sparrow"
"halloween 2018"
"suspiria 2018"

[Lord Taki]

Upgrade => du bon cyberpunk, de l'action et du pessimisme
Héridité
Burn Out => j'adore les Ducati
Climax => du vrai cinéma

[comte vonkrolock]

"insidious 2018"

Insidious The Last Key
Je l'avais complétement oublié celui-là alors que j'avais beaucoup apprécier en BR un de plus,

Upgrade => du bon cyberpunk, de l'action et du pessimisme

Et si ont ajoute MI-Fallout decouvert hier sa fait 8 films sa remonte la cote des spectacles correcte sortie en 2018

Il y aussi le film de John Krasinski A Quiet Place, pas mauvais mais bien en dessous d'un Upgrade par exemple et que je n'ajouterais non plus dans ce TOP 2018.

[comte vonkrolock]

Up + 1 Aquaman qui se hisse allez à égalité sans mal avec le Deadpool 2 pour cette fin d'année 2018

[farlane]

Voici les films qui ont particulièrement attiré mon attention cette année.
- Ne figure pas dans cette liste, les films que j’ai appréciés pour des raisons trop personnelles -
Attention, en me relisant, j'y ai vu quelques petits spoilers (J'ai caché les plus problématiques...)

Pour les films exploités dans nos salles :

Mission: Impossible – Fallout
Avec ce 2nd épisode signé Christopher McQuarries, la saga trouve certainement son opus le plus intense en terme d'action. Le scénario est solide, sans être toutefois exceptionnel, mais son exécution est brillantissime et déploie un nombre impressionnant de morceaux de bravoure. En terme d'action, on nous a rien proposé de mieux cette année.

Avengers: Infinity War
Malgré quelques touches humoristiques parfois ratées et des personnages curieusement sous-exploités (notamment Hulk et Captain America), Marvel propose peut-être ici le meilleur film du MCU. Un condensé d'action, d'émotions et de moments purement dramatiques d'où émerge un méchant terriblement charismatique. La conclusion prend, par ailleurs, une dimension nihiliste qui relève quasiment du jamais-vu dans l'univers des blockbusters.

Le cercle littéraire de Guernesey
Tiré de l'œuvre littéraire du même nom, ce film dresse le portrait assez touchant d'une petite communauté anglaise qui tente d'oublier les affres de la guerre. Au sein d'une intrigue tournant autour d'une disparition mystérieuse, le film élabore une romance tout aussi émouvante et qui évite tout élan mélodramatique. Lily James a beau être une actrice peu profonde, sa candeur et sa beauté naturelle contribuent au capital sympathie d'une œuvre aussi modeste que bienveillante.

Ready player one
L'enchainement de références et de clins d'œil à la culture pop est savoureux et le scénario semble avoir bien appréhendé les enjeux de la réalité virtuelle. En revanche, avec son casting de d'jeuns pré-pubères, on a parfois la désagréable impression de se retrouver dans un Spy kids de luxe.

L’ombre d'Emily
Portée par l'interprétation fougueuse de l'étonnante Anna Kendrick, "L'ombre d'Emily" est une comédie pétillante, provocatrice et délicieusement subversive. Les très bons dialogues et des situations toujours plus rocambolesque participent par ailleurs à la réussite de cet excellent divertissement qui se retrouve seulement altéré par une conclusion un peu boiteuse.

Hérédité
Ambiance pesante, musique angoissante, réalisation ample et scènes choc distillées avec parcimonie, depuis "It follows" on n'avait pas vu film d'horreur aussi magnétique. Un quasi sans faute sur 1h45, mais qui prend une tournure beaucoup plus classique dans sa dernière partie avec un dénouement qui manque en outre d'originalité.

Under the silver lake
Le réalisateur de "It follows" revient nous surprendre avec un film intriguant et qui ne ressemble à aucun autre. On suit l'enquête d'un Andrew Garfield en mode nerd et ahuri (plutôt convainquant) pour retrouver la trace d'une jeune femme énigmatique. Les pérégrinations du héros dans un monde très superficiel sont baignées de mystère et on se laisse aisément happer par l'ambiance.

Spoiler : :

On y découvre un univers qui donne une adhérence aux théories complotistes façon Illuminati avec ses symboles, ses codes cachés et ses légendes urbaines.

Malgré 2h20 au compteur, cet « ofni » se suit donc sans ennui et surtout sans déplaisir.

Jersey Affair
En matière de thriller psychologique, le film démontre un vrai savoir-faire en terme de tension et fait preuve d'intelligence. En effet, porté par des comédiens remarquables, cette rencontre entre 2 personnages issus de milieux différents abouti sur une œuvre subtile et qui n'est pas dénué d'une certaine réflexion.

Assassination nation
Un film qui aborde brillamment un certain nombre de thèmes de société sans jamais se prendre au sérieux. En effet, le récit n'hésite pas à composer avec du 1er, du 2nd et même du 3ème degré pour exploiter un pitch plein d'audace et qui va jusqu'à bifurquer vers le cinéma de genre en dernière ligne droite. C'est à la fois insolent, fougueux et même parfois incroyablement culotté. Une véritable bombe qui ne se réduit pas uniquement à son message féministe mais va beaucoup plus loin dans la critique de la société.

En guerre
Conçu comme un docu-fiction, le film revient sur les luttes antagonistes qui s’opèrent entre le monde ouvrier et les grosses sociétés du capital. Ce qui impressionne dès le départ, c’est la caractère authentique des protagonistes et des situations qui sont décrites. C’est véritablement bluffant et on ne peut qu’être interpellé par la radicalité d’une œuvre qui offre, en outre, pas mal de sujets de réflexion et de discussion.

Spoiler : :

En revanche, le caractère très nihiliste de l’acte final parait un peu excessif et donne une perception assez simpliste du personnage incarné (avec beaucoup de justesse) par Vincent Lindon.

Place publique
Dans un cadre plutôt agréable, le duo Jaoui - Bacri prouve, malgré le temps qui passe, qu'il n'a aucunement perdu de sa verve. En effet, les dialogues sont succulents et les mises en situations, quand elles ne sont pas amusantes, sont hilarantes. Le film évoque, par ailleurs, avec beaucoup de pertinence, la perception du vieillissement dans une époque où règne l'omnipotence du jeunisme

Sans un bruit
Une idée originale dans un contexte de post-apo qui l'est beaucoup moins. Cela dit, l'adage fonctionne plutôt bien, grâce notamment à l'interprétation des acteurs et à un espace sonore qui a été manifestement très travaillé. Dommage pour cette fin un peu expéditive et qui annonce grossièrement une suite.

Le Labyrinthe: Le remède mortel
Après un 2nd opus plutôt moyen, cette suite retrouve un peu le cap grâce à des scènes d'action enlevées et des personnages qui ont gagné en maturité. Par ailleurs, l'acteur Dylan O'Brien démontre de vrais qualités d'interprétation.

Mauvaises herbes
Malgré des allures de comédie banlieusarde, le film trouve de justesse l'équilibre entre scènes difficiles (les scènes de flashback vont même parfois un peu loin dans le sordide) et d'autres beaucoup plus joyeuses. Alors on sent que le film est avant tout un divertissement et qu'il n'est donc pas question d'aborder la question de l'exclusion scolaire avec gravité. Mais pour son côté bienveillant et ses lignes de dialogues toujours bien amenées, "Mauvaises herbes" se révèle un moment de récréation tout à fait appréciable

The Greatest showman
L'implication de Hugh Jackman ne fait aucun doute et le spectacle à l'écran est parfois extrêmement stimulant. Par contre, on peut lui reprocher un aspect un peu trop lisse et artificiel, si bien que le film ne laisse pas forcément un souvenir impérissable.

Searching: Portée disparue
L'intrigue de ce thriller high-tech est presque entièrement monté à partir de l’interface d’un ordinateur. Un concept certes un peu "gadget" mais qui, avec une bonne dose de savoir faire, parvient non seulement à distiller un bon suspense mais aussi à susciter de l'émotion sur certains passages. Le procédé n'a biensûr pas grand chose à voir avec le cinéma dit "ordinaire", mais pour son indéniable efficicacité, l'objet s'avère tout à fait recommandable.

Pour les films exploités en DTV ou disponible en VOD :
Section 99 (DTV)
C'est un film qui prend son temps, mais qui parvient à maintenir une belle intensité latente. Vince Vaughn offre une interprétation impressionnante.

Goodbye Christopher Robin (DTV)
Un très beau film sur l'enfant qui a inspiré le créateur de Winnie l'ourson.

Le rituel (VOD)
Cette production Netflix met en scène 4 trentenaires qui vont s’égarer dans une forêt mystérieuse (façon Blair Witch project). La tonalité est pour une fois mature et donne lieu à des réactions cohérentes face au danger qui menace. La réalisation est efficace et l’angoisse fonctionne du tonnerre sur certains passages. Les 20 dernières minutes sont, en revanche, un peu moins intéressantes, mais dans l’ensemble ce film n’en demeure pas moins une petite réussite dans le genre.

Bird Box (VOD)
En dépit d'un certain manque d'originalité (on est entre Phénomène de M. Night Shyamalan et Sans un bruit sorti cette année), le mode survival employé par le récit initial parvient à maintenir un bon suspense en revenant régulièrement sur les prémices de la catastrophe. Marqué par une certaine sobriété (

Spoiler : :

le film opte pour un huis-clos et ne dévoile jamais réellement la menace

), le film n'en demeure pas moins efficace et ose (pour une fois) donner raison au salaud de l'histoire (excellent Malkovich). Malgré de grosses erreurs de casting, Susanne Bier parvient toujours à mêler brillamment intensité dramatique et préoccupations humaines

Calibre (VOD)
Emotionnellement assez forte, cette production anglaise a le mérite de déjouer les codes du genre et de soigner l'aspect psychologique de ses personnages. En dépit d'un début un peu long (le récit bascule dans le mode survival qu'après 1h10 de film), le jeu solide des acteurs et la mise en scène carrée (appuyée par de superbes décors naturels) se laissent, par ailleurs, aisément apprécier.

Sur le chemin de la rédemption (DTV)
Par le biais d'une réalisation à la fois sobre et racée, le film élève à la fois un discours écologique puissant et dresse en filigrane un portrait particulièrement poignant d'un homme de foi. Intégralement imprégné par le rôle du révérend, Ethan Hawke se montre remarquable. Malheureusement, en se voulant trop audacieuse, la fin ne fait que bifurquer son sujet vers un tout autre terrain et se détourne (au gran dam du spectateur) du formidable propos que le réalisateur / scénariste Paul Schrader avait pourtant si bien échafaudé. Une grosse déception qui explique peut-être son exploitation réservée exclusivement à la vidéo

Cam (VOD)
Cette production Netflix propose de s'intéresser aux camgirls, un univers passionnant et qui est porté avec beaucoup de panache par l'actrice Madeline Brewer. L'histoire débute sur une idée assez folle (l'héroïne retrouve, du jour au lendemain, son compte occupé par un double virtuel) et revient sur un certain nombre de problématiques liés à ce type d'exposition. En dépit de quelques problèmes d'écriture, le film se révèle vraiment intéressant et soulève pas mal de questions autour du droit à l'image des individus. En revanche, le récit se termine sur un épilogue qui parait totalement en contradiction avec son propos et laisse fortement dubitatif.

Ghost stories (VOD)
Le récit est élaboré en 3 actes et prend donc la forme d'un film composé de sketches. On y découvre donc 3 histoires de fantôme totalement différentes et plutôt réussi en terme d'angoisse. En revanche, la conclusion offre un dénouement qui est loin d'être original et suscite un peu la déception face à la qualité des différents récits qui ont précédé.

The death of Superman (DTV)
La patte artistique du studio d'animation de DC est tout suite reconnaissable et en dehors de quelques passages en images de synthèse, le film se révèle d'une qualité quelconque. En revanche, cette nouvelle approche de la mort de Superman se révèle agréablement mature et offre des scènes de combat vraiment intenses (Doomsday est vraiment puissant). Au final, c'est donc plutôt une bonne surprise

The night come for us (VOD)
Des combats excessivement violents et gores viennent rythmés un scénario totalement prétexte et qui dénigre la psychologie de ses personnages. Du coup, quand la motivation des uns n'est pas expliqué, d'autres se voient octroyer un comportement qui n'est pas cohérent. C'est d'autant plus dommageable, qu'on a quand même affaire ici à l'un des films de castagne les plus jouissifs de ces dernières années

Et les films que je qualifierais de FLOP :
Pas question de citer les films les plus nuls ici (la liste serait bien trop longue ), en fait je désigne par Flop, les films qui ont à mes yeux, fait l’objet d’un plébiscite totalement disproportionné ou qui ont répondu complètement à côté de mes attentes.

La forme de l’eau
Visuellement le film est très beau, mais l'émotion qui devrait être au cœur du récit ne fonctionne pas. Par ailleurs, le scénario est bancal et les personnages sont creux.

The Passenger
On se demande comment un réalisateur aussi talentueux que Jaume Collet-Serra a pu aboutir à une telle mascarade ! Parce que en terme de scénario, d'effets spéciaux et de direction d'acteurs, c'est vraiment la catastrophe. Tellement mauvais que ça en deviendrait presque risible.

Black panther
En dépit d’un plébiscite plus ou moins justifié pour son caractère ethnique, Black panther fut pour moi la plus belle escroquerie de l’année.
Déjà, visiblement le réalisateur n'est pas rodé au film d'action, car le rythme est complètement à côté de la plaque. Ajouté à cela, des SFX médiocres, une musique calamiteuse, un scénario prévisible et des acteurs très moyens et l'on aboutit certainement à l'une des pires productions Marvel.

Ocean's 8
Flop ou simplement nul ? Mon coeur balance...
Manifestement influencée par le mouvement MeToo, la suite de la saga "Ocean" est donc menée prioritairement par des femmes. Le résultat à base de rebondissements ubuesques et totalement prévisibles est à peine divertissant. Quant au casting, en dehors d'une Anne Hathaway lumineuse et sexy en diable, on fait la grimace devant le jeu insipide des actrices outrageusement botoxées que sont Sandra Bullock et Cate Blanchett.

The Predator
Connu pour ses talents de dialoguiste, Shane Black prend les rennes de la mise en scène de ce Predator pour un résultat qui laisse perplexe. En effet, malgré quelques scènes sympathiques et des personnages attachants, le film donne rapidement l'impression d'être construit pour enfiler une suite de punchlines au détriment d'une certaine cohésion narrative (le personnage féminin est totalement oublié en cours de route). Les effets spéciaux sont parfois ratés (en particulier toutes les scènes où apparaissent les chiens prédator) et l'épilogue prend même une tournure ridicule. En terme de spectacle c'est satisfaisant, mais l'ensemble est définitivement trop bancal pour vraiment emporter l'adhésion.

Venom
Avec un personnage aussi emblématique, il est difficile de se montrer indulgent devant un film qui enchaine autant d’inepties. Déjà en terme de casting, les choix des 1ers et 2nds rôles sont complètement à la ramasse. Tom Hardy est ridicule et son alchimie avec le principal personnage féminin est inexistant. L'intrigue n'a pas grand intérêt et les effets spéciaux ont parfois quasiment 10 ans de retard (voir l'horrible combat final). En revanche, le film possède un certain rythme qui évite tout risque d'ennui et certaines scènes sont plutôt bien fichues (la course poursuite en moto). Mais quand même, en terme d'adaptation ratée de comics, pour ses maladresses et ses passages WTF, le film peut se ranger aisément du côté de Spawn.


Je précise qu'il me reste à découvrir ces quelques titres sur lesquels je fonde pas mal d'espoir: "A star is born", "The first man", "Spider-Man: New Generation", "Aquaman", "Bohemian Rhapsody"

[Manolito]

Merci à l'ami farlane pour ses avis argumentés sur l'année !

Mon bilan (avec quelques "gros" dtv qui s'y sont glissés)

9/10 excellent
8/10 très bon
7/10 bon
6/10 pas mal
5/10 moyen
4/10 mauvais
3/10 très mauvais

En gras mon top 5, que j'ordonnerai finalement comme tel :

1 Hérédité
2 Spider-man New Generation
3 La forme de l'eau
4 Sicilian Ghost Story
5 Overlord

Pentagon Papers 7 /10
Veronica 6/10
Fireworks 5/10
La Forme de l'Eau - the Shape of Water 8/10
Black Panther 5/10
Revenge 5/10
Jusqu'à la garde 6/10
Les Garçons Sauvages 6/10
Cro Man 6/10
Ready Player One 6/10
Tomb Raider 3/10
Ghostland 6/10
Hostiles 6/10
La Nuit a dévoré le Monde 6/10
Avengers : Infinity War 7/10
The Strangers Prey at Night 6/10
L'Île aux Chiens 7/10
Deadpool 2 7/10
Solo : A Star Wars Story 7/10
Rampage - hors de contrôle 5/10
Opération Beyrouth 6/10
Mutafukaz 7/10
En guerre 6/10
L'homme qui tua Don Quichotte 5/10
Jurassic World : Fallen Kingdom 7/10
Sicario La Guerre des Cartels 6/10
Sans un Bruit 6/10
Hérédité 9/10
Sicilian Ghost Story 8/10
JSA (Joint Security Area) 7/10
Les Indestructibles 2 5/10
Ant-Man et la Guêpe 7/10
American Nightmare 4 : les origines 3/10
Opéra 7/10
Laura nue 7/10
Spider-Man New Generation : 8/10
First Man : 6/10
Les indestructibles 2 : 5/10
Burning : 5/10 (bien généreux rétrospectivement !)
Les frères Sisters : 7/10
Cold War : 6/10
Détective Dee, la légende des rois célestes : 7/10
Miraï ma petite soeur : 7/10
Mission Impossible Fallout : 7/10
En liberté : 6/10
Une pluie sans fin : 6/10
Upgrade : 7/10
BlacKkKlansman : 5/10
The Guilty : 6/10
Overlord : 8/10
Golem le tueur de Londres : 5/10
Climax : 5/10
Mortal Engines : 6/10
High Life : 4/10
Assassination nation : 5/10
Halloween : 5/10
Suspiria : 5/10
Les animaux fantastiques, les crimes de Grindelwald : 6/10
Aquaman : 6/10
La nonne : 5/10
En eaux troubles - The Meg : 3/10
Venom : 5/10
Leatherface : 4/10
The Preadator : 3/10