Love, death + robots - Donen Fincher Miller (2019)
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Love, death + robots - Donen Fincher Miller (2019)
Vu les 6 premiers courts sur 18.
Pas forcément des histoires très originales. Mais sacré mise en forme via l'animation et quelle violence!
- MadXav
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Re: Love, death + robots - Donen Fincher Miller (2019)
Je suis sur le cul face à cette série.
Chaque épisode a son identité visuelle, son rythme, son histoire. On oscille entre le bon et le très très bon pour moi.
Le format court (15 mins) est parfait, suffisant pour brosser un univers et mettre en place un petite histoire.
On peut y voir une version courte et animée de la série BLACK MIRROR comme le dit la presse, ou plus surement un hommage à METAL HURLANT, avec un côté souvent trash, critique, metaphysique, et très adulte. Car non, ce n'est pas DU TOUT pour les gamins ! Donc épargnez vos têtes blondes !
Episode 1 : Sonnie's Edge.
Visuellement sublime, cet épisode met en scène des combats de Robots. Les personnages sont rapidement brossés et le combat dynamique, avec un final plutôt sympa. 4/5
Episode 2 : Three Robots.
Là encore, c'est très beau. L'épisode met en scène robots qui sont les uniques choses fonctionnelles d'un monde dévasté. Un regard sur le déclin des hommes, à la fois désabusé et très drôle, grâce à des dialogues particulièrement bien sentis ! 4/5
Episode 3 : The Witness.
Une esthétique sublime pour un épisode montrant une jeune femme se rendre dans un Strip Club pour y exercer son métier. Jusqu'à ce qu'un crime la fasse fuir à toutes jambes. Je suis sous le charme de cette animation sublime et de cette héroïne impudique mélant tatoo gothique et toison 70s ! 4,5/5
Episode 4 : Suits
Là nous sommes clairement dans le Starship Troopers avec une Colonies assiégée pour des créatures aux allures d'insectes. Aux commandes de robots géants, trois individus cherchent à repousser les monstres, et protéger leurs familles. Esthétique plus Cartoon mais pas forcément plus simple pour cet épisode dynamique et rythmé, même si les ambitions sont un cran en dessous. Très agréable. 3,5/5
Episode 5 : Sucker of Souls
Esthétique simpliste et brute au service d'une histoire évoquant un peu Alien, avec des Vampires ! Scientifiques et militaires explorent des galeries lorsqu'ils sont attaqués par une créature avide de sang... A mon sens inférieur aux autres épisodes, même si dynamique et très bidasse. 3/5
Episode 6 : When The Yogurt Took Over
Episode surréaliste dans lequel le Yaourt occupe la présidence du monde. Un épisode au design curieux, rappelant celui de TEMPETE DE BOULETTES GEANTES. On est ici dans le sarcasme, l'ironie et la critique de la société. Le discours ne va pas très loin cependant, même si le postulat chelou amuse. 3/5
Episode 7 : Beyond the Aquila Rift
Alors là attention, on a une tuerie. SF désabusée, cauchemars Lovecraftien, mise en scène simple, mais classe. Le grand luxe doté d'un visuel sidérant. Alors oui, le scénario est un peu convenu, mais c'est la claque. 4,5/5
Episode 8 : Good Hunting
Un épisode assez envoutant, visuellement proche d'un Mulan. On est dans la culture asiatique, avec un certain regard sur le passé, les traditions, le mysticisme, et sur le futur. La place de la culture du passé dans le futur en quelques sortes. Très agréable même si un peu lent. 3,5/5
Episode 9 : The Dump
Un vieille homme dans une décharge. La sienne, son lieu de vie, son environnement de toujours. Quoique. Cette environnement bien connu finit peut être par réserver quelques surprises ! Un épisode superbe visuellement, très riche en détails, assez nostalgique et en même temps bien fun. J'aime beaucoup ! 4/5
Episode 10 : Shape-Shifters
Un épisode qui sent le James Cameron de ALIENS, avec du bidasse qui sent la sueur, du muscle et... des Loups-Garou ! Très bon épisode, peut être un peu simple mais bien construit et visuellement très chiadé. C'est aussi un épisode particulièrement violent. Encore plus que le premier, réalisé lui-aussi par Blur Studio. 4/5
Episode 11 : Helping Hand
L'épisode GRAVITY ! La version trash improbable du film avec Sandra Bullock. Joliment réalisé, l'épisode ne va pas vraiment au-delà du sacrifice qu'est obligé de faire l'astronaute pour sauver sa vie. Un peu simple donc, d'un point de vue scénaristique. 3/5
Chaque épisode a son identité visuelle, son rythme, son histoire. On oscille entre le bon et le très très bon pour moi.
Le format court (15 mins) est parfait, suffisant pour brosser un univers et mettre en place un petite histoire.
On peut y voir une version courte et animée de la série BLACK MIRROR comme le dit la presse, ou plus surement un hommage à METAL HURLANT, avec un côté souvent trash, critique, metaphysique, et très adulte. Car non, ce n'est pas DU TOUT pour les gamins ! Donc épargnez vos têtes blondes !
Episode 1 : Sonnie's Edge.
Visuellement sublime, cet épisode met en scène des combats de Robots. Les personnages sont rapidement brossés et le combat dynamique, avec un final plutôt sympa. 4/5
Episode 2 : Three Robots.
Là encore, c'est très beau. L'épisode met en scène robots qui sont les uniques choses fonctionnelles d'un monde dévasté. Un regard sur le déclin des hommes, à la fois désabusé et très drôle, grâce à des dialogues particulièrement bien sentis ! 4/5
Episode 3 : The Witness.
Une esthétique sublime pour un épisode montrant une jeune femme se rendre dans un Strip Club pour y exercer son métier. Jusqu'à ce qu'un crime la fasse fuir à toutes jambes. Je suis sous le charme de cette animation sublime et de cette héroïne impudique mélant tatoo gothique et toison 70s ! 4,5/5
Episode 4 : Suits
Là nous sommes clairement dans le Starship Troopers avec une Colonies assiégée pour des créatures aux allures d'insectes. Aux commandes de robots géants, trois individus cherchent à repousser les monstres, et protéger leurs familles. Esthétique plus Cartoon mais pas forcément plus simple pour cet épisode dynamique et rythmé, même si les ambitions sont un cran en dessous. Très agréable. 3,5/5
Episode 5 : Sucker of Souls
Esthétique simpliste et brute au service d'une histoire évoquant un peu Alien, avec des Vampires ! Scientifiques et militaires explorent des galeries lorsqu'ils sont attaqués par une créature avide de sang... A mon sens inférieur aux autres épisodes, même si dynamique et très bidasse. 3/5
Episode 6 : When The Yogurt Took Over
Episode surréaliste dans lequel le Yaourt occupe la présidence du monde. Un épisode au design curieux, rappelant celui de TEMPETE DE BOULETTES GEANTES. On est ici dans le sarcasme, l'ironie et la critique de la société. Le discours ne va pas très loin cependant, même si le postulat chelou amuse. 3/5
Episode 7 : Beyond the Aquila Rift
Alors là attention, on a une tuerie. SF désabusée, cauchemars Lovecraftien, mise en scène simple, mais classe. Le grand luxe doté d'un visuel sidérant. Alors oui, le scénario est un peu convenu, mais c'est la claque. 4,5/5
Episode 8 : Good Hunting
Un épisode assez envoutant, visuellement proche d'un Mulan. On est dans la culture asiatique, avec un certain regard sur le passé, les traditions, le mysticisme, et sur le futur. La place de la culture du passé dans le futur en quelques sortes. Très agréable même si un peu lent. 3,5/5
Episode 9 : The Dump
Un vieille homme dans une décharge. La sienne, son lieu de vie, son environnement de toujours. Quoique. Cette environnement bien connu finit peut être par réserver quelques surprises ! Un épisode superbe visuellement, très riche en détails, assez nostalgique et en même temps bien fun. J'aime beaucoup ! 4/5
Episode 10 : Shape-Shifters
Un épisode qui sent le James Cameron de ALIENS, avec du bidasse qui sent la sueur, du muscle et... des Loups-Garou ! Très bon épisode, peut être un peu simple mais bien construit et visuellement très chiadé. C'est aussi un épisode particulièrement violent. Encore plus que le premier, réalisé lui-aussi par Blur Studio. 4/5
Episode 11 : Helping Hand
L'épisode GRAVITY ! La version trash improbable du film avec Sandra Bullock. Joliment réalisé, l'épisode ne va pas vraiment au-delà du sacrifice qu'est obligé de faire l'astronaute pour sauver sa vie. Un peu simple donc, d'un point de vue scénaristique. 3/5
Re: Love, death + robots - Donen Fincher Miller (2019)
concept sympa. de quoi s'immerger vite fait (un peu comme à l'époque de Animatrix) (d'autant que pour tater du trash future Cyberpunk 2077 continue son arlésienne..). juste vu le premier. bien animé, petit synopsis sympa avec ses qq surprises. mais assez plagié quand même. la romance dans le style et la gestuelle semble venir d'un dessin animé porno 3D. et certaines attaques sont carrèment piquées de chez Capcom (jeux d'arcade : "marvel vs streetfighter" voire "darkstalkers")
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Re: Love, death + robots - Donen Fincher Miller (2019)
Vu le titre, je m'attendais à un résultat beaucoup plus axé SF alors que l'on lorgne bien plus du côté de Métal Hurlant, même si c'est déjà bien.
Mes épisodes préférés sont le 3 ("Three Robots") avec son regard désabusé sur le genre humain éradiqué, ainsi que le 7 ("Beyond the Aquila Rift", adapté d'une nouvelle d'Alastair Reynolds), superbe et effrayant.
Chaque épisode est court, ce qui a l'avantage d'autoriser les expérimentations diverses et variées sans jamais lasser.
Mes épisodes préférés sont le 3 ("Three Robots") avec son regard désabusé sur le genre humain éradiqué, ainsi que le 7 ("Beyond the Aquila Rift", adapté d'une nouvelle d'Alastair Reynolds), superbe et effrayant.
Chaque épisode est court, ce qui a l'avantage d'autoriser les expérimentations diverses et variées sans jamais lasser.
Re: Love, death + robots - Donen Fincher Miller (2019)
Vu les 3 premiers épisodes pour l'instant et c'est effectivement très sympa, super réalisation et il y a toujours une chute maline. C'est vrai que l'animation des humains est un peu figée sur le premier épisode, mais ça s'améliore sacrément dans le 3ème qui est juste visuellement dingue. Et puis c'est étonnant qu'une toison pubienne soit autorisée sur Netflix.
Re: Love, death + robots - Donen Fincher Miller (2019)
Arrivé au bout des 18 épisodes de cette première saison, et comme MadXav je sui très emballé. Formats courts imposant la concision, dans des styles visuels aux antipodes les uns des autres, mais toujours avec de l’audace et des partis pris forts. Ça part dans tous les sens, perdant de la cohérence d’ensemble au fur et à mesure qu’on avance (bon sang cet épisode foutraque sur les morts d’Hitler ), mais finalement c’est ça qui est bon: ne pas savoir à quoi s’attendre, se laisser porter par un changement de ton et d’ambiance graphique toutes les 8-16 minutes est un bonheur, au point de rendre addictif la fin de chaque segment et l’envie immédiate de découvrir le suivant !
Un projet original qui fait du bien en ces temps de formatage et de main-mise en général de l’entertainement mainstream concernant l’animation.
Et oui on pense à Métal hurlant, à 2000 AD et toutes ses anthologies de SF qui vont à l’essentiel en développant une idée sur un format court.
Vivement une saison 2 !
... et une 3 !
Un projet original qui fait du bien en ces temps de formatage et de main-mise en général de l’entertainement mainstream concernant l’animation.
Et oui on pense à Métal hurlant, à 2000 AD et toutes ses anthologies de SF qui vont à l’essentiel en développant une idée sur un format court.
Vivement une saison 2 !
... et une 3 !
- hitcher
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Re: Love, death + robots - Donen Fincher Miller (2019)
Pour ma part, je trouve cela bien vain.
Quel dommage d'avoir utilisé tant de talents visuels pour si peu de substance.
Ca ne raconte rien, le but est clairement de faire une bande démo de ses capacités visuelles. C'est tout.
Les histoires sont donc sans grand intérêt ni surprise, et sans émotions non plus.
(Helping Hand et Blind Spot se regardent, mais bon, ça n'apporte rien.)
Reste les visuels.
Et là...
Il faut avouer qu'il y a des trucs absolument hallucinants
-The Witness propose une animation d'une fluidité bluffante avec des éclairages superbes.
-Aquila Rift présente le personnage numérique le plus abouti que j'ai vu, par moment, c'est à s'y tromper si on ne le sait pas (les autres perso font jeux vidéos, mais la blonde Greta, on dirait une actrice: impressionnant!)
Une série qui prouve une fois de plus qu'on ne manque pas de talents, sauf au niveau de l'écriture (le plus important!).
Dommage...
Quel dommage d'avoir utilisé tant de talents visuels pour si peu de substance.
Ca ne raconte rien, le but est clairement de faire une bande démo de ses capacités visuelles. C'est tout.
Les histoires sont donc sans grand intérêt ni surprise, et sans émotions non plus.
(Helping Hand et Blind Spot se regardent, mais bon, ça n'apporte rien.)
Reste les visuels.
Et là...
Il faut avouer qu'il y a des trucs absolument hallucinants
-The Witness propose une animation d'une fluidité bluffante avec des éclairages superbes.
-Aquila Rift présente le personnage numérique le plus abouti que j'ai vu, par moment, c'est à s'y tromper si on ne le sait pas (les autres perso font jeux vidéos, mais la blonde Greta, on dirait une actrice: impressionnant!)
Une série qui prouve une fois de plus qu'on ne manque pas de talents, sauf au niveau de l'écriture (le plus important!).
Dommage...
Si on m'avait dit qu'un jour le forum Devil Dead tomberait dans les mains de personnes woke et intolérantes.
Et pourtant...
Re: Love, death + robots - Donen Fincher Miller (2019)
j'en ai avalé 12 pour l'instant, je reviens sur les 2 les plus marquants, y'a aussi qq clins d'oeil comme une certaine LV-426 ,
le plus glauque imo étant.., on est dans un trash pire que l'imagination de la bd "Druuna" et des possibilités du Warp dans warhammer40k..
et avec en plus ce détail lu qui tue, je flippe rien que de devoir (pas vouloir) revoir l'instant.. !! ,
en plus pour moi le pire épisode pour un contexte vécu (hors scifi sur cette planète . enfin je crois.. mais bon.. .. j'ai connu une fille qui lui ressemble, que je sentais par télépathie? symbiose? révéler ses secrets ou lieux, noms précis, chiffres, dans mes rêves, me réveillant choqué, et qui pourtant s'étonnait de rien quand je lui parlais précisèment de ce que je savais déjà qu'elle m'avait révélé en rêve.. oui c'est barré mais bon je ne suis plus à ça près je vous rassure, j'ai déjà été spectateur dans les rêves érotiques de voisins (plus ils sont saouls, plus ça fonctionne comme si les défenses mentales? étaient affaiblies !, ou un peu dans le ton, un cimetière de glaise rouge noire avec des têtes coupées, jusqu'à apprendre ce que j'avais deviné?.. le voisin avait été soldat en werchmart ww2..), ce n'est pas aussi dingue que "Dreamscape" ou "Brainstorm" quoique.. .. ça m'a révélé qq chose de dingue sur l'environnement du film Brainstorm justement sur la mort de Nathalie Wood, j'ignorais tt ça, mais il se trouve que la théorie un peu frappée que j'ai "entendu en rêve".. a été citée selon des américains.. Robert Wagner et Christopher Walken risquent d'être maudits pour ce qu'ils auraient fait ensemble...
presque fun, léger, décomplexé, cool, on dirait aussi le ton graphique de jeu à la Fortnite & et un précédent avec des castes d'ingénieur, soldat, etcc car malgré un final assez tendu, on prend ça positivement , et ces combats de mechas sont un régal pour les amateurs de Steelbattalion & coMadXav a écrit : ↑sam. mars 16, 2019 10:03 amEpisode 4 : Suits
Là nous sommes clairement dans le Starship Troopers avec une Colonies assiégée pour des créatures aux allures d'insectes. Aux commandes de robots géants, trois individus cherchent à repousser les monstres, et protéger leurs familles. Esthétique plus Cartoon mais pas forcément plus simple pour cet épisode dynamique et rythmé, même si les ambitions sont un cran en dessous. Très agréable. 3,5/5
alors celui là . j'ai été après coup lire des avis contradictoires sur reddit, et ben c'est pas de l'inception mais y'a de quoi puiser et imaginer dans ce cauchemar éveillé,Episode 7 : Beyond the Aquila Rift
Alors là attention, on a une tuerie. SF désabusée, cauchemars Lovecraftien, mise en scène simple, mais classe. Le grand luxe doté d'un visuel sidérant. Alors oui, le scénario est un peu convenu, mais c'est la claque. 4,5/5
le plus glauque imo étant..
Spoiler : :
et avec en plus ce détail lu qui tue, je flippe rien que de devoir (pas vouloir) revoir l'instant.. !! ,
Spoiler : :
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Re: Love, death + robots - Donen Fincher Miller (2019)
Rien que pour ça, je vais le revoir.
Re: Love, death + robots - Donen Fincher Miller (2019)
enfin fini ces petits délires d'imagination.
les 2 derniers plus épatants
16. L'âge de glace. autant visuellement et en progression de ce qui se passe est hypnotisant, autant y'a des soucis dans le rapport de taille..
14. Zima blue. tellement zen , pas loin d'un Animatrix dans l'esprit, mais la fin est tellement ..vaine !
pour 7. Aquila rift.. faut vraiment observer le spoiler, ça se joue à 1-2 frames !
les 2 derniers plus épatants
16. L'âge de glace. autant visuellement et en progression de ce qui se passe est hypnotisant, autant y'a des soucis dans le rapport de taille..
Spoiler : :
pour 7. Aquila rift.. faut vraiment observer le spoiler, ça se joue à 1-2 frames !
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Re: Love, death + robots - Donen Fincher Miller (2019)
Saison 2 le 14/05
Dernière modification par Shinji le mer. avr. 21, 2021 3:06 pm, modifié 1 fois.
Re: Love, death + robots - Donen Fincher Miller (2019)
La meilleure nouvelle de la journée !!
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Re: Love, death + robots - Donen Fincher Miller (2019)
La grosse déception. 8 épisodes passables. Vu en une fois et je dois forcer pour me rappeler des intrigues. Quelques prouesses techniques pures mais déjà entrevues avec la première saison. C'est trop peu pour perdre son temps avec cette saison 2.
Re: Love, death + robots - Donen Fincher Miller (2019)
Assez décevant c’est vrai… et que 8 épisodes là où l’opus 1 en proposait 18.
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Re: Love, death + robots - Donen Fincher Miller (2019)
Il y a beaucoup moins d'épisodes, mais il y avait déjà du bon et du moins bon avec la première saison.
Ici même si le pitch de certains est facile comme quand un robot qui pète un câble, c'est drôle ("Le robot et la vieille dame") ou glaciale ("Module de secours").
Pareil pour "Groupe d'intervention" (jusqu'au-boutiste) et "Snow et le désert", qui s'ils ne sont pas révolutionnaires sont néanmoins réussis et très beaux.
Ici même si le pitch de certains est facile comme quand un robot qui pète un câble, c'est drôle ("Le robot et la vieille dame") ou glaciale ("Module de secours").
Pareil pour "Groupe d'intervention" (jusqu'au-boutiste) et "Snow et le désert", qui s'ils ne sont pas révolutionnaires sont néanmoins réussis et très beaux.