Et j'adore Penelope Ann Miller, quoiqu'on en dise....
Carlito's Way / L'impasse - Brian De Palma (1993)
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the_arrogant_frog
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right hand of doom
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Hum, si je devais comparer le bouquin qui a inspiré Carlito's Way ça serait aux Affranchis, pas du tout à Scarface. Mais bon je déteste Scarface, je suis peut-être pas objectif...Bast a écrit :Pis Montana est une sacrée tête de con alors que Brigante ...
Je l'ai en toujours vu comme une variation autour de Scarface mais j'ai pas lu le bouquin
Re: Carlito's Way - Brian De Palma (1993)
J'avais beaucoup aimé ce film à sa sortie, vu si je me souviens bien au Gaumont Parnasse avant qu'il n'avale le Pathé Montparnasse...
Et la revoyure m'a franchement déçu. On est d'abord assommé par une avalanche de clichés : l'arrière-salle louche avec son billard et ses putes, le club latino où on passe du disco, les italiens gominés, le gangster qui veut se ranger mais qui replonge... Rien de bien neuf sous le soleil, vraiment rien d'original et de visionnaire à l'horizon. J'ai été choqué par un scénario accumulant aussi les facilités, avec des personnages aux comportements souvent absurdes, complètement irréfléchis, en particulier Carlito lui-même.
La voix off essaie de donner des explications du style "c'est les habitudes de la rue qui reviennent", etc... Mais j'y ai surtout vu des facilités peu crédibles, m'ayant empêché d'adhérer et de croire à cette histoire et ses personnages.
Après, c'est beau, la musique de Patrick Doyle est superbe, la poursuite finale, très virtuose, est superbe et vaut à elle seule le visionnage. La galerie de seconds rôles hauts en couleurs fait plaisir. Il y a certaines choses dans le fond du film qui le rendent intéressant (galerie de portraits de gangster sur le retour dans des situations variées). Surtout, Pacino parvient a donné de la chaleur et de la vie à un personnage assez cliché. Agréable divertissement, mais je n'ai vraiment pas été bouleversé par ce film...
Vu sur le hddvd universal européen, une belle réussite. Certes, il y a des petites saletés, certains plans à la granulation un peu sale... Mais on a globalement un excellent rendu HD, sans problème de contraste ou de gestion de grain cinéma. Tout est fluide, précis, naturel, confortable, sans en faire trop. Très bien. "L'impasse" était un des premiers titres sortis en DTS en salles, il est fourni ici avec une très bonne piste Dolby Digital Plus, chaleureuse, ample, solide. techniquement recommandé !
Le hddvd américain mérite d'être recherché en priorité car il propose une piste truehd non compressé absente du hddvd européen. Les deux éditions ont une vf et des stf.
Pas encore dispo en bluray pour le moment...
Et la revoyure m'a franchement déçu. On est d'abord assommé par une avalanche de clichés : l'arrière-salle louche avec son billard et ses putes, le club latino où on passe du disco, les italiens gominés, le gangster qui veut se ranger mais qui replonge... Rien de bien neuf sous le soleil, vraiment rien d'original et de visionnaire à l'horizon. J'ai été choqué par un scénario accumulant aussi les facilités, avec des personnages aux comportements souvent absurdes, complètement irréfléchis, en particulier Carlito lui-même.
Spoiler : :
Après, c'est beau, la musique de Patrick Doyle est superbe, la poursuite finale, très virtuose, est superbe et vaut à elle seule le visionnage. La galerie de seconds rôles hauts en couleurs fait plaisir. Il y a certaines choses dans le fond du film qui le rendent intéressant (galerie de portraits de gangster sur le retour dans des situations variées). Surtout, Pacino parvient a donné de la chaleur et de la vie à un personnage assez cliché. Agréable divertissement, mais je n'ai vraiment pas été bouleversé par ce film...
Vu sur le hddvd universal européen, une belle réussite. Certes, il y a des petites saletés, certains plans à la granulation un peu sale... Mais on a globalement un excellent rendu HD, sans problème de contraste ou de gestion de grain cinéma. Tout est fluide, précis, naturel, confortable, sans en faire trop. Très bien. "L'impasse" était un des premiers titres sortis en DTS en salles, il est fourni ici avec une très bonne piste Dolby Digital Plus, chaleureuse, ample, solide. techniquement recommandé !
Le hddvd américain mérite d'être recherché en priorité car il propose une piste truehd non compressé absente du hddvd européen. Les deux éditions ont une vf et des stf.
Pas encore dispo en bluray pour le moment...
Re: Carlito's Way - Brian De Palma (1993)
Vu sur digital bits : "L'impasse" est annoncé en bluray US (Universal, donc sans doute multirégion) en mai 2010 !
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rusty james
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Re: Carlito's Way - Brian De Palma (1993)
Ah oui cool ! 
Je pourrais jamais la voir comme un cliché cette scène de billard, tout simplement parce qu'elle dépasse en maestria n'importe quelle autre scène du genre qui ont pu être faites avant elle, au point de complètement les éclipser, de les faire disparaître et littéralement passer aux oubliettes.
C'est aussi une autre époque (comme c'est bien dit dans le film), les années frics et tocs des '80 et je vois pas comment au contraire mieux la représenter que par cette somme de clichés (ce que les '80 étaient...).
Mais ce qui me touche le plus c'est l'histoire. Une vraie tragédie, simple, pas de chichi. Depuis le début on sait que çà ne peut finir que mal, et c'est toujours touchant de voir ce personnage condamné d'avance par un destin implacable se débattre en vain.
Je pourrais jamais la voir comme un cliché cette scène de billard, tout simplement parce qu'elle dépasse en maestria n'importe quelle autre scène du genre qui ont pu être faites avant elle, au point de complètement les éclipser, de les faire disparaître et littéralement passer aux oubliettes.
C'est aussi une autre époque (comme c'est bien dit dans le film), les années frics et tocs des '80 et je vois pas comment au contraire mieux la représenter que par cette somme de clichés (ce que les '80 étaient...).
Bein ouai mais là, dans ce cas particulier, c'est ce qu'on appel un "classique"Rien de bien neuf sous le soleil, vraiment rien d'original et de visionnaire à l'horizon.
Mais ce qui me touche le plus c'est l'histoire. Une vraie tragédie, simple, pas de chichi. Depuis le début on sait que çà ne peut finir que mal, et c'est toujours touchant de voir ce personnage condamné d'avance par un destin implacable se débattre en vain.
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dario carpenter
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bluesoul
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Re: Carlito's Way / L'impasse - Brian De Palma (1993)
Re-vu via la NHK nationale (bouquet BS)--pas de pubs 
Decouvert initialement fin de la decennie de sa sortie (a la teloche) ou la decennie suivante (sur le satellite nippon), mais AUCUN souvenir hormi la fin du film. Mauvais feeling sur le coup...
Bonne surprise a la revoyure au final!
Bon, beaucoup de "scories", je sais.
Pour un film de '93, on est en plein dans les annees 80s, disco, club latino et toussa (sauf que Pacino a pris 10 ans, mais bon...)
On nage aussi en plein dans la variation sur le sujet de Scarface (1983) sauf que Pacino en Carlito est "gentil" et range des voitures, mais bon...
Pacino est touchant et sincere devant la camera. DePalma aussi derriere la camera sauf que c'est quand meme plein de lieux communs (i.e. disco, latino, code de l'honneur des voyous, blondasse en guise de girl-friend...
C'est violent et moralisateur, atnt dans le chef du perso de Pacino que jusque dans le mariage une fois que sa copine a une brioche dans le four...
C'est bien mis en boite sauf pour des trucs assez enormes, genre Pacino qui se couche sur la banquete de metro et les mec qui regarde par dessus la vitre ne le voient pas
ou Pacino qui "disparait" derriere un nuage de ballons et ce genre d'astuces de realisation a deux balles
La realisation est nickel sauf pour l'astuce de la voix off qui est vraiment lourdingue...Blade Runner-style
Bref, ca ne reinvente pas le fil a couper l'eau chaude, mais dans le genre cinema-(populaire)-charentaises a marche TRES BIEN.
Ca paraitra peut-etre c.n, mais le film parvient a etre touchant, JUSTEMENT a cause de son caractere "premier degre" tant dans l'interpretation de Pacino que dans la realisation de DePalma. Ca marche parce que c'est sincere et a ce titre bat a plat de coutures n'importe quel produit formate ou on pretend reinventer la poudre et ne fait que nous servir un truc vide, flashy et tourne par un real qui fait ses heures de bureau de 9:00 a 17:00 et deteste les heures sup'.
Carliot's Way: 4.0 / 5 (certes, rien de neuf, mais un excellent film du samedi-soir ou tout-le-monde, devant la camera, derriere et dans son sofa trouvera ses marques .Que demande le peuple.)
Decouvert initialement fin de la decennie de sa sortie (a la teloche) ou la decennie suivante (sur le satellite nippon), mais AUCUN souvenir hormi la fin du film. Mauvais feeling sur le coup...
Bonne surprise a la revoyure au final!
Bon, beaucoup de "scories", je sais.
Pour un film de '93, on est en plein dans les annees 80s, disco, club latino et toussa (sauf que Pacino a pris 10 ans, mais bon...)
On nage aussi en plein dans la variation sur le sujet de Scarface (1983) sauf que Pacino en Carlito est "gentil" et range des voitures, mais bon...
Pacino est touchant et sincere devant la camera. DePalma aussi derriere la camera sauf que c'est quand meme plein de lieux communs (i.e. disco, latino, code de l'honneur des voyous, blondasse en guise de girl-friend...
C'est violent et moralisateur, atnt dans le chef du perso de Pacino que jusque dans le mariage une fois que sa copine a une brioche dans le four...
C'est bien mis en boite sauf pour des trucs assez enormes, genre Pacino qui se couche sur la banquete de metro et les mec qui regarde par dessus la vitre ne le voient pas
ou Pacino qui "disparait" derriere un nuage de ballons et ce genre d'astuces de realisation a deux ballesLa realisation est nickel sauf pour l'astuce de la voix off qui est vraiment lourdingue...Blade Runner-style
Bref, ca ne reinvente pas le fil a couper l'eau chaude, mais dans le genre cinema-(populaire)-charentaises a marche TRES BIEN.
Ca paraitra peut-etre c.n, mais le film parvient a etre touchant, JUSTEMENT a cause de son caractere "premier degre" tant dans l'interpretation de Pacino que dans la realisation de DePalma. Ca marche parce que c'est sincere et a ce titre bat a plat de coutures n'importe quel produit formate ou on pretend reinventer la poudre et ne fait que nous servir un truc vide, flashy et tourne par un real qui fait ses heures de bureau de 9:00 a 17:00 et deteste les heures sup'.
Carliot's Way: 4.0 / 5 (certes, rien de neuf, mais un excellent film du samedi-soir ou tout-le-monde, devant la camera, derriere et dans son sofa trouvera ses marques .Que demande le peuple.)
En direct du Japon. Bonsoir. A vous, Cognac-Jay.