Alors que Joe Glass, commandant du sous-marin américain USS Arkansas, est en mission de sauvetage dans la péninsule de Kola pour retrouver l'USS Tampa Bay porté disparu, le Président russe Nikolai Zakarine est fait prisonnier à la base navale de Poliarny suite à un coup d'État mené par l'Amiral Dmitri Durov, son propre Ministre de la Défense. Le Commandant Glass et son équipage vont devoir faire équipe avec une unité de Navy SEALs et se rendre en Russie afin de sauver le président russe et empêcher la Troisième Guerre mondiale....
J'avais pas vu de bon film de sous-marin depuis un bail allez facile depuis celui du regretté Tony Scott à savoir USS Alabama, et bien avec ce Hunter Killer ont retrouve beaucoup de l'efficacité qu'il y avait dans celui-ci, mais on y trouve aussi les qualité d'un Octobre Rouge, sauf qu'on a inversé la situation.
Alors l'affiche est sacrément trompeuse, si Gerard "Gillet" Butler est toujours bien le héros de la veuve et de l'orphelin, Gary Oldman a vraiment un rôle ingrat et minime dans ce spectacle. Il a été clairement mis sur l'affiche pour faire vendre un peut plus de place de cinéma, ou de DVD/BR
Car au final on le voit très peut, et son personnage est vraiment minable. Les vrais protagonistes sont plutôt le rapeur-acteur Common (Hell's On Wheels), ou bien Toby "toujours excellent" Stephens (Black Sails), ainsi que le regretté Michael Nyqvist qui tiens un rôle équivalent au personnage du commandant Ramius que jouait Sean Connery dans le film de McTiernam 
Il y a bien eu quelques films de sous-marin entre Uss Alabama et celui-ci (Black Sea, Phantom....), mais ils étaient loin d'offrir se que l'ont attendait d'eux à savoir de la baston sous-marine des poursuites entre submersibles. Bref, de se coté là ont est servi, il y a boire et mangé dans se Hunter Killer. Un spectacle que je recommande chaudement, même si derrière tous ça se sont les producteurs des FF. Mais il y a aussi deux gros producteurs Français qui office depuis plusieurs années dans l'industrie du grand spectacle, à savoir Samuel et Victor Hadida de chez Metropolitan Film. De la production MIllenium à la base, certes, mais de qualité
Rien à dire du coté du BR s'est juste dantesque
j'ai vraiment pris mon pied.