
Et ont peut dire que l'attente est récompenser, car le film de Jack Lee Thompson n'a rien perdu de son charme premier près de 40 ans après sa fonctionne toujours. Comme quoi des vieux vétérans de l'ancien Hollywood et auteur de perle comme Les Nerfs à Vifs, peuvent encore surprendre.
Certes il y a dans se métrage tous les poncifs traditionnel du slasher, ont pourrait même le prendre pour un hommage au Giallo avec son tueur ganté de cuir qu'ont ne voit quasiment jamais intégralement. Le premier meurtre est ridicule, et pourtant avec cette pauvre victime incapable de prendre la fuite la séquence est fort réussit.
Les fondus du genre verrons certainement arriver le truc avec un Glenn Ford, mais encore une fois le charme opère, peut-être est ce du à Melissa "La petite Maison dans la Prairie" Sue Anderson qui voulait se sortir de son gentil rôle de grande sœur dans la série de MIchael Landon. Reste que les 1H50, durée assez inhabituelle pour se type de film passe bien.
Vu sur le BR éditer par Rimini, rien à dire concernant les 3 pistes sonores (2 en VO et 1 Française), coté image si après un logo columbia et un générique un peut envie de divers points blanc et ligne verticale, sa s'améliore rapidement avec le premier meurtre.
Par la suite j'ai trouvé que la copie bien qu'excellente dans sa définition, virais comme je le pensais presque au rose bonbon, le magenta prendre le dessus sur l'intégralité du film. D'ailleurs sur les captures du test Devil à partir de la 3ème photos s'est assez flagrant.