Joker - Todd Phillips (2019)

[comte vonkrolock]

la solution ou le débat semble éternel... Je vous conseillerais se formidable film, avec cette fin ou l'ont voit que certains semble avoir déjà a l'époque avoir pris la mesure du problème de notre société, dans les dernière images à la fois glaçante et pleine de bon sens.



Je me rallie à Cosmodog il a pas tort s'est trop facile de se dire que si ont avait vécu la situation face à se genre de drame, sa serait différent. Sur le coup peut-être, mais avec du recul je pense pas, l'actualité en est rempli de se genre d'incident anecdotique comme tu dis, et qui alimente ça finalement ? les médias, les mauvaises politiques, le fait pour certains d'avoir toujours eux le contrôle sur tous.

Je peut comprendre la douleur des gens qui ne veulent plus que se genre de cauchemar puise se réitérer, mais s'est pas en censurant qu'ont trouvera la solution bien au contraire.

Et se se film finalement peut de monde semble l'avoir vu...?!

[Cosmodog]

C'est bien ce que je te dis. Tu n'as pas vécu (apparemment?) ce type de perte brutale. Le contexte US est tout aussi important, rien à voir avec chez nous. C'est pour cela que je dis qu'il est très très difficile de se mettre dans la peau de quelqu'un qui a subi une mort incompréhensible dans des circonstances qui dépassent l'entendement et les expériences. Il y a un raisonnement comme tu l'indiques. Et puis lorsque tu fais face à la réalité, en fonction de l'endroit où cela t'arrive, la culture en place, les enjeux... la perspective est toute autre. Cela m'est hélas arrivé par le passé - et cel remet énormément d'éléments en perspective sur ce que tu crois être juste (et raisonné). C'esten cela que je ne porte pas de jugement sur cette démarche qui parait à énormément de monde, étrangère.

Ok. Je peux comprendre que le choc te fasse « dé »raisonner. Il est évident que la douleur ne peux être niée. C’est pas ça le sujet. Tu as vécu un cas similaire ? Je veux dire avec une « «influence » revendiquée ? (Je veux pas être indiscret hein, pas utile de répondre si c’est inapproprié)

[Cosmodog]

Vu hier soir. Je fais partie des conquis. Ambiance singulière dans l’univers Super-héros qui lorgne vers un réalisme cradingue. Phoenix est excellent en Joker meurtri et décalé, dans l’esprit de celui de The Dark Knight, en moins fou et plus torturé. Toutes les références invoquées (Scorsese...) sont bien là, sans être envahissantes. Photo magnifique, musique puissante quand il faut, il y a bien quelques scènes discutables mais dans l’ensemble très bonne surprise qui mérite les louanges reçues.
Quand à la polémique évoquée dans les pots plus haut, au delà de ce qu’on a déjà écrit, encore une fois une cible manquée car à la vue du métrage impossible de se « rêver » être ce Joker là.

[DPG]

Vu hier, et si ce n'est pas THE chef d’œuvre, mais quand même un très bon film ! La patte 70's fonctionne à mort, Joaquin est aussi bon que prévu, c'est beau, ça s'enchaine bien, les éclats de violence font mal. Après, ça reste assez classique sur les origines, les traumas habituels, et pour crier au chef d’œuvre, faut pas avoir vu grand chose des films cités en influence un peu partout (taxi driver, la valse des pantins, les trucs New yorkais urbains fin 70's début 80's, etc...). Mais bon, pari gagné pour "Joker", et si son immense succès public peut aider à ce qu'on ait des blockbusters qui soient autre chose que "Avengers 15" et "Fast & Furious 18", je dis "Amen" Et puis Oscar pour Jojo qd même, parce qu'il pèse lourdement sans que ça prenne le pas sur le film ou qu'on sombre dans le too much. Un belle réussite quand même, je veux pas avoir l'air blasé, j'aimerais que le tout venant hollywoodien ait cette gueule là plus souvent !

[Fatalis rex]

Vu ce matin en VF, et alors... OUAH PUTAIN C'TE CLAQUE !!! Lion d'Or amplement mérité, Oscar, César, Palme d'Or, tout ce qu'on veut c'est mérité.

Ma critique ici : http://balades-cosmiques.over-blog.com/ ... tique.html

[MadXav]

Un film puissant ça ne fait aucun doute, et ça fait du bien au milieu des 92 Marvel de ces dernières années.
J'y suis allé avec ma femme hier. Elle est psy, elle cotoie des gens comme ça. C'est assez passionnant de voir le film dans ces conditions. Du moins pour moi parce que pour elle, c'est assez éprouvant.

A mes yeux, on est sur une pelloche qui frôle le sans-faute. Les seuls moments qui m'ont un peu gêné et sortis du propos sont ceux qui sont en lien avec la famille Wayne. En fait, j'en avais presque oublié que le Joker venait de l'univers de Batman, et je n'avais pas forcément envie qu'on me le rappel. En plus, le père Wayne n'est pas des plus sympathiques ici, pas super bien interprété non plus. Bref, ça fait un peu tache.

Pour le reste, c'est vraiment très impressionnant. Joaquin Phoénix est immense, dérangeant. Ses rires, ses danses, sa perte de poids monstrueuse, ses épaules désarticulées, ses côtes saillantes... Le bonhomme est ici vraiment brillant, au service d'un film intelligent et rondement mené.

Honnêtement, je peux comprendre la levée de boucliers des parents américains. Je ne la cautionne pas, mais la crainte est compréhensible. Mais plus que la folie du Joker, je trouve que le film est surtout un brûlot qui décrit une société au bord du chaos. Une société "fictionnelle" qui partage quand même beaucoup de similitudes avec ce qu'on pourrait reprocher à notre société d'aujourd'hui : organisation de la santé à deux vitesses, suppression des crédits accordés aux défavorisés, aux maladies mentales, grêves sans fin, précarité, classe dirigeante "perchée", grand écarts et bras de fer de plus en plus tendu entre "les riches" et "les pauvres"...
Bref, pour le coup je trouve que le film va aussi loin dans sa description d'un individu qui bascule, que dans sa mise en lumière d'une société qui bascule. C'était déjà le cas dans TAXI DRIVER ceci dit, mais le film de Scorsese ne me faisait pas écho de la même manière quand je l'ai découvert, ce n'était pas mon époque, ce n'était pas ma société. Aujourd'hui c'est différent. On avance en plein malaise.

Donc ouais. On a beau attendre quelque chose du film, une belle prouesse d'acteur, on reste surpris dans le sens positif du terme.
On se demande sérieusement comment Todds Philipps, avec sa filmographie passée, a pu accoucher d'un film comme ça.
Et on se demande qui, au sein de l'équipe, a fréquenté les asiles pour être aussi juste et bien rencardé...

[Fatalis rex]

J'ai lu une analyse intéressante qui explique que le film est raconté du point de vue du Joker, et qu'il a toujours eu, dans les comics ou les films, une appréciation très personnelle des choses. Il se donne le beau rôle, et tout le monde est contre lui. C'est un peu propre aux fous, par ailleurs, ils pensent avoir raison contre tout le monde. Donc peut-être exagère-t-il, car il le perçoit comme tel, le comportement odieux des gens contre lui. Ou alors, c'est la vérité. Ce qui parait cohérent, tous les jours je vois des gens se comporter comme ça (comme ceux qui l'agressent par pure méchanceté gratuite, les coups de pute des collègues, les moqueries, etc. Suffit d'allumer sa télé).

Et je dirais qu'en 2019 c'est pire qu'en 1981, où le film se déroule. Le problème avec les accusations contre ce film, c'est qu'on va finir par interdire les satyres. Si on ne peut même plus critiquer la société, et seulement la subir, alors interdisons aussi LES SIMPSONS et SOUTH PARK tant qu'on y est, on ne sait jamais, si ça donne des idées à un détraqué.

[Lord Taki]

Je rejoins les nombreux conquis.
Je ne ferai que recopier les louanges.
A aucun moment on ne voit l'acteur Phoenix, du début à la fin c'est Fleck à l'écran.

A voir dans les meilleures conditions possibles pour s'imprégner de cette folie.

[Fatalis rex]

Histoire de damer le pion à Superwonderscope : JOKER, film sur lequel la Warner ne misait pas un kopeck, atteint 737,5 millions de dollars de recette, et selon les prévisions terminera autour de 900 millions, et le milliard n'est pas à exclure. Ce qui fait de lui le film Rated R le plus rentable de tous les temps.

https://geektyrant.com/news/joker-is-go ... f-all-time

[Manolito]

Côté déception, c'est clair qu'en style de cinéma et de mise en scène, Todd Philipps n'a pas toujours les moyens de ses ambitions ; et citer "French Connection" et "Taxi Driver" ne fait que souligner l'écart entre de vrais grands films de cinéma et une réalisation plus laborieuse, signée par un fidèle employé de Warner, à l'ambition louable, mais quand même limité.

En terme d'écriture, il y a aussi des maladresses :

Spoiler : :

comme Madxav, je trouve la partie avec Thomas Wayne plutôt faiblarde et fastidieuse, avec ses twists et retwists façon série télé, son rattachement trop mécanique à la saga Batman.

Mais c'est là où l'équilibre du projet est compliqué : ce n'est pas vraiment un film sur le Joker, mais une variation sur le thème du Joker. Il faut rester rattaché à l'univers de Batman (sinon, à quoi bon ?), mais sans partir dans des ficelles narratives feuilletonesques traditionnelles du comics... Pas facile...

Après, il y a aussi ce qui marche : comme le relève Xavier, il y a une peinture honnête de la maladie mentale. Ce qui est très fort et très exact, c'est la phrase qu'écrit Arthur : en substance, ce qu'on attend des malades mentaux, c'est qu'ils se comportent comme si ils n'étaient pas malades.

Arthur n'est pas qu'un gentil Rainman martyrisé, il a aussi des aspects, gênants, inquiétants, déplaisants... Il ne pense pas "à mal", mais il est quand même dangereux, hors de contrôle sur pas mal d'aspects, même au début du métrage, quand il se pointe avec un flingue dans l'hôpital pour enfants par exemple. Côtoyer des malades mentaux, pour les proches, ce n'est pas des vacances, c'est aussi encaisser des comportements qui ne sont pas forcément ceux qu'on attend de ceux qu'on aime. Et pourtant personne n'y peut rien, il n'y a pas de "coupable"...

Evidemment, le film est dominé par l'interprétation de Joaquin Phoenix, presque à contre-pied de celle de Ledger. Le Joker de Nolan est le maître du jeu et contrôle tout avec un coup d'avance dans le déploiement théâtral de son chaos sur Gotham : le Joker de Philipps est complètement emporté par des événements qu'il paraît ne jamais maîtriser, qu'il provoque malgré lui... Le Joker de Nolan est une énigme abstraite (avec ses multitudes origines inventées), celui de Philipps est totalement humanisé, complètement déterminé par sa psychologie. Mais Phoenix parfait, au-dessus du niveau du métrage même. Bref, une réussite nuancée, avec quand même de vrais défauts, mais une réussite quand même, honorable.

Vu au Max Linder.

"Joker" est d'ailleurs sorti en 70MM dans la belle grande salle de l'Arlequin à Paris, mais bon pour un film d'origine en 4K numérique, je ne vois pas trop l'intérêt à part pour le trip rétro...

[Fatalis rex]

Et puis dans le film de Nolan, le Joker est déjà fou. Curieusement, il pourrait presque être la suite de JOKER, s'il n'y avait pas ce problème de chronologie. il y a un point de non retour où Arthur ne subit plus, il ne se laisse plus porter par les événements, mais les provoque. Et comme il ne sait pas se modérer, il passe d'un extrême à l'autre. Ce qui nous amène au Joker de Nolan, qui est un chef de gang qui contrôle et anticipe les événements. C'est le même en fait, mais il sommeillait en Arthur, bridé par sa mère, et par un père de substitution qu'il prenait pour modèle.

Spoiler : :

Une fois tué le père, et reconnu comme leader par la foule des sans-voix, il devient le Joker que l'on connait.

[Dragonball]

Vu aujourd'hui "Joker" !

Attention, spoilers sur ... Terminator Dark Fate !

Alors comme je le disais précédemment, j'ai trouvé le film très sympa avec cette volonté de nous proposer ce récit à la base assez classique d'un individu qui va peu à peu péter les plombs dans le cadre d'une origines story d'un des super vilains issues des comics les plus connu au monde !
La performance de Joaquim Phoenix est impressionnante et le propos politique assez hargneux même si, à part influencer quelques manifestants au niveau de leur looks (Y a 15 ans c'était le look de V For Vendetta bon maintenant c'est celui du Joker, OK .....), il ne changera évidement pas le monde, loin de là malheuresmenet !

C'est en tout cas assez intéressant de découvrir "Joker" juste après avoir découvert "Terminator Dark Fate", car ces 2 films soulèvent au final les même questions quand à notre perceptions des films selon notre âge et surtout notre culture cinématographique !

Car lorsqu'on découvre un film, on ne peut quasiment jamais (Mais est ce un mal après tout ?) le juger sans lier à son conteste et le comparer à d'autres films !

Car arrivé à un certains âge, et si en plus on s’intéresse au cinéma depuis l'enfance, difficile d'être encore surpris aujourd'hui !

Ainsi, si "Terminator Dark Fate" est pour moi un excellent film, difficile de ne pas admettre qu'il recycle en gros la plupart des éléments ayant fait la réussite de Terminator 1 et Terminator 2, jusque dans certaines scènes, culte dans les films orignaux, ici juste sympas, comme par exemple l’attaque du centre de rétentions pour immigrés illégaux dans Dark Fate par le Terminator, faisant écho a celle, bien plus violente, de l'attaque du commissariat dans le premier film !

Idem pour les nombreuses scènes de poursuite, ou même le final dans, une nouvelle fois, une sorte de grosses usine !

Ce manque d’originalité rends t-il le film moins bon au final ?

Je ne serais pas vraiment le dire mais je pense qu’il faut en tout cas ce résoudre au fait que le cinéma ne peut pas se réinventer constamment, surtout au sein d’une franchise ayant déjà 6 films !

De même, difficile en voyant "Joker" de ne pas penser très rapidement à "Taxi Driver", à "La valse des pantins" (Et pourtant j'ai même pas vu le film ! ) ou encore à "Fight Club" !)

Il y a évidemment du Scorceses et du Ferrarra dans "Joker". Mais bon, il y a pire référence, et comment pourrait on de toute façon reprocher à un film décrivant ne gros la déliquescence mentale d'un homme perdu dans la jungle new new-yorkaise (Qu'on la rebaptise Gotham ou pas ! ) d'être sous influence vu le nombre de film ayant déjà traité de ce sujet !

Même la maigreur assez impressionnante de joaquim Phoenix dnas "Joker" rappel, celle, encore plus hallucinante, de christian Bale dans "The Machinist" !

Bref, tout ça pour dire que ce genre de procès si souvent fait aux films qui sortent aujourd'hui me semble tout de même un peu injuste même si en effet,la marque des très grands films est justement souvent de réussir, encore aujourd'hui, à proposer de nouveaux concepts, des idées jusque là quasiment inédites ou très peu exploité au cinéma !

Et c'est peut être d'ailleurs pour ça que, si Joker ou Terminator Dark Fate respectivement dans leur genre, et à causes de ces influences souvent multiples et assez visibles, ne peuvent probablement pas aspirer au rangs de chefs d’œuvres, ils restent en tout cas d’excellents films !

[Fatalis rex]

En ce qui me concerne, l'originalité n'est pas du tout un critère pour savoir si un film me plait ou pas. J'attends qu'il me divertisse, me fasse ressentir des sentiments, me surprenne... Peu importe que d'autres films aient traité les mêmes thèmes et les mêmes genres de personnages, tant que le film créé son propre univers cohérent et qu'il m'embarque dedans. C'est un peu comme dans la vie, il y a des gens qui ont la même tête, la même vie, la même personnalité, et chacun est différent, et tu vas t'entendre avec l'un et pas avec l'autre tu sais pas pourquoi

Et là en regardant JOKER, je me suis dit, je regarde JOKER, et rien d'autre Parce que le scénario, la mise en scène et le casting font le job. Ils rendent crédibles un truc et te font entrer dedans. Alors que dans TERMINATOR - DARK FATE, pour reprendre l'exemple, j'avais l'impression de voir le résultat de ces logiciels à algorithmes qui génèrent une histoire en puisant dans une base de données, et en collant des scènes bout à bout. Séquence explication/séquence émotion/séquence action/séquence humour. On dirait qu'un Terminator l'a réalisé alors que JOKER est un film profondément humain.

[comte vonkrolock]

UN très très bon film Todd Philipps à tout compris, un peut comme Brian de Palma lorsqu'il utilise la fameuse méthode Hitchcockienne, méritait-il un prix à la Mostra de Venise, clairement non il y a 20 ans arrière, clairement oui aujourd'hui tellement ont manque justement de se genre de spectacle bien mise en scène, bien interprété. Le haut du panier surtout au prix que vaut une place de cinéma (12,90€) autant dire que pour ceux prix là oui je veux du caviar et pas du Ronald "Mc Marvel" dont se plaigne Francise et Martin.

Un film qu'ont aura du mal a pas rapprocher justement à celui de Martin(e) S. car oui Joker s'est un peut le Taxi Driver de son époque. Beaucoup dans mon milieu ne veulent plus voir de film de SuperHéros, et bien là ont a beau leurs dire que s'est à un véritable drame auquel ont est convier. Il n'y a pas moyen, la Suicide Squad et tant d'autres ont fait mauvaise pub. Par contre sa ne joue pas je pense contre celui-ci puisqu'il semble bien fonctionner la preuve la salle hier était bien pleine et il y a avait beaucoup de djeuns. Je me demande même bien a quel hauteur il a été interdit, tous semble indiqué un - 12 ans au minimum j'aurais mis un - 16 ans au vu de se que j'ai pu voir un film a ne pas mettre entre toute les mains

Concernant les défauts il en a tout de même, sa linéarité, le fait que l'ont aille irrémédiablement vers l’impensable, et le pire s'est que l'ont se surprend à quand même presque trouvé ça juste, bien sûr du point de vu du personnage incarné à la perfection par Joaquim Phenix, bien plus convainquant cette fois ci que dans le pitoyable "Beautiful Day". Il a bien fait de persévérer même sans maquillage il incarne la continuité de se que Heath Ledge, comme le disais Rex Fatalis, un film qu'ont aurai pu nommer Joker Origins, tellement de Dark Knight semble en être la suite directe. Certain des plans finaux lorsqu'il est dans la voiture de police, la tête contre la vitre mon beaucoup fait penser au film de Nolan. Mais il partage plus justement la même approche que le Seven de Fincher ou le perso de Morgan Freeman semble dans la même détresse que se futur Joker.

Un grand drame donc, ont pourrait même le taxer de comédie musical noir, tellement Joaquim Phoenix rentre dans des numéros de danse, j'ai du arrêter de les compter au bout de la 4ème Une version alternative à tout ces bons sentiments qu'ont pouvait prêter à la famille Wayne, ont peut dire que dans cette vision là ils dégustent sévère, y voir là un rapprochement directe par rapport a notre société. Le film se passe fin des 70 début 80 et personne est dupe sa pourrait aussi bien être aujourd'hui avec les présidents Trump ou Macron. Un lanceur d'alerte pour leurs rappeler que le peuple peut vraiment partir en couille sur juste un mauvais choix, une idée noire, et qu'il n'auront aucun contrôle la dessus malgré tout le mal qu'il se donne du haut de leurs tour d'argent.....

Le choix de la dernière chanson touche au pur génie

Ma petite note 8/10, Taxi Driver restant tout de même la référence au dessus, une époque ou Martin était a son meilleur et pas a faire des pub pour Rolex

[Manolito]

Plus de 2.8 millions entrées en deux semaines en France, c'est en tout cas un triomphe public (il dépasse déjà "Wonder Woman"), avec les vacances de la Toussaint et les longs weekends (bien pluvieux) qui arrivent, il ne paraît pas impossible qu'il dépasse les 5 millions en fin de carrière, soit bien plus qu'un "Aquaman" ou un "Captain Marvel"...