Nouveau concept horrifique : une application qui décompte les jours avant votre mort. Avec un méchant habillé de noir, aux doigts crochus, avec un prêtre aussi, toussa toussa. Ecrit et réalisé par Justin (sans) Dec, dont il s'agit du premier long métrage.
Cette petite production de 6 millions d $ vient de sortir aux USA le weekend dernier par STX, qui vient déjà de remplir son contrat avec 9 millions de recettes. Petit, mais suffisant pour 1/ être rentable 2/ engendrer une suite.
Cela arrive en france le 13 novembre prochain par Metropolitan. le lien vers le film annonce vostf:
un film d'horreur classé PG-13 sur les écrans cinéma, ça devrait donc faire bouger les foules par ci, hmmmm? En tous cas, cette distribution Metropolitan sur 238 copies rassemble un 21 763 entrées le premier jour d'exploitation, avec une moyenne par copie sensiblement similaire à celle du machin avec Dujardin (qui a 2.5 fois plus de copies en circulation), mais bien en deçà de celle du Mans 66.
Pendant ce temps aux USA, le film cumule quelques 23 millions de $, une opération d'ores et déjà rentable à la fois pour la production du film et le distributeur. Une suite devrait logiquement arriver fissa, avec de fortes odeurs de DTV...
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Superwonderscope a écrit : ven. nov. 15, 2019 10:20 am
un film d'horreur classé PG-13 sur les écrans cinéma, ça devrait donc faire bouger les foules par ci, hmmmm?
Drac va le tester courageusement aujourd"hui au "sombre" Pathé Evreux rien que pour Devil Dead!
Un film pas déplaisant, le final est sympa, mais les scènes censées faire peur sont désamorcées par le fait que le compte à rebours n'est pas proche de son terme (sauf sur la fin justement).
3/6
Ça n’a pas coûté cher et ça se voit. C’est pas mal emballé au premier tiers, avec une première scène qui reprend la logique de Scream. Le reste est, comment dire, juste du néant. Dès l’apparition du prêtre tatoué-geek-super cool-j’écoute du rap dans ma bibliothèque, c’est foutu. Nième digression sur le diable, malediction de romanichel, bla-bla-bla-bla... ça ne fait pas peur, il n’y a rien à se mettre sous la dent, la créature est nulle, les effets de trouille réduits à néant. Ça copie tellement de concepts que le film d’auto-détruit. Le truc final avec les deux sœurs est bien vu - meme si au fond j’avais vraiment envie que le scénario ait pour une fois de vraies couilles
Spoiler : :
et fasse crever l’héroïne
mais non. Il faut laisser la porte à une suite, ce que la dernière image appelle immédiatement.
Ah aussi, et les romances multiraciales, c’est toujours pas bon dans les films d’horreur (ou ailleurs). (Surtout quand on est noir)
Poubelle.
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