Ca a l'air d'avoir coute pas cher, de melanger un peu tout (et n'importe quoi??). Mais ca a l'air sympatoche et vient du Bresil.After the death of her grandmother, Teresa comes home to her matriarchal village in a near-future Brazil to find a succession of sinister events that mobilizes all of its residents.
Bacurau (2019) - Juliano Dornelles & Kleber Mendonça Filho
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En direct du Japon. Bonsoir. A vous, Cognac-Jay.
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Re: Bacurau (2019) - Juliano Dornelles & Kleber Mendonça Filho
Oui, c'est sorti par chez nous il y a déjà plus d'un an, après sa présentation au Festival de Cannes 2019, Prix du Jury à la clef. Et oui, ça mélange un peu tout et n'importe quoi, nouveau représentant typique des cinémas dits "du monde", faisant allègrement percuter le cinéma d'auteur avec du genre frontal. Et c'est bon...
Re: Bacurau (2019) - Juliano Dornelles & Kleber Mendonça Filho
Encore un film privé de sortie HD en vidéo, bref à voir en DVD ou VOD HD, comme VFW, Yummy et Le tueur de l'autoroute.
Re: Bacurau (2019) - Juliano Dornelles & Kleber Mendonça Filho
Bon, au vu du concert de louanges ayant accueilli "Barucau" à sa sortie, j'avoue que j'en attendais beaucoup.
Mais bon, j'ai été quand même déçu. Sur le papier, les intentions sont excellentes, croisement entre John Carpenter (influence la plus clairement revendiquée avec ses anti-héros, ses scènes de siège, sa musique, son nom (!), ses enfants qui meurent ; "Assaut" étant l'influence la plus clairement reconaissable), mais aussi Peckinpah et Jodorowski ; avec une photo ambitieuse qui masque sans problème l'éventuel manque de moyens ; une vraie ambiance de village reculée aux nombreuses notations sociales et pittoresques ; un emploi très cinoche du cinémascope et des décors naturels ; un Udo Kier glacial à souhait...
Et pourtant, j'ai aussi trouvé cela terriblement long. On nous présente une multitude de personnages qui parfois ne servent presque à rien (notamment la jeune femme qui arrive au village avec les vaccins au début, qui est plus ou moins le personnage principal !), ou font double emploi. La seconde partie, qui est la plus "cinéma de genre" tourne en fait à un excercice de style classique
Sans apporter grand chose. J'ai notamment été frappé par le fait qu'il n'y ait pas une vraie scène d'action, ce qui fait quand même tâche dans ce métrage aux relents clairs de "Les 7 mercenaires". Les metteurs en scène tentent de combler le manque de punch de leur film avec quelques éclats gore ; mais rien n'y fait, avec ses méchants fades et caricaturaux (à part Udo Kier), sa durée franchement excessive de plus de deux heures, "Bacurau" m'a déçu, malgré une bonne ambiance réussie, le soufflé retombe. Frustrant.
vu sur le Mycanal/Canal +.
Mais bon, j'ai été quand même déçu. Sur le papier, les intentions sont excellentes, croisement entre John Carpenter (influence la plus clairement revendiquée avec ses anti-héros, ses scènes de siège, sa musique, son nom (!), ses enfants qui meurent ; "Assaut" étant l'influence la plus clairement reconaissable), mais aussi Peckinpah et Jodorowski ; avec une photo ambitieuse qui masque sans problème l'éventuel manque de moyens ; une vraie ambiance de village reculée aux nombreuses notations sociales et pittoresques ; un emploi très cinoche du cinémascope et des décors naturels ; un Udo Kier glacial à souhait...
Et pourtant, j'ai aussi trouvé cela terriblement long. On nous présente une multitude de personnages qui parfois ne servent presque à rien (notamment la jeune femme qui arrive au village avec les vaccins au début, qui est plus ou moins le personnage principal !), ou font double emploi. La seconde partie, qui est la plus "cinéma de genre" tourne en fait à un excercice de style classique
Spoiler : :
vu sur le Mycanal/Canal +.