Candyman - Nia DaCosta (2020)

[Dragonball]

Vu que certains ici, et je dis certains parce que moi, je suis pas dans la tête des gens et je peux donc pas savoir ce qu'ils pensent vraiment au fond d'eux, semblent assez agacés par la présence des tels ou tels minorités et de tels ou tels thèmes, dont l'homosexualité, dans les films récents, la prochaine fois que ça arrivera, repenser aux images de l'agression qui tournent aujourd'hui en boucle sur toute les chaines de télévisions.
Car ces revendications ne sortent pas de nul part et si balancer des homos ou des couples gays dans tout les prochains films venir est nécessaire pour faire enfin rentrer dans la tête de certains abrutis que chacun fait ce qu'il veut à ce niveau, ben que ça soit fait alors !

[Manolito]

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[bluesoul]

Vu sur Pime (Japon).

Bon, 'ben bof, quoi. A vrai dire, jamais rentre dans le film.

J'avais vu le film de 1992 soit en salle, soit a sa sortie en VHS locative (me rappelle plus), et les seules choses dont je me rappelle est que, deja a l'epoque, j'etais pas rentre dans le trip (decidemment).

Dans me souvenirs, c'etait un melange de trucs deja vus ailleurs (Nightmare on Elm Street pour le tueur qui sort de l'irrealite (les reves dans Nightmare) et I, Madman entre autre (avec son tueur qui sort des livres)--au passage, un film auquel j'avais deja a l'epoque pas accroche non plus ). L'idee de la legende urbaine qui devient realite, pourquoi pas, mais si on n'ajoute rien de plus au concept: redite en ce qui m'a concerne. Un peu l'impression que Freddy a tout dit pendant la decennie precedente...

Pour ce volet, un peu les memes impressions, vu que c'est sans doute dans l'axe du film original, d'ou: peu d'embalement cote cardiaque, quoi.

La narration en mode "artsy" m'a ennuye au plus haut point, voir irrite, parce que dans le fond, ca n'apporte rien de probant a part peut-etre une caution "auteurisante"(?).

Le perso principal m'a aussi enerve. Grosso-modo un artiste rate qui cherche un pitch pour son expo et prend ce qu'il croit sera "vendeur", ca fait plus pitie qu'autre chose . Autour de lui, plein de perso superficiels et guindes (des artistes et le modne qui gravite autour, quoi). Difficile de les aimer et zero empathie a la base, d'ou: quand ils se font demantibuler par Candyman...'Ben , bof quoi.

Le film continue ensuite son petit bout de chemin avec son perso dont on devine aisement vers quoi il chemine...D'ou: (encore) plus d'ennui.

Le seul truc que j'ai bien aime, est l'animation en papier decoupe. (Bon, je suppose que des CGs ont arrondi les angles, mais ca marche plutot bien. Franchement, j'aurais presque plutot pris un film en entier sur ce mode-la.

Candyman est decidemment une franchise a laquelle je ne parviens pas a m'interesser...