hitcher a écrit : mar. oct. 09, 2018 4:09 am
Mais compréhensible.
Hold the Dark est un film loupé.
Brouillon, ennuyeux, le talent de réalisateur de Saulnier ne suffit pas à sauver une mauvaise adaptation comme celle-ci.
Grosse déception.
Alors s'est tous le contraire de se que j'ai pu voir à l'écran, et sa confirme se que tu avais pu glaner sur le net concernant le fait que Jeremy Saulnier laisse toute latitude dans la compréhension de ces films. Chacun et juge de se qu'il verra à l'écran. A l'arrivée je comprend pourquoi.
Un film difficile à digérer mais ont peut comprendre vu le grand écart qu'il y a entre son début et la fin, à la manière d'un conte noir qui vire complétement au drame le plus glaçant qui soit. Il y a boire et manger dans se métrage.
Un film qui brasse large, il faut prendre du recul et du temps pour arriver à ne comprendre que le début de ce cheminement qui voit des gens cracher à la figure d'une société qui les a laisser de coté. Un film certes pas aussi réussit que le maitre étalon du genre et qui a été maint fois repris par le cinéma Fantastique ces dernières années. Je veux bien entendu parler du chefs-d’œuvre (n'ayons pas peur de mots) de Brad Anderson "The Machinist". Car s'est sûr se même type de référence que Saulnier tout en continuant de nous donner dans le ton et l'ambiance un western Carpenterien qu'il se base aussi. Alors bien sûr il n'est pas aussi bien rythmé monté que le film de Anderson, peut-être y a-t-il bien trop de personnage de situation qui mettent en avant les différentes cultures indienne dans se cas là, avec les conflits auquel les ricains participe ces dernières années qui fait que se n'est pas aussi fluide que sur The Machinist.
Le personnage de Jeffrey Wright étant au final un peut pour Saulnier le spectateur actif et victime qui va se arriver à l'écran. impuissant finalement à stopper ces longues monté de violence dans lesquelles les hommes se montre aussi impitoyable que les loups qu'ils traquent. D'ailleurs une phrase résume à elle seul se dont parle ce film, lorsque le personnage jouer par le froid Alexander Skarsgård sert la main de Wright en lui disant "au revoir le loup-garou". Ont est bien sur la ligne imaginaire de cette frontière qui sépare la soit disant civilisation bien pensante et un milieu naturel et hostiles.
Une grosse claque pour moi, j'ai trouvé sa très fin, un film qui marque durablement et a ne pas mettre sous tous les yeux bien entendu. On comprend facilement le pourquoi du fait qu'il ne soit pas sorti en salle, et qu'il était réservé principalement au câble (Netflix) en l'état impossible de trouvé un public pour un genre qui voit se croiser autant de type thriller-drame-fantastique-horreur.
Saulnier continu donc de nous faire découvrir toute les couleurs d'un arc-en-ciel bien sombre d'une Amérique qui broie le peut d'illusions qu'il lui reste, dommage qu'il n'est pas garder le titre original.