Alien – Resurrection (1997) - Jean-Pierre Jeunet
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Alien – Resurrection (1997) - Jean-Pierre Jeunet
Dans une station spatiale miliatire, des scientifiques parviennent a cloner, non seulement Ellen Ripley, mais egalement l’Alien qu’elle portait en elle (c.f. Alien3). Lorsqu’un equipage louche accoste avec une mysterieuse “cargaison”, les experiences pourront etre menees a terme. Le piege est en train de se refermer…
A la vision du troisieme volet de la saga “Alien”, il etait difficile de concevoir une suite apres une fin d’un tel “nihilisme”, fin qui d’ailleurs brulait tous les ponts quant a un eventuel quatrieme opus. Mais, cela etait compter sans la gourmandise et la venalite de cette malefique compagnie—non pas la Weyland-Yutani, mais la 20th Century Fox, qui n’etait, decidemment pas decide a laisser s’eteindre paisiblement la poule aux oeufs d’or.
Ainsi, cinq annees après le troisieme volet (dont la genese et production connut en son temps de nombreux avatars que du surmonter David Fincher), un quatrieme volet fut mis en chantier.
Si le permier episode etait marque du sceau de la “peur”, le deuxieme de l’empreinte de la “tension”, et le troisieme de la marque du “mysticisme”, il fallait trouver une equivalence assez marquante pour cette nouvelle aventure.
Ainsi, la realisation sera confie au visonnaire Jean-Pierre Jeunet (La Cite des Enfants Perdus (1995), Delicatessen (1991)—sans Caro cependant, mais partageant la production avec un autre “frenchie”: Pitoff, qui ne se sera pas encore fourvoye dans les Vidocq (2001) et Cat-Woman (2004) de sombre memoire.
Le scenario, aussi lacunaire soit-il, sera du a la plume de Joss Whedon (Buffy the Vampire Slayer (1997) et Firefly (2002), tandis qu’au casting, l’incontournable Sigourney Weaver aura comme partenaire des “gueules” telles que Jeunet les apprecie: Ron Perlman (Beauty and the Beast (1987), Blade II (2002), La Cite des Enfants perdus (1995) ), Dan Hedaya Mulholland Drive (2001), The Usual Suspects (1994) ), le tout complete par Winona Ryder (A Scanner Darkly (2006), Dracula (1992) ).
Comme a pu l’apprehender le spectateur, la ou le bat, blesse le plus, est au niveau du scenario et du concept, qui lorgne quand meme plus du cote de la lettre Z que de la letter B.
Cependant, une fois depasse ce postulat, et fesant abstraction de quand meme, plusieurs lacunes severes dans le scenario, l’abattage “visuel” de Jeunet parvient a remporter l’adhesion, et ce, a coup de “gueules cassees”, decors “craspecs” et artifices organiques “grotesques” tels qu’il les aime!
Ainsi, certaines scenes sont bien amenees et travaillees (la sequence sous-marine, ou celle de la scene avec les resultants des experiences (ratees) precedentes), les peripeties, et sans vraiment surprendre (ce serait trop demander), parviennent a faire passer ce qui essentiellement un bon moment, sans trop fatiguer les neurones (quand meme). Les acteurs, quant a eux, tirent parti de la mise en scene visuelle pour se placer et livrent des prestations qui sont meilleures que ce que l’on aurait pu etre en droit d’esperer d’un tel projet a la base.
Sans etre un must du fantastique, et n’etant d’ailleurs absolument pas necessaire a la saga Alien, ce volet parvient a ses fins (et accessoirement a—TRES facilement damner le pion au ratage total que represente la saga AVP qui allait suivre), en esperant neanmoins, que cet opus soit le dernier. (Apparemment, Ridley Scott remettra le couvert pour une “prequel” bientot…Affaire a suivre donc…)
A voir, car, sans nullement etre un enrichissement de la saga, et tout en etant le fils batard de cette derniere, ce quatrieme volet, n’en n’est neanmoins PAS un rejeton indigne.
Alien – Resurrection: 3.75 / 5
A la vision du troisieme volet de la saga “Alien”, il etait difficile de concevoir une suite apres une fin d’un tel “nihilisme”, fin qui d’ailleurs brulait tous les ponts quant a un eventuel quatrieme opus. Mais, cela etait compter sans la gourmandise et la venalite de cette malefique compagnie—non pas la Weyland-Yutani, mais la 20th Century Fox, qui n’etait, decidemment pas decide a laisser s’eteindre paisiblement la poule aux oeufs d’or.
Ainsi, cinq annees après le troisieme volet (dont la genese et production connut en son temps de nombreux avatars que du surmonter David Fincher), un quatrieme volet fut mis en chantier.
Si le permier episode etait marque du sceau de la “peur”, le deuxieme de l’empreinte de la “tension”, et le troisieme de la marque du “mysticisme”, il fallait trouver une equivalence assez marquante pour cette nouvelle aventure.
Ainsi, la realisation sera confie au visonnaire Jean-Pierre Jeunet (La Cite des Enfants Perdus (1995), Delicatessen (1991)—sans Caro cependant, mais partageant la production avec un autre “frenchie”: Pitoff, qui ne se sera pas encore fourvoye dans les Vidocq (2001) et Cat-Woman (2004) de sombre memoire.
Le scenario, aussi lacunaire soit-il, sera du a la plume de Joss Whedon (Buffy the Vampire Slayer (1997) et Firefly (2002), tandis qu’au casting, l’incontournable Sigourney Weaver aura comme partenaire des “gueules” telles que Jeunet les apprecie: Ron Perlman (Beauty and the Beast (1987), Blade II (2002), La Cite des Enfants perdus (1995) ), Dan Hedaya Mulholland Drive (2001), The Usual Suspects (1994) ), le tout complete par Winona Ryder (A Scanner Darkly (2006), Dracula (1992) ).
Comme a pu l’apprehender le spectateur, la ou le bat, blesse le plus, est au niveau du scenario et du concept, qui lorgne quand meme plus du cote de la lettre Z que de la letter B.
Cependant, une fois depasse ce postulat, et fesant abstraction de quand meme, plusieurs lacunes severes dans le scenario, l’abattage “visuel” de Jeunet parvient a remporter l’adhesion, et ce, a coup de “gueules cassees”, decors “craspecs” et artifices organiques “grotesques” tels qu’il les aime!
Ainsi, certaines scenes sont bien amenees et travaillees (la sequence sous-marine, ou celle de la scene avec les resultants des experiences (ratees) precedentes), les peripeties, et sans vraiment surprendre (ce serait trop demander), parviennent a faire passer ce qui essentiellement un bon moment, sans trop fatiguer les neurones (quand meme). Les acteurs, quant a eux, tirent parti de la mise en scene visuelle pour se placer et livrent des prestations qui sont meilleures que ce que l’on aurait pu etre en droit d’esperer d’un tel projet a la base.
Sans etre un must du fantastique, et n’etant d’ailleurs absolument pas necessaire a la saga Alien, ce volet parvient a ses fins (et accessoirement a—TRES facilement damner le pion au ratage total que represente la saga AVP qui allait suivre), en esperant neanmoins, que cet opus soit le dernier. (Apparemment, Ridley Scott remettra le couvert pour une “prequel” bientot…Affaire a suivre donc…)
A voir, car, sans nullement etre un enrichissement de la saga, et tout en etant le fils batard de cette derniere, ce quatrieme volet, n’en n’est neanmoins PAS un rejeton indigne.
Alien – Resurrection: 3.75 / 5
En direct du Japon. Bonsoir. A vous, Cognac-Jay.
Re: Alien – Resurrection (1997) - Jean-Pierre Jeunet
Un pur produit de commande auquel Jean-Pierre Jeunet s'est frotté "pour l'expérience" et en est aujourd'hui bien revenu. C'est joli, mais avec ses histoires de clones, de mutants, on commence à sérieusement tomber dans le tirage de cheveux intensifs, pour un résultat où, au fond, le vide l'emporte...
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Re: Alien – Resurrection (1997) - Jean-Pierre Jeunet
Jean-Pierre Jeunet rejette la qualité du Blu Ray de son film, où entre autres, il n'a pas été invité à superviser le transfert :
http://www.jpjeunet-siteofficiel.com/blog/?p=321
"Ce bluray a, disons, la qualité d’un DVD très moyen."
http://www.jpjeunet-siteofficiel.com/blog/?p=321
"Ce bluray a, disons, la qualité d’un DVD très moyen."
Oh really? Well then I'm sure you wouldn't mind giving us a detailed account of exactly how you concocted this miracle glue, would you ?
Re: Alien – Resurrection (1997) - Jean-Pierre Jeunet
Revu sur le dvd du coffret "Quadrilogy" anglais de 2003, lequel propose une copie 2.35 16/9 avec des qualités et des défauts.
Les qualités, c'est la propreté de la copie vraiment nickel, une image stable, constante, un traitement numérique plutôt discret, avec des halos relativement rares. Les défauts, c'est une image quand même bien sombre (je ne me rappelle plus trop dans quelle mesure cela est d'origine) et une résolution passable. Seuls les gros plans donnent une bonne impression de piqué, le reste du film baignant dans une ambiance un peu floue, avec un bruit vidéo sensible... Acceptable en fin de compte, mais quand même un peu daté comme transfert. La bande son anglaise (en dolby digital 5.1 à l'origine) est proposée ici en dolby digital ou dts au choix. Je l'ai pour ma part vue en DTS, une bande son de bonne qualité, assez vivante, avec pas mal d'effets arrières rigolos. Avec STA.
J'ai regardé la version sortie en salles. Le disque inclut aussi un montage alternatif dite "special edition" proposée comme un supplément.
Après un troisième volet qui terminait laborieusement la série, arrive "Alien, la résurrection", le volet inutile !
La Fox va chercher Jean-Pierre Jeunet pour un pur produit de commande. Joss Whedon signe un scénario inutilement alambiqué. Dès le départ, cette histoire de reconstruction génétique de Ripley avec sa reine alien dans le bide laisse un peu dubitatif. A nouveau, on nous fait le coup du petit groupe en milieu clos traqué par des aliens, plutôt dans la tradition du 2, avec grosses pétoires et explosions en tous genres.
Le casting est très inégal, certains dialogues et répliques sont débiles, le début est quand même sacrément lent. Certaines scènes d'action sont balourdes (la remontée après la sortie de l'eau), idiotes (les oeufs aliens qui explosent en série comme s'ils étaient remplis d'essence, lorsque Ron Perlman lance deux grenades dans un nid !). Les révélations finales ont tendance à beaucoup tirer par les cheveux certains concepts de la série (comme le personnage de Winona Ryder) ou les principes des mutations génétiques poussés très loin, jusqu'au grotesque...
Pourtant, c'est bizarrement dans cette dernière demi heure, dans les rapports entre la Reine, le bébé, Call et Ripley que Jeunet parvient à donner un peu d'épaisseur et d'intensité à son film. Film quand même dispensable et, comme dit en début de texte, au fort goût d'inutilité.
Les qualités, c'est la propreté de la copie vraiment nickel, une image stable, constante, un traitement numérique plutôt discret, avec des halos relativement rares. Les défauts, c'est une image quand même bien sombre (je ne me rappelle plus trop dans quelle mesure cela est d'origine) et une résolution passable. Seuls les gros plans donnent une bonne impression de piqué, le reste du film baignant dans une ambiance un peu floue, avec un bruit vidéo sensible... Acceptable en fin de compte, mais quand même un peu daté comme transfert. La bande son anglaise (en dolby digital 5.1 à l'origine) est proposée ici en dolby digital ou dts au choix. Je l'ai pour ma part vue en DTS, une bande son de bonne qualité, assez vivante, avec pas mal d'effets arrières rigolos. Avec STA.
J'ai regardé la version sortie en salles. Le disque inclut aussi un montage alternatif dite "special edition" proposée comme un supplément.
Après un troisième volet qui terminait laborieusement la série, arrive "Alien, la résurrection", le volet inutile !
La Fox va chercher Jean-Pierre Jeunet pour un pur produit de commande. Joss Whedon signe un scénario inutilement alambiqué. Dès le départ, cette histoire de reconstruction génétique de Ripley avec sa reine alien dans le bide laisse un peu dubitatif. A nouveau, on nous fait le coup du petit groupe en milieu clos traqué par des aliens, plutôt dans la tradition du 2, avec grosses pétoires et explosions en tous genres.
Le casting est très inégal, certains dialogues et répliques sont débiles, le début est quand même sacrément lent. Certaines scènes d'action sont balourdes (la remontée après la sortie de l'eau), idiotes (les oeufs aliens qui explosent en série comme s'ils étaient remplis d'essence, lorsque Ron Perlman lance deux grenades dans un nid !). Les révélations finales ont tendance à beaucoup tirer par les cheveux certains concepts de la série (comme le personnage de Winona Ryder) ou les principes des mutations génétiques poussés très loin, jusqu'au grotesque...
Pourtant, c'est bizarrement dans cette dernière demi heure, dans les rapports entre la Reine, le bébé, Call et Ripley que Jeunet parvient à donner un peu d'épaisseur et d'intensité à son film. Film quand même dispensable et, comme dit en début de texte, au fort goût d'inutilité.
Re: Alien – Resurrection (1997) - Jean-Pierre Jeunet
Pour moi le pire de la saga, et de loin. Le bébé final est d'un ridicule, c'est pathétique. Je reconnais quand même que ça se suit sans ennui mais je trouve les persos vraiment lourdingues. Il faut dire que l'univers de Jeunet n'est pas ma tasse de thé et je n'ai jamais compris pourquoi la Fox avait fait appel à lui. Je préfère encore me retaper les AVP.
Groovy !
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Re: Alien – Resurrection (1997) - Jean-Pierre Jeunet
Bon je vais essayer de réhabilité ce très bon film qui ne fait pas honte à la saga, mais qui a pu être renier et par certain de ces producteurs (dixit le making sur le BR) ou bien la critique et son publique.
Tous d'abord la première vrai et grande qualité de celui-ci est d'arrivé a travers le style Jeunet de donné une seconde vie a la saga, ce que les autres films suivant n'arriveront au grand jamais a faire que se soit les 2 Aliens vs Predators, et ont peut le voir lorsque on fait un comparatif rapide aux 2 premiers Predator par rapport a l'opus produit par Rodriguez.
Tous d'abord son fil conducteur Ripley qui fait un retour en grande pompe et cela sans être une victime encore une fois de cette malédiction qui semble la poursuivre. Elle est bien débousolé au début par la suite cela change. Une ingénieuse idée a la fois d'un des producteurs qui était contre, et de du jeune scénariste Joss Whedon plus attiré par une approche comics avec ces personnages haut en couleurs, avec pour figure une Ripley plus obscure, plus animale, on ne sait pas de quel coté elle est. Joss Whedon qui a eux l'appui de Sigourney Wever pour allez clairement dans ce sens là, alors qu'il craignais le contraire de ça part.
A l'arrivé un film très beau visuellement et complétement en phase avec l'humour noir de son réalisateur. Un film a la fois proche des précedents, mais différent dans son approche des personnages avec cette univers futuriste, que se soit Call le robot plus humanisé et sensible que l'homme, ou l'équipage du Beaty.
La musique de John Frizzell pourtant loin d'être un ténor du genre (Dante's Peak, Event Horizon) tiens encore merveilleusement la route, entrainante a souhait sans cherché a faire dans le plagia des précedents (chose que l'on voit un peu trop souvent
). Encore une fois Darius Konji rend tous cela encore plus moite a l'écran. Même si j'aurais tendance a rajouté que l'on perte du vrai décor a l'écran, et que cela assombri le tout....
Quand je vois son budget je me dis que tout est bien à l'écran, surtout lorsqu'on voit une séquence sous marine aussi belle.
Le BR éditer par Fox bien qu'étant le moins bien lotis du lot, offre un grain et une définition contraster qui passe encore aujourd'hui bien le cap de la HD.
La version spéciale ou étendu du film, tiens bien sûr plus lieux de bonus que de réel film a voir. Jeunet lui même reconnaissant malgré le fait que la plupart de ces scènes était tourné (voir un article dans le mag MM d'époque). le montage cinéma reste l'unique moyens de découvrir Alien Ressurection.

Tous d'abord la première vrai et grande qualité de celui-ci est d'arrivé a travers le style Jeunet de donné une seconde vie a la saga, ce que les autres films suivant n'arriveront au grand jamais a faire que se soit les 2 Aliens vs Predators, et ont peut le voir lorsque on fait un comparatif rapide aux 2 premiers Predator par rapport a l'opus produit par Rodriguez.
Tous d'abord son fil conducteur Ripley qui fait un retour en grande pompe et cela sans être une victime encore une fois de cette malédiction qui semble la poursuivre. Elle est bien débousolé au début par la suite cela change. Une ingénieuse idée a la fois d'un des producteurs qui était contre, et de du jeune scénariste Joss Whedon plus attiré par une approche comics avec ces personnages haut en couleurs, avec pour figure une Ripley plus obscure, plus animale, on ne sait pas de quel coté elle est. Joss Whedon qui a eux l'appui de Sigourney Wever pour allez clairement dans ce sens là, alors qu'il craignais le contraire de ça part.
A l'arrivé un film très beau visuellement et complétement en phase avec l'humour noir de son réalisateur. Un film a la fois proche des précedents, mais différent dans son approche des personnages avec cette univers futuriste, que se soit Call le robot plus humanisé et sensible que l'homme, ou l'équipage du Beaty.
La musique de John Frizzell pourtant loin d'être un ténor du genre (Dante's Peak, Event Horizon) tiens encore merveilleusement la route, entrainante a souhait sans cherché a faire dans le plagia des précedents (chose que l'on voit un peu trop souvent


Quand je vois son budget je me dis que tout est bien à l'écran, surtout lorsqu'on voit une séquence sous marine aussi belle.
Le BR éditer par Fox bien qu'étant le moins bien lotis du lot, offre un grain et une définition contraster qui passe encore aujourd'hui bien le cap de la HD.
La version spéciale ou étendu du film, tiens bien sûr plus lieux de bonus que de réel film a voir. Jeunet lui même reconnaissant malgré le fait que la plupart de ces scènes était tourné (voir un article dans le mag MM d'époque). le montage cinéma reste l'unique moyens de découvrir Alien Ressurection.

Toi t'est un flic..? Non j'uis un con.
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Re: Alien – Resurrection (1997) - Jean-Pierre Jeunet
A l'époque j'étais tellement déçu par le 3 que j'avais pardonné le 4.
Revu hier en DVD et en projection. On peut dire que le DVD est une belle daube, la projection ne pardonne rien. A croire que j'étais hors focus mais non la grande majorité du film est floue.
Cela se regarde avec indulgence comme une sorte de slasher de l'espace, ça se tient même jusqu'à l'apparition de l'albinos. Enorme raté qui me sort définitvement du film. Il aurait miauler "maman" que cela n'aurait pas été pire.
Par malheur j'ai visionné l'édition spéciale et Jeunet annonce dès le départ la couleur: ce n'est pas un director's cut mais un producer's cut. J'ai compris l'erreur mais j'ai eu la flemme de relancer le menu. Résulat: intro moche, rythme ralenti par des dialogues inutiles. Ne vous infligez pas cette vision.
Revu hier en DVD et en projection. On peut dire que le DVD est une belle daube, la projection ne pardonne rien. A croire que j'étais hors focus mais non la grande majorité du film est floue.
Cela se regarde avec indulgence comme une sorte de slasher de l'espace, ça se tient même jusqu'à l'apparition de l'albinos. Enorme raté qui me sort définitvement du film. Il aurait miauler "maman" que cela n'aurait pas été pire.
Par malheur j'ai visionné l'édition spéciale et Jeunet annonce dès le départ la couleur: ce n'est pas un director's cut mais un producer's cut. J'ai compris l'erreur mais j'ai eu la flemme de relancer le menu. Résulat: intro moche, rythme ralenti par des dialogues inutiles. Ne vous infligez pas cette vision.
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Re: Alien – Resurrection (1997) - Jean-Pierre Jeunet
Et pourtant s'est une idée de Jeunet (relie toi le MM de cette période) que les producteurs non pas mis en image pour une raison de coût, de plus ont voit le résultat à l'arrivé un vrai plaisir de fan. Là il lui ont payé sa séquence et il joue les troubles sacré JPLord Taki a écrit :Résulat: intro moche, rythme ralenti par des dialogues inutiles. Ne vous infligez pas cette vision.

Le bonhomme ont sans bien qu'il ni connait pas grand chose au cinéma de SF (faut voir se qu'il balançais comme connerie à l'époque sur Total Recall), s'est simple lorsque l'ont voit les deux marines au tous début en train de mâchouillé leurs chewing-gum devant le clone de Ripley


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Re: Alien – Resurrection (1997) - Jean-Pierre Jeunet
Un nouveau visionnage du film (merci TV Tokyo) ne lui est guere favorable.
Si le budget est un cran plus eleve que le volet 3 (pas trop trop difficile), l'intrigue est quand meme franchement mauvaise et tient du mauvais comic-book ou de la pulp fiction de serie Z.
On reprend l'idee de la troupe hyper-armee du zode 2, et laisse errer le tout dans des couloirs comme dans le zode 1. La difference, le cote et l'imagerie grotesque de Jeunet (vu les acteurs recurrents, pensez: Alien: Delicatessen ou The City of Lost Aliens
). Le cote Foire du Throne prend un peu et fait un chouillat diversion, mais l'intrigue (enfin le peu qu'il y en a) ne tient pas la route et le tout reste tres routinier.
Rajoutons que les Aliens sont bizarrement encore moins mis en valeur que dans l'episode precedent (alors qu'ils sont plus nombreux(!) ), se limitant surtout a des plans rapproches de leurs "visages". Quelques plans montront leur morphologies laissent deviner pourquoi: ils sont moches
.
Bref, retrouver Sigourney est sympa (meme si completement WTF vu la fin d'Alien3), les trognes (qu'affectionne Jeunet) valent le detour, tout comme une excellente (meme si incongrue) scene sous-marine, le tout est par contre mechamment plombe par Dan Hedaya et ses "marines" qui roulent des yeux tout azimuts, des Aliens de fin de stocks, une intrigue ecrite par un gosse de 8 ans, le tout chapeaute par un "Frenchie" qui se demande sans doute se qu'il est venu faire ici (a Hollywood). Pas tres tres glorieux et une fin (temporaire) et TRES moyenne a la franchise.
Alien 4: Resurrection : 3.5 / 5 (bibi dit: "Alien (et note): Degradation
voire "devaluation"; a voir pour les completistes ou des samedi-soiristes peu regardants. Notez que je reste curieux de voir la version un tantinet plus complete, sans en attendre trop quand meme...)
Si le budget est un cran plus eleve que le volet 3 (pas trop trop difficile), l'intrigue est quand meme franchement mauvaise et tient du mauvais comic-book ou de la pulp fiction de serie Z.
On reprend l'idee de la troupe hyper-armee du zode 2, et laisse errer le tout dans des couloirs comme dans le zode 1. La difference, le cote et l'imagerie grotesque de Jeunet (vu les acteurs recurrents, pensez: Alien: Delicatessen ou The City of Lost Aliens

Rajoutons que les Aliens sont bizarrement encore moins mis en valeur que dans l'episode precedent (alors qu'ils sont plus nombreux(!) ), se limitant surtout a des plans rapproches de leurs "visages". Quelques plans montront leur morphologies laissent deviner pourquoi: ils sont moches

Bref, retrouver Sigourney est sympa (meme si completement WTF vu la fin d'Alien3), les trognes (qu'affectionne Jeunet) valent le detour, tout comme une excellente (meme si incongrue) scene sous-marine, le tout est par contre mechamment plombe par Dan Hedaya et ses "marines" qui roulent des yeux tout azimuts, des Aliens de fin de stocks, une intrigue ecrite par un gosse de 8 ans, le tout chapeaute par un "Frenchie" qui se demande sans doute se qu'il est venu faire ici (a Hollywood). Pas tres tres glorieux et une fin (temporaire) et TRES moyenne a la franchise.
Alien 4: Resurrection : 3.5 / 5 (bibi dit: "Alien (et note): Degradation

En direct du Japon. Bonsoir. A vous, Cognac-Jay.
Re: Alien – Resurrection (1997) - Jean-Pierre Jeunet
Jeunet au vidéo club, passionnant et plein d'anecdotes.
Re: Alien – Resurrection (1997) - Jean-Pierre Jeunet
Jeunet revient sur Alien Resurrection :
Edit : je donnerais cher pour voir le rush où Sigourney fait une fellation à l'alien!
Edit : je donnerais cher pour voir le rush où Sigourney fait une fellation à l'alien!
